Puits 100 : un projet humanitaire lancé par Saïd Amzil pour aider 100 villages dans le monde à atteindre l’autosuffisance

Alors que la crise économique économique provoquée par le coronavirus pourrait être la pire depuis 150 ans, avec une chute du PIB mondial estimée à 5,2% en 2020 (source), de nombreuses entreprises cherchent à anticiper ce phénomène en réalisant des économies ou en diminuant l’investissement alloué à la R&D.

Sauf qu’à l’heure du déconfinement, malgré l’impact sanitaire du Covid-9, il ne faut pas oublier que d’autres fléaux continuent de faire des ravages. En 2019, un rapport publié par l’ONU a mis en lumière qu’une personne sur trois dans le monde n’a toujours pas accès à l’eau potable (source). Il en résulte de graves problèmes de santé et d’hygiène : cinq personnes meurent chaque minute des conséquences d’une eau insalubre (source).

Alors pour lutter contre ces inégalités, Saïd Amzil a décidé d’aborder la crise économique autrement.

Le don sincère est la clé : avec ses équipes, il a décidé d’offrir encore plus de temps, d’efforts et de moyens financiers au projet humanitaire qu’ils ont lancé ensemble il y a deux ans : le projet Puits 100.

Ce projet consiste à aider 100 villages dans le monde à accéder à l’autosuffisance en commençant par leur offrir un point d’eau. Et aujourd’hui, pour accélérer la création des puits, Saïd Amzil lance un programme de financement innovant qui profite à tous.

Le projet Puits 100 : démocratiser l’accès à l’eau potable

Comment évoluer, créer, avancer lorsque ses besoins fondamentaux ne sont pas satisfaits ?

Boire à sa soif, se laver, accéder à l’hygiène, pouvoir abreuver les animaux ou arroser les plantations… l’accès à l’eau est un besoin vital qui devrait être accessible à tous. Mais il ne faut pas s’arrêter là ! Pour aider les villages à devenir autosuffisants, il faut ensuite mettre en place des actions économiques et éducatives pour insuffler une dynamique positive.

C’est pour cela que le projet Puits 100 se décompose en 3 parties :

Forer un puits dans les 100 villages ;
Construire le programme éducatif du Turfu (Futur) afin d’en faire profiter les villages concernés : l’idée est de leur permettre d’évoluer sur le plan du « Mindset » (Mental) et les amener à prendre conscience des opportunités commerciales, professionnelles et entrepreneuriales qu’ils peuvent se créer dans ce monde ;
Créer un système économique qui aurait pour base « l’Eau » (disponible une fois le puits foré) et le Soleil (ressources plus que disponibles).

Saïd Amzil souligne :

Nous sommes à mi-chemin. Nous avons déjà réuni près de 120 000 euros, ce qui nous a permis de créer près de 50 puits. Dans plus de 7 pays en Afrique et en Asie, 35 sont déjà opérationnels et contribuent à changer la vie de nombreuses personnes.

Une nouvelle gamme de programmes en ligne pour augmenter l’investissement alloué au projet

En temps normal, le projet Puits 100 est financé par une partie des bénéfices de l’entreprise de Saïd Amzi et par les dons des membres de ses formations, qui ont à cœur de participer activement au projet.

En cette période de crise économique, pour renforcer l’investissement financier alloué au projet, une nouvelle gamme de programmes en ligne appelée “Impact Training” a vu le jour.

Le principe est simple :

Toute personne qui participe au Live profite gratuitement de ces programmes ;
Les replays sont commercialisés.

Le but est de créer une dynamique du don permettant de continuer à financer le projet sans avoir besoin de passer par des campagnes de collectes traditionnelles.

Et en prime, il y a une dimension solidaire et collective forte : grâce aux “Formations Lives”, tous ceux/celles qui ne peuvent pas s’offrir les programmes faute de budget disposent d’une alternative pour continuer à faire avancer leurs projets de vie et professionnels.

Saïd précise :

100% des bénéfices du programme Impact Training sont reversés au projet Puits 100

https://www.youtube.com/watch?v=OZZZqBnWE38

Les Formations Lives : un tremplin pour sortir de la précarité

Les Formations Lives créent un cercle vertueux qui profite à tous puisqu’elles permettent de forer de nouveaux puits mais aussi de changer la vie des personnes qui suivent les cours.

Faute d’avoir conscience de leur potentiel, et de savoir comment le libérer, combien sont ceux et celles qui sont dans la survie ? Et ce n’est certainement pas le meilleur moment pour investir financièrement dans une formation.

Une réalité que Saïd connaît bien pour l’avoir vécue : quand il a intégré le marché du travail à 25 ans après une traversée du désert sur plus de 5 années (délinquance, perte de repères, manque de confiance en soi…), il n’avait ni compétences, ni expériences, ni même aucune perspective d’évolution.

Et en 10 ans, il est passé du métier de téléprospecteur à la gestion d’une entreprise florissante qui aide les gens à transformer leurs talents, compétences, connaissances innées ou acquis en une activité génératrice de revenus.

Saïd confirme :

C’est la connaissance qui m’a aidé à remonter la pente. Les formations, les livres, les coachings et… l’encouragement de personnes autour de moi qui m’ont appris à voir ce dont j’étais réellement capable.

Alors avec le projet Puits 100, il veut donner une chance à celles et ceux qui vivent dans la précarité, et qui ne croient plus en un avenir heureux, à découvrir leurs compétences et à construire une entreprise impactante.

Saïd ambitionne de construire ainsi une communauté de 100 000 impacteurs, c’est-à-dire de personnes utilisant son talent, ses ressources, et son entreprise pour impacter le monde à plus ou moins grande échelle.

L’intelligence collective au service du projet Puits 100

Le projet Puits 100 propose une Boîte à Pépites, un système “nouvelle génération” qui permet de collecter les idées.

Via une plateforme dédiée généralement au développement de l’innovation au sein des startups, chacune.e peut participer à la réflexion autour des deux autres objectifs du projet Puits 100 :

Créer le programme éducatif du Turfu (Futur) ;
Construire un système économique avec pour base le soleil et l’eau, afin d’aider les villages soutenus à atteindre l’autosuffisance.

Comment ça marche ?

Chaque étape du projet correspond à une mission.

Chaque mission reçoit alors des idées du public. Ensuite, de façon collaborative, tous ceux/celles qui ont accès à la mission peuvent suggérer une amélioration à l’idée soumise au groupe.

Quand une idée semble viable, son exécution est planifiée.

L’entreprise Saïd Amzil, c’est aussi :

toujours plus de création de valeur dans la relation avec ses clients, le marché ; et de façon plus générale, le monde ;
d’importants moyens techniques et organisationnels pour accompagner ses clients ;
un état d’esprit solidaire : les formations apprennent à créer une vie et un business ayant un impact dans le monde ;
un enseignement qui a été testé et validé pour son efficacité ;
des connaissances en neurosciences, en pédagogies alternatives et en mindsetting pour accompagner toutes les personnalités ;
des programmes de formation très complets comme le programme WMA (créer une entreprise en ligne en partant de zéro) et le programme Impact (briser les chaînes qui bloquent toute tentative de changement).

A propos de Saïd Amzil

Saïd Amzil est un autodidacte devenu entrepreneur solidaire.

Il grandit en banlieue (Cergy, 95) et arrête l’école deux années avant le Bac pro “logistique” car il ne supporte plus d’être enfermé en classe. A l’époque, son bulletin scolaire affiche plus de 70 absences… alors le lycée lui suggère de ne pas revenir à la prochaine rentrée.

Saïd a alors 19 ans. Sans emploi ni repères, il sombre progressivement dans la délinquance à la suite de nombreux événements. Cette période, qu’il qualifie de “sommeil profond”, s’achève lorsqu’il réalise quelle personne il est devenu.

A 25 ans, il décide de reprendre sa vie en main et décroche un emploi de téléprospecteur dans un call-center. Il évolue ensuite pour devenir téléconseiller chez l’un des principaux opérateurs téléphoniques.

Suite à cette expérience, qui dure 3 ans, il peut alors intégrer un grand groupe de 2 000 salariés (une entreprise de l’économie sociale) en tant que commercial « terrain » avec un objectif d’1 million d’euros de CA à générer.

Cette expérience lui offre une vision plus sociale du monde de l’entreprise et lui permet de développer ses compétences commerciales.

Il reste à ce poste durant 2 ans et demi mais, pour pouvoir concilier sa vie professionnelle et ses convictions religieuses (prières à heures fixes…), il franchit le cap de la création d’entreprise en créant sa propre boutique en ligne.

Au bout d’un an et demi, il fédère une communauté de 15 000 personnes autour du site mais il réalise que son projet commence à stagner. Il se rapproche alors de consultants, spécialistes et amis entrepreneurs qui l’aident à comprendre l’intérêt de faire évoluer ses compétences en webmarketing.

Saïd se forme auprès de plusieurs formateurs de renom (Marie Forleo, Jeff Walker, Ryan Deiss, Jay Abraham…) et expérimente ses apprentissages sur sa boutique en ligne. Son CA décolle alors de manière significative.

Il accompagne ensuite, en tant que consultant, le lancement d’une formation sur la lecture rapide de l’un de ses partenaires. En moins d’une semaine, ils génèrent près de 500 ventes !

Animé par la volonté de transmettre et d’aider d’autres personnes à atteindre l’autonomie financière, Saïd crée alors un programme particulièrement destiné aux gens qui ont des difficultés à intégrer le marché de l’emploi en raison de leur voile, barbe, nom ou quartier de résidence.

Saïd souligne :

J’ai formé plus de 2 500 personnes et plus de 50 000 ont suivi un de nos programmes connexes.

Aujourd’hui, pour impacter le monde à une plus large échelle, il développe le projet Puits 100. Un livre sera ensuite publié reprenant son parcours et les étapes qui l’ont conduit au projet Puits 100