Alors que le GIEC vient de publier son dernier rapport (source), il y a urgence à agir pour préserver la biodiversité, actuellement menacée par les activités humaines.
La destruction des habitats, le réchauffement climatique, la pollution… Tout cela a anéanti et continue d’anéantir une grande partie du vivant. Les scientifiques multiplient les alertes, mais rien ne bouge vraiment.
La majorité de la population ne se sent pas concernée, ou trop peu, par les enjeux de la crise écologique. Le problème ? Nos modes de vie modernes.
Dans une société ultra urbanisée, nos générations perdent peu à peu le lien avec le vivant au profit du béton et des écrans. Des scientifiques se sont penchés sur la question et proposent de replacer le monde sauvage au cœur de nos fictions quotidiennes : film, musique, documentaire, podcast, jeu vidéo… tous ces points de contact peuvent être mis à contribution.
Y compris la mode. Certaines jeunes marques s’engagent déjà activement dans cette mission. À travers leurs produits et leurs réseaux, elles invitent leur audience à se reconnecter à la nature.
C’est notamment le cas de la marque française de sneakers MEEKO, qui en a même fait son cheval de bataille. Chaque basket créée, chaque histoire et expérience partagées, sont autant d’opportunités pour replacer le monde sauvage dans l’imaginaire collectif et ainsi inspirer à sa découverte.
À notre échelle, nous agissons pour que chacun.e apprenne à aimer de nouveau la nature ! L’envie de s’engager pour la défendre se fera ensuite spontanément, sans que cela paraisse un sacrifice insurmontable.
Remettre la vie sauvage au cœur de nos vies
Savez-vous que depuis les années 80, les décors extérieurs des dessins animés Disney ne représentent presque plus de végétation ?
Ce phénomène est loin d’être anecdotique : en 2002, le professeur américain Peter Kahn a souligné que chaque individu construit son identité en fonction de l’environnement dans lequel il grandit. Or, à chaque génération, les enfants s’éloignent de plus en plus de la nature qui disparaît progressivement de leur identité.
Faute de représentations de la biodiversité dans nos quotidiens, nous devenons de plus en plus insensibles à son effondrement. C’est pour cela qu’il est aussi difficile de faire bouger massivement les individus vers un mode de vie plus respectueux de la planète.
Pour faire bouger les lignes, certains acteurs de la mode veulent utiliser ce puissant vecteur de fiction pour aider leurs communautés à rencontrer la nature, à l’image des marques Girafon Bleu (habillement et accessoires), Fauna Protect (bijoux)… et MEEKO (baskets).
Au-delà de son approche de production écoresponsable poussée, la marque française propose des designs uniques inspirés du monde sauvage. Chaque collection met ainsi en avant un écosystème menacé, grâce à des éléments graphiques illustrés et colorés. Les étiquettes, semelles (intérieures) et boites illustrées y font référence de façon artistique et colorée.
Pour aller plus loin, MEEKO reverse une partie de ses bénéfices à de petites ONG qui protègent ces habitats naturels. Toujours dans le cadre de sa mission d’entreprise, la marque propose également un guide d’observation de la faune sauvage en France, disponible en libre téléchargement sur le site. Elle espère ainsi inspirer sa communauté à se rendre à la rencontre de la biodiversité française.
Plus MEEKO touchera de monde, plus nous pourrons faire passer des messages et (re)créer un lien émotionnel fort entre notre communauté et la nature.
MEEKO, des sneakers durables au design holistique
Ultra-tendance, les sneakers MEEKO ont aussi un supplément d’âme.
L’écoresponsabilité
Une paire de MEEKO émet en moyenne 6kg de CO2… soit 3 à 4 fois moins qu’une paire de sneakers classique.
Cette performance s’explique par les choix qui ont été faits à chaque étape du processus de production :
- Aucune matière animale ;
- Des matières recyclées, biosourcées et tracées (non issues de la déforestation) ;
- Atelier d’assemblage au Portugal ;
- Fournisseurs Italiens, Espagnols et Portugais ;
- Programme de recyclage en fin de vie ;
- Atelier et fournisseur de semelles alimentés par panneaux solaires (> 80 %).
Un programme d’impact positif
Pour contribuer à la préservation de la vie sauvage, MEEKO reverse 30 % de ses bénéfices à des ONG locales engagées dans la protection des espèces menacées et de leur habitat naturel. C’est le programme #STEPCLOSER.
Deux associations bénéficient actuellement de son soutien :
- Le Sumatra Rainforest Institute (SRI), en Indonésie. Via des patrouilles, ainsi que des actions de reforestation et de sensibilisation, elle défend plusieurs espèces animales de la forêt primaire (orang-outan, tigre, rhinocéros, éléphant, gibbon…) contre la déforestation et le braconnage.
- La PAMS Foundation, à Kitete en Tanzanie. Elle met en place des patrouilles, ainsi que des actions de sensibilisation et de prévention des conflits, pour préserver les espèces de la savane et de la jungle (éléphant, zèbre, girafe, lion, léopard, buffle) du braconnage, du climat, et de la proximité avec communautés locales.
À propos de Guillaume Mesly d’Arloz, cofondateur
J’ai toujours eu du mal à comprendre pourquoi tant de gens étaient fascinés par la vie sur Mars…alors que nous avons des espèces incroyables ici même sur Terre !
Guillaume a grandi dans le Sud de la France, à Nice, au plus proche de la nature.
Dans cette région extraordinaire, une heure de route suffit pour passer de la mer Méditerranée au cœur des montagnes. Avec ses parents, des passionnés de randonnée, Guillaume a découvert le monde sauvage très jeune. Il est rapidement tombé amoureux des animaux locaux comme les marmottes, les chamois, les bouquetins, les aigles, les vautours, etc.
Cet amour pour la vie sauvage ne l’a jamais quitté, même si ses études l’ont conduit sur une autre voie. À la fois bon élève et passionné de sport (tennis et boxe), Guillaume a suivi un parcours classique pour son type de profil, en faisant une prépa puis en intégrant une bonne école de commerce.
Il s’est spécialisé dans le sport et le marketing et a commencé à travailler pour différents types de structures. En parallèle à ses premières expériences pro, Guillaume a beaucoup voyagé dans des endroits sauvages afin de continuer à découvrir la nature.
J’ai notamment fait du bénévolat à Sumatra et en Amazonie. C’était déchirant de voir les dommages causés par les activités humaines sur des écosystèmes aussi uniques.
De retour en France, il reprend sa vie parisienne… très paradoxale. Alors qu’il considère la préservation de la faune et de la flore comme un sujet fondamental, il continue au quotidien à porter des produits ayant un impact dramatique sur les êtres vivants (humains compris) : vêtements, accessoires, baskets, articles de sport, etc.
Une contradiction partagée par de nombreuses personnes, en raison de la perte du lien avec la nature au fil des années. Entourées de béton et d’écrans, ces générations n’ont que très peu d’expérience de nature au quotidien. Elles sont donc moins sensibles à la crise du vivant…
Guillaume a donc décidé d’agir en mettant son goût pour l’entrepreneuriat au service d’une mission positive pour la biodiversité : le concept MEEKO venait de naître !
Aujourd’hui, la jeune marque française ambitionne d’accroître sa notoriété en se développant en France & en Europe : implantation de la marque dans des boutiques, acquisition online (social media, SEO, SEA), partenariats avec d’autres marques (collaborations) et influence, etc.
Pour en savoir plus
Dossier de presse : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20230313143121-p4-document-wkbh.pdf
La mission Meeko : https://meeko.store/pages/notre-mission
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