Économiser près de 400 € par an, sans concessions
Alors que les jeunes et les personnes aux revenus modestes sont les plus touchés par la hausse des prix, leur situation va rester difficile dans les années à venir : le FMI estime que l’inflation en Europe va rester au-dessus de ses objectifs au moins jusqu’au milieu de l’année 2025 (source). Après les fêtes de fin d’année qui ont clôturé une année 2023 économiquement difficile, l’heure est plus que jamais aux économies : à la fin du mois de novembre 20023, l’inflation était à + 3.5% par rapport à novembre 2022. (source).
Toutes les catégories de produits sont concernées : l’alimentation, l’énergie, l’essence, la culture, etc. Avec, parfois, des augmentations de tarifs “déguisées”. On a par exemple beaucoup parlé de la “shrinkflation”, une pratique qui consiste à diminuer la quantité d’un produit sans en changer le prix.
Mais elle est loin d’être la seule ! Prenons le cas de Netflix. Contrairement aux idées reçues, le géant américain du streaming n’a pas du tout bloqué le partage de compte. En réalité, les utilisateurs ont maintenant l’autorisation explicite de partager leur accès en dehors de leur foyer via un système d’invitation… à condition de payer un supplément financier.
Concrètement, il s’agit donc d’une hausse de prix “cachée”. Et l’appétit du géant américain n’est pas encore satisfait, alors qu’il a profité des nouvelles contraintes pour les utilisateurs pour acquérir des données personnelles sur tous ceux qui jusque-là, accédaient au service via le compte d’un proche. Une probable disparition du plan Netflix Essentiel est prévue, déjà en cours de déploiement dans plusieurs pays comme le Canada, pour pousser les utilisateurs vers les tarifs les plus élevés.
Plus récemment encore, Spotify vient d’annoncer relever le prix de tous ses abonnements de 1 à 2€ selon les formules, à l’instar de Deezer, Disney+ et Apple qui ont également augmenté leurs prix.
D’où le succès de la start-up Sharesub ! En facilitant l’accès aux services numériques grâce au co-abonnement, cette jeune pousse permet d’économiser jusqu’à 400 €/an en moyenne.
Sa croissance est d’ailleurs dopée par l’explosion des demandes de partage pour les ménages à revenus modestes : non seulement le partage des frais reste possible, mais il devient nécessaire pour un plus grand nombre en raison du coût supérieur. Les abonnés peuvent en effet proposer les places additionnelles de leur abonnement, en toute légitimité, et ainsi réduire le coût de leur abonnement.
Sharesub est également particulièrement attractif pour les indépendants, de plus en plus nombreux à l’adopter.
Pionniers du partage d’ abonnement, nous sommes convaincus que nous avons un rôle à jouer pour démocratiser l’accès à la culture, à la musique et à une presse payante de qualité.
Jean-Brice de Cazenove, fondateur
Près de 512 services numériques accessibles à petits prix
À la rentrée, le partage d’abonnement s’impose comme le réflexe à adopter pour donner un second souffle à son budget. Le concept est très simple : les particuliers utilisent la plateforme Sharesub pour partager leurs abonnements avec des inconnus ou avec leurs proches. Avec, en prime, la garantie de bénéficier d’un environnement encadré et sécurisé.
Le plus vaste catalogue d’abonnements du marché
Lancée en 2020 et pionnière du domaine, la plateforme Sharesub a référencé près de 512 services ces 3 dernières années, et son catalogue s’étoffe régulièrement, avec deux ou trois nouveaux abonnements ajoutés par semaine. On y trouve un large choix d’abonnements disponibles dans toute l’Europe : VOD, musique, logiciels, presse, apprentissage et sécurité informatique…
Quelques exemples très concrets d’économies à réaliser
- Le Monde : de 50 à 150 € par an selon la formule choisie ;
- Microsoft Office : 1,70 €/mois au lieu de 10 €/mois, soit une économie de 100 € sur l’année ;
- Spotify : jusqu’à 89 €/an par rapport à l’offre Premium individuelle ;
- Deezer : jusqu’à 84 €/an par rapport à l’offre Premium individuelle ;
- Disney : 3,63 €/mois au lieu de 25,99 €/par mois.
Un système très avantageux pour les abonnés
- Jusqu’à 80 % d’économies sur certains services ;
- Participer à plusieurs abonnements permet d’économiser jusqu’à 300 à 400 euros par an ;
- Aucuns frais ne sont prélevés aux utilisateurs qui partagent leur abonnement.
- Les frais pour les participants sont très faibles et sont les plus bas du marché
- Aucun engagement de durée d’abonnement
La sécurité de A à Z
Au-delà de sa simplicité d’utilisation, Sharesub se démarque aussi par son fonctionnement “100 % sécurisé” : informations confidentielles cryptées avec un chiffrement de haut niveau, chat sécurisé, séquestre des paiements des acheteurs conforme avec les règles de l’ACPR, remboursement en cas de problème avec l’abonnement de l’organisateur… Rien n’a été oublié pour la tranquillité des utilisateurs et la start-up joue pleinement le rôle de tiers de confiance. Cela se ressent avec des avis excellents sur la plateforme.
Un service éthique qui profite à tous
En jouant le rôle de tiers de confiance, Sharesub aide également les éditeurs de contenus à toucher une audience plus large, en les rendant plus accessibles aux populations à revenus modestes. En réduisant le désabonnement et en évitant les abonnés de courte durée, il permet d’inscrire les utilisateurs dans une utilisation long terme.
Les tendances du marché ?
Sharesub observe en permanence la popularité des abonnements sur sa plateforme. Mais que partagent les Européens ?
- La VOD : elle est en effet le premier média le plus partagé. Netflix n’est pas l’éditeur le plus partagé sur la plateforme, mais le 1er en VOD. Toutefois, Disney plus et Apple sont en forte progression depuis les annonces de Netflix, et les nouveaux comme Paramount progressent fortement ;
- La musique avec Spotify et Deezer par exemple ;
- Les logiciels (Office, VPN…) suivent le classement
- Les abonnements à la presse sont également en bonne position.
Portrait de Jean-Brice de Cazenove, fondateur
Après une formation généraliste dans le digital, Jean-Brice de Cazenove a travaillé pendant plus de dix ans dans la production et l’édition de jeux vidéo pour PC, mobile, et consoles Xbox, PlayStation et Nintendo.
En 2013, Jean-Brice prend une année sabbatique, et parcourt le monde à la voile. Il revient de ce périple avec l’envie de créer des projets porteurs de sens.
En 2015, il co-fonde Twil, une place de marché permettant aux vignerons de vendre leur production directement aux consommateurs, en tant que CTO / CPO.
Cette longue expérience dans l’univers de la marketplace et des solutions de paiements lui a permis d’acquérir une solide expertise, qu’il a mise à profit en fondant Sharesub en 2020.
Rejoint dans l’aventure par ses associés Julien Salomon, un directeur technique expérimenté, et par Benjamin Rodriguez qui dirige les opérations, l’entreprise présente des garanties de sérieux par son expérience étendue des projets digitaux et des systèmes de paiement.
Pour en savoir plus
Site web : https://www.sharesub.com/fr
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