Prix St Jean-Paul II 2022 le 1er juin : un essai scientifique, un essai témoignage et une oeuvre artistique récompensés pour promouvoir la Famille, l’Amour et la Vie

Pour 72% des Français, c’est la famille qui rend le plus heureux, devant la vie sociale et la vie amoureuse (source).

Pourtant, force est de constater que nombre de personnes sont confrontées à des difficultés majeures dans notre société contemporaine : qu’il s’agisse de l’éducation des enfants, de maintenir une cohésion familiale ou de préserver son couple, les problématiques semblent se multiplier à l’infini.

Il y a donc urgence à promouvoir une approche différente de ces questions, basée sur la foi catholique.

D’une étonnante actualité et incarnant une façon d’être missionnaire, à contre-courant de la culture dominante de notre temps, le Prix Saint Jean-Paul II pour la Famille, l’Amour et la Vie, récompense chaque année un essai scientifique, un essai témoignage et une œuvre artistique.

Il sera remis le 1er juin 2022 avec la participation de Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron. La cérémonie aura lieu à 14h15 à la Maison de Saint François-Xavier, Salle Saint-François – 7, place du Président Mithouard Paris 7°. Patrice Martineau apportera une touche musicale avec quelques chansons bien dans le thème…

Ce jeune Prix, dont c’est la deuxième édition, est abrité par L’Institut pour la Famille en Europe, l’association mère de L’Accueil Louis & Zélie, de LIFE Editions et de Marie qui guérit les couples.

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Un prix créé pour mettre en lumière l’immense pasteur et docteur que fut Saint Jean-Paul II

Saint Jean-Paul II a compris et accompagné les situations difficiles vécues par les familles et les couples en prenant en compte les particularités et cheminements individuels. Il a offert à tous la lumière de la vérité qui réchauffe et réconforte.

Aujourd’hui, innombrables sont les fidèles qui se nourrissent de ses enseignements et les hommes de bonne volonté reconnaissent en Saint Jean-Paul II un témoin de la vérité et de l’amour.

Le Prix Saint Jean-Paul II lui rend hommage en visant à stimuler l’écriture d’ouvrages et la réalisation d’œuvres d’art destinées à promouvoir la doctrine catholique sur le mariage et la famille, telle qu’elle a été magnifiquement mise en lumière par Jean-Paul II.

Un jury prestigieux pour un prix au rayonnement national & international

  • Guillaume d’Alançon – Président, Fondateur de l’Institut pour la Famille en Europe ;
  • Xavier Blandin - Président de l’Institut pour la Famille en Europe ;
  • Jennifer Carrupt – Présidente de la Fondation pour la famille (Suisse) ;
  • Michel Deguy – Cardiologue, directeur de la revue médicale Alsoha (Liban) ;
  • Olivier Dehaudt – Président de l’association “Choisir la Vie” (Suisse) ;
  • Abbé Henri Delavenne – Curé de la Paroisse Saint-Georges-de-Boscherville, docteur en théologie ;
  • Jokin de Irala – Professeur d’épidémiologie et de santé publique à l’Université de Navarre (Espagne), membre de l’Académie Pontificale pour la Vie ;
  • Anne Lecointre – Responsable de l’Accueil Louis et Zélie de Lorient, étudiante à l’Institut Karol Wojtyla ;
  • Olivier Minvielle – Écrivain, agrégé d’histoire et enseignant dans l’enseignement catholique ;
  • Aude Mirkovic – Maître de conférence en droit privé et porte-parole de l’association “Juristes pour l’Enfance” ;
  • Philippe Nicolardot – Contrôleur général des Armées (2s) ;
  • Augustin Oudot de Dainville – Ingénieur École centrale de Paris, étudiant en théologie à l’Institut Catholique de Toulouse ;
  • Jean-Paul et Hélène Perez - Médecins. Communauté du Verbe de Vie. Institut Jean-Paul II, Collège des Bernardins. Membres du Conseil Famille et Société de la Conférence des évêques de France ;
  • Grégor Puppinck – Directeur du Centre Européen pour le droit et la justice, docteur en droit ;
  • Yves Semen – Président et fondateur de l’Institut de Théologie du Corps, docteur en philosophie ;
  • Raphaëlle Stevenson – ENS, ESM Saint Cyr, animatrice Teenstar, éducatrice à la vie affective relationnelle et sexuelle (CLER) ;
  • Jean de Tauriers - Président de Notre-Dame de Chrétienté ;
  • Gabrielle Vialla – Écrivain, formatrice méthode billings, lauréate du Prix Saint Jean-Paul II 2021.

3 lauréats récompensés

L’édition 2022 du Prix Saint Jean-Paul II est particulièrement riche en créations qualitatives !

Sont récompensés :

Section Essai : “Encyclopédie sur la sexualité humaine, l’amour et la fécondité”, sous la direction de José Noriega et de René et Isabelle Ecochard, publiée aux Éditions Téqui

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Cette encyclopédie est la version française du Dizionario su sesso, amore e fecondità, publié à Rome par l’Institut pontifical théologique Jean‐Paul II pour les sciences du mariage et de la famille en 2019. Elle regroupe des articles de biologie, théologie, médecine, mais aussi des travaux en sciences humaines ou philosophie. C’est un outil fantastique pour toute personne qui étudie l’être humain.

Sous la direction de Mgr Noriega et de René et Isabelle Ecochard, les 170 articles sont rédigés par plus de 120 professeurs et experts internationaux.

Section Témoignage : “La voie de l’éducation intégrale” de François-Xavier Clément, publié aux éditions Artège

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L’enfant n’est pas seulement un cerveau avec un cartable, l’enfant ne se réduit pas à une boîte à savoirs. Fort de cette conviction, tout parent désire l’épanouissement de son enfant dans toutes ses dimensions. C’est le pari de l’éducation intégrale.

À une époque où les repères s’effacent et les structures éducatives sont à la peine, seule une vision moderne de l’éducation fondée sur la foi chrétienne est en mesure de répondre aux défis posés par le monde contemporain.

Nourri d’une irremplaçable expérience de terrain dans le monde scolaire, l’auteur développe une approche innovante et accessible à tout parent comme à tout enseignant. Principes théoriques et applications pratiques sont ainsi parfaitement mariés pour donner naissance à un ouvrage qui, pour la première fois, synthétise avec grand talent l’éducation intégrale dans toutes ses composantes.

François-Xavier Clément est père de famille, philosophe de formation. Enseignant, puis chef d’établissements scolaires du second degré, il a été directeur de l’enseignement catholique de la Loire. Il est également auditeur de l’Institut des hautes études de la Défense nationale (IHEDN).

Section Oeuvre d’art – Statue La Bella Pastora, de Javier Viver, pour la Communauté Iesu Communio, en Espagne

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Iesu Communio est l’un des nouveaux instituts religieux pour femmes qui a attiré le plus de vocations ces dernières années. 200 religieuses – dont la moyenne d’âge est très jeune – sont réparties dans 2 maisons. Elles vivent un charisme particulier entre prière contemplative et engagement apostolique. Elles accueillent des milliers de pèlerins, dont beaucoup de jeunes.

Au cœur de l’institut religieux se trouve la Vierge Marie, représentée par une sculpture que les religieuses appellent la “Bella Pastora”, la Belle Bergère. Cette statue possède une esthétique particulière représentée par une jeune femme enceinte, assise, qui serre les mains contre son cœur.

Javier Viver est sculpteur et photographe. Espagnol, son travail consiste à essayer de faire connaître l’invisible.

Pour en savoir plus

Découvrir le Prix Saint Jean-Paul II : https://www.life-europe.fr/prix-st-jp-ii

Site web : https://www.life-europe.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/LIFE-europe-381007062286375/

Ramadan : L’ENCRAM organise le 20 avril un Repas de rupture du jeûne interreligieux et interculturel

Cette année, le Ramadan se déroulera du samedi 2 avril au lundi 2 mai. Ce temps fort du culte musulman, qui constitue l’un des cinq piliers de l’Islam, sera célébré en France par plus de 5 millions de fidèles.

Durant un mois, les pratiquants vont jeûner de l’aube jusqu’au coucher du soleil. L’iftar, le repas de rupture du jeûne, est un moment attendu par tous, synonyme de générosité et de partage.

Pour refléter cette philosophie d’ouverture, l’École Nationale des Cadres Religieux et Aumôniers Musulmans (ENCRAM) organise un repas de rupture du jeûne le 20 avril à 19h dans ses locaux situés à Ostwald (à proximité de Strasbourg).

Inter religieux et interculturel, il se déroulera notamment en présence de personnalités issues de milieux très différents : l’ensemble des représentants du culte (protestant, catholique, bouddhiste, etc.), des élus locaux, le grand Rabbin de Strasbourg, et plusieurs universitaires.

Cette soirée sera animée par le professeur Emmanuel Tourpe, docteur habilité en philosophie, Chevalier dans l’ordre des Arts et des Lettres.

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ENCRAM : transmettre une vision du juste milieu de l’Islam

Située à proximité de Strasbourg, à Ostwald, l’ENCRAM a été fondée en 2021 pour répondre à l’injonction du Président de la République de ne plus avoir sur le terrain d’imam détaché de leurs pays d’origine.

Actuellement dirigée par Abdelhaq NABAOUI (Imam, Chevalier de la Légion d’Honneur et Docteur en physique nucléaire), l’ENCRAM bénéficie d’un financement 100% franco-français.

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L’enseignement, destiné aux cadres religieux s’adressant à différents publics, permet d’acquérir une vision du juste milieu de l’Islam ainsi que tous les fondamentaux pour accompagner les fidèles au quotidien (ex. : psychologie de l’écoute, art du prêche).

À terme, les formations proposées par l’ENCRAM ont vocation à devenir diplômantes.

Zoom sur les formations proposées

Formation des Aumôniers en établissements de santé

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Objectif : Former les aumôniers musulmans qui œuvrent au sein des hôpitaux pour accompagner les patients et leurs familles, leur apporter le soutien moral et spirituel dont ils ont besoin.

Ce programme est destiné aux aumôniers et auxiliaires déjà en place, ainsi qu’à toute personne intéressée par cette fonction.

Le contenu est particulièrement complet puisqu’il traite de :

  • L’organisation du système de santé en France ;
  • La laïcité dans les hôpitaux ;
  • Panorama général sur les principales pathologies ;
  • La dimension interreligieuse dans les hôpitaux ;
  • La psychologie de l’écoute ;
  • La démarche centrée sur le patient ;
  • La finalité spirituelle du rôle de l’aumônier ;
  • L’aumônerie comme dimension du soin ;
  • La jurisprudence musulmane de la naissance à la fin de vie.

Prérequis : être titulaire du baccalauréat (ou d’une équivalence). Une sélection sur dossier permet de prendre en considération les cursus particuliers.

Formation en présentiel et en visioconférence. Prix : 250 €.

Formation des Imams 

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Objectif : former de nouveaux Imams. Ce cursus dure 3 ans.

Ce programme est ouvert à tous, à condition d’être titulaire du baccalauréat (ou d’une équivalence). Une sélection sur dossier permet de prendre en considération les cursus particuliers.

Très qualitative, cette formation va traiter de :

  • Théologie musulmane ;
  • Sciences islamiques ;
  • Civilisation musulmane ;
  • Mémorisation du Coran ;
  • Rhétorique et art du prêche ;
  • Droit des cultes en France ;
  • Histoire des autres religions.

Prix : 400 €.

À propos d’Abdelhaq NABAOUI, le directeur de l’ENCRAM

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Ancien professeur de physique, Abdelhaq NABAOUI est Docteur en physique nucléaire (Université Louis Pasteur, Strasbourg) et titulaire d’un Diplôme universitaire « Inter culturalité-religions laïcité » niveau III (Institut catholique, Paris).​

Chevalier de la Légion d’Honneur, cet ancien Aumônier National des hôpitaux pour le culte musulman, toujours Imam à Strasbourg, est très impliqué dans le dialogue inter religieux. Convaincu que la formation est indispensable, Abdelhaq Nabaoui a notamment créé l’ENAH (École Nationale de l’Aumônerie Hospitalière), inaugurée par Jean-Pierre Chevènement en 2018, un établissement qu’il préside encore aujourd’hui.

Abdelhaq Nabaoui est aussi l’ancien Président du CRCM Alsace (Conseil Régionale du Culte Musulman) et l’actuel Président du Centre Iqraa (Centre culturel et cultuel à Strasbourg).

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Pour en savoir plus

ENCRAM – 9 rue des Rossignols 67540 Ostwald

Site web : https://encram.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/encram/

Halalcourses, le premier supermarché Halal qui livre toutes vos courses partout en France

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En France, l’Islam est la deuxième religion du pays, avec 5 à 6 millions de pratiquants et de non-pratiquants (source : Pew Research CenterInsee et Institut Montaigne).

Pour tous ces Français de confession musulmane, consommer Halal est un véritable défi. D’abord parce que les produits halal ne représentent que 0,3 % des produits dans la grande distribution, ce qui limite le choix et peut aussi les rendre plus difficiles à trouver.

Néanmoins, la demande est en constante augmentation : car avec 320 millions d’euros de produits halal vendus dans la GMS en 2020 selon le cabinet Nielsen (étude de marché arrêtée au 4 octobre 2020), cela représente une progression de +12% par rapport à 2019.

Ensuite, il y a un problème de confiance. Dans la mesure où les producteurs ne sont pas obligés d’avoir recours à une agence de certification halal, les scandales sont nombreux. Une étude a d’ailleurs mis en lumière que près d’un musulman sur deux n’achète que les marques bénéficiant d’une meilleure réputation sur leur garantie halal (source).

Enfin, lorsqu’il s’agit de consommer halal, un autre problème se pose : la proximité. Les grandes métropoles sont mieux achalandées, mais il faut parfois se déplacer loin de chez soi pour trouver le produit recherché (source). Dans les petites villes et surtout dans les zones rurales, manger halal peut devenir très compliqué et implique souvent de faire plusieurs kilomètres pour réussir à faire ses courses. Dans cette période de pandémie, entre les confinements successifs et le couvre-feu, il a souvent fallu faire preuve d’une organisation complexe et chronophage pour continuer à acheter des produits Halal.

C’est pour en finir avec cette situation qu’Halalcourses a été créé. Ce supermarché commercialise uniquement des produits certifiés Halal par des organismes reconnus et indépendants, la gamme commercialisée provient de bêtes abattues à la main et sans électronarcose. Il livre à domicile sur l’ensemble du territoire français en 24h. Une véritable révolution pour les consommateurs Halal !

Une révolution visible durant la pandémie, pendant laquelle les musulmans se sont retrouvés dans une situation très critique car le halal était inaccessible. Halalcourses a donc vu ses commandes multiplié par 20 du jour au lendemain. Certains influenceurs comme Karim Benzema, Karim Houssana, Ayem Nour, Moundir des Apprentis aventuriers et plus encore, ont parlé de nous de façon spontanée pour venir en aide à leur communauté en souffrance à ce moment-là. Une générosité qui nous a laissé sans voix !

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Simplifier la vie des personnes qui mangent Halal

Halalcourses, c’est avant tout une équipe de passionnés composée d’acheteurs bien rodés, d’une équipe logistique et d’un service client en béton, tous animés par la même ambition : démocratiser l’accès au halal.

Bien manger ne devrait jamais être une question de croyances religieuses ! Nous voulons permettre à chaque personne de se faire plaisir tout en mangeant Halal.

Le premier supermarché halal en ligne facilite ainsi la vie des consommateurs musulmans grâce à un service de livraison Express à domicile et à une offre complète de produits secs, frais et surgelés. De la boucherie à l’épicerie, en passant par la crèmerie, les boissons et les légumes, tout est accessible en quelques clics.

Comment ça marche ?

Halalcourses propose un service simple et pratique : il suffit de passer commande pour recevoir ses courses, directement chez soi, en 24h partout en France (sauf en Corse). Pour une livraison express, les commandes doivent être passées avant minuit. Les courses seront alors livrées le lendemain entre 8h00 et 13h00 partout en France et entre 10h et 22h selon le créneau choisi en Ile de France.

Les équipes de Halalcourses livrent eux-mêmes à Paris et dans toute la région parisienne. Un partenariat a été mis en place avec Chronofresh pour une livraison sur le reste du territoire français (exception de la Corse).

Halalcourses en place pour devenir le leader en France

Un secteur concurrentiel

Halalcourses révolutionne le marché du halal en proposant un concept avant-gardiste qui met l’accent sur le service, la qualité, et l’innovation.

En plus d’offrir le seul service de livraison de produits secs, frais et surgelés sur l’ensemble du territoire français, Halalcourses c’est aussi :

Des partenariats avec les plus grandes enseignes

Contrairement à ses concurrents sur le marché français, Halalcourses a réussi à mettre en place plusieurs offres de partenariats. Carrefour, C discount et Uber Eats ont ainsi directement contacté l’entreprise afin d’intégrer leur catalogue de produits dans leurs différents marketplaces. Et ce n’est que le début !

Des marques en exclusivité

Afin d’offrir le plus de diversité au client, le supermarché commercialise en exclusivité plusieurs marques internationales qu’on ne retrouve pas sur le marché français.

Un service client à l’écoute et réactif

Accessible 24h/24 et 7j/7, le service client Halalcourses est présent en permanence pour satisfaire toutes les demandes de ses clients.  Il est aussi ultra-rapide : par exemple, le temps de réponse des opérateurs sur le chat ne dépasse jamais les 10 secondes.

Un respect total de la chaîne du froid

La fraîcheur intacte des produits est garantie, puisque Halalcourses travaille avec Chronofresh, leader du transport frigorifique et par ailleurs seul transporteur habilité à transporter l’alimentaire en France.

Une entreprise aux nombreux projets

Halalcourses ambitionne désormais de continuer à se développer dans tout le territoire afin que chaque Français de confession musulmane puisse vivre sa foi sans avoir à se soucier de questions pratiques au quotidien : manger halal devient enfin à la portée de tous.

L’équipe travaille aujourd’hui pour améliorer son packaging pour concurrencer les marques les plus connues dans le domaine de la livraison « food », tout en continuant de garantir l’excellence (services & produits). Ils sont aussi en train de développer des cartons de livraison et des sacs isothermes personnalisés.

La jeune pousse française pourrait également enrichir son catalogue avec des marques de grande qualité (TGI, Fridays, Rastelli…) qui livrent aujourd’hui exclusivement dans des marchés très développés comme aux Émirats Arabes Unis ou en Angleterre.

Enfin, la marque travaille sur une expansion sur les réseaux sociaux pour acquérir une meilleure visibilité. Pour cela, elle a fait appel à des influenceurs.

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À propos de Halalcourses

Avec plus de plus de 10 ans d’expertise en France dans le secteur des produits frais et surgelés Halal et trente ans en Angleterre (qui dispose d’un marché beaucoup plus développé qu’en France), les créateurs de Halalcourses ont commencé à livrer les professionnels de la restauration rapide avant de passer au marché de la livraison des particuliers.

La gérante de la société Halalcourses a une formation dans les achats à l’international et a commencé son parcours en tant que Manager Projet Achat chez PSA Peugeot Citroën, elle s’occupait de la négociation et l’achat de tout le système de distribution du Groupe. Elle a quitté la société six ans après afin de lancer son projet lui permettant de résoudre une réelle problématique qu’elle a personnellement vécu.

Etant musulmane et mangeant uniquement du halal, la gérante a constaté la rareté, voire l’absence, des produits halal sur le marché français et encore plus en livraison. Vivant dans le 17e arrondissement de Paris, elle devait faire des kilomètres pour trouver une boucherie Halal ou aller dans un supermarché pour trouver un rayon Halal microscopique.

Elle a donc décidé de monter son projet et de créer le service Halalcourses. Aujourd’hui, il n’y a que trois acteurs qui se partagent le marché de la livraison des produits halal. L’un ne livre que du surgelé et l’autre qu’en région parisienne. Halalcourses est le seul acteur a pouvoir livrer du sec, du frais et du surgelé partout en France.

Pour en savoir plus

Site web Halalcourses : http://www.halalcourses.com/

Facebook : https://www.facebook.com/Halalcourses

Instagram : https://www.instagram.com/halalcourses/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/halalcourses/

Avis clients

“Ne perds pas la face” de Simon Descotes, un roman palpitant qui plonge le lecteur au cœur des mouvements religieux intégristes

Quatre jeunes fervents catholiques vont faire main basse sur la relique ultime : la Sainte Face. Leur but est d’apporter la preuve irréfutable de l’existence du Christ et ainsi ramener les croyants dans les églises. Cette aventure pleine de rebondissements va questionner leurs convictions les plus profondes et mettre en lumière leurs contradictions.

Le roman “Ne perds pas la face” est un voyage au cœur des mouvements religieux radicaux et nationalistes qui traversent notre époque.

Simon Descotes, un auteur mystérieux qui a choisi un pseudonyme pour aborder ce sujet brûlant, montre comment les religions sont souvent instrumentalisées pour conquérir ou entretenir le pouvoir de quelques-uns. Elles ont pourtant façonné notre histoire en utilisant des symboles ou des allégories, parfois simplistes, derrière lesquels des légions entières de fanatiques continuent de s’affronter.

Un livre à mettre entre toutes les mains.

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Les plus du livre

  • Un style accessible à tous ;
  • Une histoire à rebondissements qui tient en haleine de la première à la dernière page ;
  • Un roman qui aborde une thématique d’actualité, et donne donc un autre éclairage sur le monde qui nous entoure.

Extrait

“Une semaine plus tard, le précieux linge était de retour à Compiègne. Gérard s’empressa de lui assigner la salle la plus tempérée de l’immense demeure. Il donna la consigne de le laisser dans le noir jusqu’à nouvel ordre. Quelques jours plus tard, le centre de datation rendit son verdict : le linge était vieux de 2 000 ans environ. Gérard exulta en apprenant la nouvelle. C’était une « bénédiction » pour le château, la ville et lui-même. Il s’attribuait une partie du mérite de la découverte car c’est lui qui avait ordonné la recherche initiale. Cerise sur le gâteau, l’équipe de Lucien avait pu confirmer la présence d’une source active dans le puits et l’avait remis en eau sur-le-champ, en dégageant tous les éboulis.

Avec l’autorisation du ministère et en présence du conservateur régional, Gérard donna une conférence de presse pour annoncer la nouvelle. Aucun média national ne reprit la nouvelle, ils demeuraient tous trop attachés à couvrir les premiers jours de la présidence d’Emmanuel Macron. Seuls trois journaux locaux et régionaux se firent écho de l’information.

Le diocèse de l’Oise tenta de récupérer le linge sacré, arguant le fait qu’il appartenait initialement à l’abbaye. Son placement dans la salle secrète du puits n’avait pour but que de le mettre à l’abri des révolutionnaires déchaînés. Le diocèse avait même saisi le juge en référé, mais il n’avait pas obtenu gain de cause.

Suivant les prescriptions des experts, il commanda une vitrine climatisée affichant le contrôle d’hygrométrie. En attendant sa livraison prévue fin septembre, il décida de le conserver sous clef, dans la salle qu’il lui avait octroyée, au deuxième étage du château dans l’aile droite, place Général De Gaulle. Il fit fermer les volets intérieurs par précaution, même si le linge se trouvait déjà à l’abri de la lumière dans sa valise.

Il fit équiper la pièce d’une caméra wifi, reliée au système central de surveillance du château. Il ne fallait prendre aucun risque.”

A propos de Simon Descotes

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Qui se cache derrière le pseudonyme Simon Descotes ?

Tout ce que l’on peut dire est que cet auteur est né dans une famille modeste, fidèle aux traditions chrétiennes. Jeune homme, il se passionne pour le fait religieux, mais choisit finalement le monde séculier : celui des affaires.

Hermann Hesse et Jean-Jacques Rousseau sont ses références littéraires majeures.

« Ne perds pas la face » démontre la fragilité des convictions des combattants de Dieu. Cette aventure pleine de rebondissements nous emmène au cœur des mouvements religieux radicaux et nationalistes qui traversent notre époque.

Avec ce livre, je veux montrer comment le politique peut instrumentaliser la foi pour servir ses intérêts. Comment certains politiciens sont prêts à tout pour se maintenir au pouvoir.

Une passion pour l’écriture

Simon considère qu’écrire est comme partir en voyage.

C’est d’abord un vagabondage, une rêverie qui apporte le thème, le fil directeur du texte à venir ; c’est le projet de voyage. Puis, il faut préparer ses valises : entreprendre des recherches, lire, se documenter. Vient le moment du départ : écrire les premiers mots. Ils ont du mal à sortir, comme un train qui quitte le quai et prend doucement de la vitesse.

Ensuite les idées, les mots affluent comme autant de paysages qui défilent et s’enchainent, selon une logique qui se découvre à lui.

Souvent, je deviens lecteur de mes propres écrits ; des aventures inattendues qui donnent tout leur relief à ma pérégrination. Ma destination finale est rarement celle que j’avais imaginée au départ. J’adore voyager.

Informations Pratiques

“Ne perds pas la face” de Simon Descostes

  • Editions Sydney Laurent
  • ISBN : 979-10-326-4261-0
  • Nombre de pages : 262
  • Prix Broché : 18,90 € – Prix Ebook : 9,99 €

Pour en savoir plus

Dossier de presse : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20210601065003-p3-document-hmzf.pdf

Découvrir le livre : https://editions-sydney-laurent.fr/livre/ne-perds-pas-la-face/

Instagram : https://www.instagram.com/simon.descotes/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/simon-descotes-6284ba214/

Youtube : https://youtu.be/vSw5H6f6fhw

“Considérations sur les Pathologies religieuses” d’André Borowski, un livre passionnant qui propose une alternative basée sur la méthode scientifique pour en finir avec les croyances religieuses

En France et dans l’espace francophone, l’impact des croyances musulmanes est le phénomène religieux contemporain le plus visible, mais l’essor des croyances chrétiennes dans leurs versions évangéliques, souvent d’origine états-unienne, y est souvent sous-estimé.

On s’en tient souvent aux limites traditionnelles de l’action laïque française (et européenne) depuis 150 ans, qui s’interdit toute attaque contre les croyances religieuses en tant que telles, et qui préfère viser uniquement leurs manifestations politiquement dangereuses, principalement dans les domaines éducatifs, légaux et du terrorisme.

Le livre Considérations sur les pathologies religieuses (publié aux éditions L’Harmattan), propose une alternative globale différente de ce combat laïque classique, centré sur des demandes d’actions réglementaires et juridiques placées sous le contrôle du ministère de l’Intérieur (et des cultes). Ce combat fait actuellement l’objet de polémiques entre Monsieur Macron et Madame le Pen (source). De fait, la défense de la méthode scientifique se présente comme le seul socle solide contre le fanatisme religieux à opposer à ceux qui s’imaginent combattre « l’islamisme et les hordes de banlieue » au nom du catholicisme (source).

André Borowski propose de changer de cible en visant les croyances plutôt que les croyants (fanatiques ou non). Pour l’auteur, le « séparatisme » n’a en effet pas sa racine dans les discours de tel ou tel prêcheur, mais au cœur des croyances religieuses elles-mêmes, refuges de vains espoirs de « victoires » parmi les jeunes croyants chrétiens ou musulmans.

Pour s’en défaire, il faut lutter contre toutes les croyances religieuses, toutes les révélations, intrinsèquement dangereuses, indépendamment de leur contenu, au nom de la méthode scientifique.

L’auteur admet que la méthode scientifique est souvent non consensuelle, mais elle permet, par sa méthode de sélection impitoyable, de dépasser les oppositions entre points de vue (savants) opposés. Nous saurons dans deux ans qui avait raison sur la Covid-19, mais sur l’hypothétique divinité de Jésus, les paris sont ouverts depuis plus de 1000 ans, comme les affrontements entre chrétiens et musulmans sur le sujet…

André Borowski veut éradiquer les croyances religieuses, pour éviter de devoir s’en prendre à leurs premières victimes, les croyants, et cela sans toucher à leur « liberté de croyances ».

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Dépasser les limites habituelles du combat laïque

D’Épicure à Bertrand Russell en passant par Julien Offray de La Mettrie et Carl Vogt, sans oublier Karl Marx et Richard Dawkins, ainsi que tant d’autres, l’histoire de la lutte contre la croyance n’est pas née d’hier, pas plus que la recherche d’une compréhension rationnelle, scientifique, des problèmes humains.

Ainsi, de multiples ouvrages ont traité des dégâts immenses créés par les religions (voir Pierre conessa, Avec Dieu, on ne discute pas !). André Borowski propose une approche différente en partant d’un constat : les croyances en tant que telles, lorsqu’elles sont organisées et structurées à grande échelle, sont intrinsèquement dangereuses car issues de révélations ni réfutables ni modifiables. Elles constituent donc une pathologie sociale.

Il serait vain de les interdire, puisqu’elles sont impossibles à emprisonner. En revanche, la science apparait comme une méthode permettant d’éliminer les connaissances erronées ou dépassées. Science et religion s’opposent car elles ont pour fondements des épistémologies radicalement différentes.

L’auteur propose la création de l’acronyme FARSIPP (Falsifiabilité, Répétabilité, Simplicité, Probabilité, Prédictibilité) pour décrire les critères de sélection de la méthode scientifique permettant de trier entre les modélisations les plus fiables de l’univers des humains. Les règles FARSIPP doivent également être utilisées pour estimer la valeur de vérité des croyances religieuses, en refusant un traitement différentié entre croyances et connaissances scientifiques.

Pour André Borowski, il est indispensable de passer d’une laïcité défensive (refus d’un État lié à une croyance) à une laïcité offensive (nécessité d’un État combattant toutes les croyances), dans tous les domaines (de l’éducation primaire à la santé reproductive).

Il souligne :

L’erreur est de considérer les croyances religieuses comme des préférences intellectuelles privées. A l’image du tabac, ce sont des pathologies. Elles doivent donc être traitées comme des enjeux publics importants, des questions politiques centrales au niveau national et international.

Les (grands) petits plus du livre

  • une approche originale : le problème des croyances religieuses “immuables” en tant que telles est traité en profondeur. Alternativement, l’usage généralisée de l’épistémologie scientifique apparait comme un facteur décisif de la paix entre les humains et les nations ;
  • les critères de vérité de la méthode scientifique sont explicités et synthétisés dans l’acronyme FARSIPP ;
  • une prise en compte des multiples dimensions politiques (internationale, intraétatique et interétatique) de la lutte contre les croyances identitaires et religieuses ;
  • une démarche qui explique nombre de phénomènes contemporains : irruption de l’islam dans les sociétés développées, conflits interreligieux indépassables, distorsions de perception de la réalité complexe du monde des humains (dans les domaines politiques, sociaux, médicaux …), montée du créationnisme… ;
  • une tentative d’explication des raisons de l’attrait des religions ;
  • une valorisation de la rationalité, de la méthode scientifique, de l’intelligence, des objectifs chiffrés et mesurables, et des mécanismes institutionnels à mettre en place pour  défendre et propager l’épistémologie scientifique ;
  • des esquisses de «recettes» pour mettre en place la lutte contre les croyances religieuses au niveau pratique.

Sommaire

Préface, par Pierre Conesa

Préambule

Avant-propos

L’importance centrale de l’épistémologie

Un examen de la religion qui considère les spécificités des différents niveaux du réel

Un retour à la raison nécessaire

Une nouvelle approche du phénomène religieux

Les limites du présent livre

Quelques autres remarques préliminaires

I – Les fondements

II – Face aux critiques épistémologiques

III – Sociologie des savants, relativité des savoirs ?

IV – Les problèmes de la communauté scientifique

V – Les croyants, et les autres…

VI – La morale et la spiritualité

VII – Les multiples facettes des religions

VIII – Les identités pathologiques

IX - Combattre le risque religieux

Annexes

Extrait

” De Zanzibar à Anchorage, le spectre de la croyance religieuse hante le monde. Beaucoup la pensaient morte ou inoffensive, apprivoisée et contrôlée. Le 11-Septembre a eu raison de ces illusions. La croyance religieuse surgit derrière chaque conflit entre les groupes humains pour conforter les « droits à la justice ». « L’infâme » (dixit Voltaire) ressort derrière chaque ignominie à grande échelle, derrière chaque oppression.

Pour la combattre, beaucoup veulent l’attaquer à coups d’arguties sentimentales et humanistes (« ce n’est pas bien d’oppresser les femmes »). Ces grandes âmes ne s’en prennent cependant généralement, de fait, qu’à une seule religion, ou à un groupe religieux, qui se sent alors attaqué par une autre croyance issue du « faux dieu ». Et la perception d’agression renforce souvent la cohésion interne du groupe.

Un des principaux obstacles rencontrés par ceux qui veulent limiter les risques liés à la croyance religieuse est la façade innocente de celle-ci, son apparence positive et compassionnelle. Que d’efforts pour faire comprendre que les religions, tout comme les sodas, sont des produits dangereux qu’il faut éloigner des enfants !

Un des socles importants de la croyance religieuse est l’acceptation très répandue d’un thème « moral » rabâché bien avant sa publication en 1879 par Dostoïevski dans son roman Les Frères Karamazov : « si Dieu n’existe pas, alors tout est permis ». Une idée à la fois courante et aberrante, reprise, hélas, implicitement par beaucoup. Or, la réalité du fondement « moral » de multiples comportements humains est plutôt le suivant: « Notre dieu existe, alors tout nous est permis ». Nous pouvons en voir l’effet pratique au travers de cette nouvelle de décembre 2014, la BBC annonçant alors : « Jihadist attacks killed more than 5,000 people in just one month. »

Il n’y a pas d’échappatoire. Il faut traquer partout les croyances – mais non les croyants. Agir au travers de la défense de l’épistémologie scientifique, de la méthode de connaissance utilisée par la science, n’est pas la voie la plus facile ni la plus simple, mais cette approche est universelle et clarificatrice. La méthode d’acquisition des connaissances – et non son contenu actuel (le savoir scientifique) – forme le critère de démarcation de la science. La généralisation de cette méthode, basée sur une épistémologie forte, sera sur le long terme un outil essentiel de la guérison.

Ce livre se veut d’abord une boîte à outils pour tous ceux qui comprennent les dangers des croyances religieuses et identitaires, mais qui font face à un obstacle de taille : la méthode scientifique pousse toujours à plus d’esprit critique, y compris sur elle-même. Or, la croyance religieuse, même celle destinée aux « clairvoyants », vise à anesthésier cet esprit critique. En face de ce brouillage massif, intrinsèque, multiséculaire, rétablir une perception correcte de la réalité des méthodes de connaissance est une tâche ardue.”

A propos d’André Borowski

André Borowski

Installé à Genève, André Borowski est amateur de sciences (physique, astronomie, biologie…), d’histoire (particulièrement celle des sciences, du XXe siècle, celle des religions) et d’économie. Il dispose d’une longue pratique professionnelle dans divers domaines techniques.

L’athéisme revêt pour lui une forme d’évidence, encore renforcée après le 11 septembre 2001.

Son livre Considérations sur les pathologies religieuses est le fruit d’une longue maturation qui a duré plusieurs années. Il est notamment une réponse à la dérive de certains intellectuels qui ont perdu la boussole du combat des lumières.

L’approche du problème religieux par l’épistémologie est probablement plus difficile mais, sur le long terme, plus efficace que la seule approche par les contenus dans la lutte contre les croyances à large échelle

Informations Pratiques

Considérations sur les pathologies religieuses d’André Borowski

  • Date de publication : 1 juin 2021
  • Editeur : L’Harmattan
  • Format : 15,5 x 24 cm
  • ISBN : 978-2-343-22889-1
  • EAN13 : 9782343228891
  • EAN PDF : 9782140180859
  • 374 pages
  • Prix : 37 € broché – 28,99 € version numérique

Pour en savoir plus

Site web : https://contra-religiones.com/

Le livre aux éditions L’Harmattan : https://www.editions-harmattan.fr/livre-considerations_sur_les_pathologies_religieuses_contra_religiones_andre_borowski-9782343228891-70114.html

L’Institut de Théologie du Corps : se former à la théologie du corps développée par le pape Jean-Paul II grâce au Mastère en théologie du corps

Alors que l’ “année de la famille Amoris laetitia” décrétée par le pape François a été ouverte le 19 mars dernier, tous les catholiques sont invités à se former en profondeur aux questions du mariage et de la famille.

Ainsi, à mille lieues des idées reçues, l’approche de l’Eglise dans ce domaine est très éloignée de la perception que peuvent en avoir les croyants, qu’ils soient ou non pratiquants. Aujourd’hui, l’Eglise souffre d’un déficit d’image sur toutes les questions qui ont trait au corps et à la sexualité. Pour nombre de personnes, elle n’a jamais su développer qu’un discours négatif et restrictif sur la sexualité en la bornant à l’impératif de la procréation.

Or la position de l’Eglise a considérablement évolué grâce à l’enseignement du pape Jean-Paul II sur l’amour humain, le mariage, le corps et la sexualité. Il a en effet profondément renouvelé l’enseignement traditionnel de l’Eglise catholique sur ces sujets et créé une doctrine désormais connue sous le nom de « théologie du corps ».

Yves Semen, le fondateur de l’Institut de théologie de corps, explique que “la théologie du corps fait voler en éclat les préjugés en montrant que, dans le plan de Dieu, la sexualité est ordonnée à la communion des personnes. C’est donc par là que l’homme est image de la communion éternelle des personnes divines.”

La théologie du corps constitue un message authentiquement libérateur en dévoilant le plan de Dieu sur le corps humain sexué et sa vocation au don. Les questions d’éthique sexuelle sont ainsi présentées de façon à être audibles et totalement acceptables par les hommes et les femmes d’aujourd’hui.

C’est pour former à cet enseignement que l’Institut propose un Mastère en théologie du corps afin de permettre à toute personne d’acquérir une réelle expertise sur ce sujet, tant pour l’appliquer dans sa vie que pour exercer dans des postes à responsabilité au sein de l’Eglise.

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La théologie du corps : une approche personnaliste du corps et de la sexualité

La théologie du corps développée par le pape Jean-Paul II durant plus de 5 années d’enseignement à travers ses audiences générales constitue le plus vaste enseignement pontifical de tous les temps sur un même sujet : elle comporte plus de 800 pages de texte.

D’abord ignorée du grand public, cette théologie connaît depuis une dizaine d’années un essor significatif car elle est particulièrement en phase avec les enjeux actuels.

Parce qu’elle renouvelle profondément la vision traditionnelle du corps et de la sexualité, la théologie du corps réconcilie avec l’Eglise beaucoup de personnes qui s’en étaient éloignées pour des questions d’éthique sexuelle qu’elles ne comprenaient pas ou mal.

Mais comment partager ce précieux enseignement avec un maximum de personnes ? Il est aujourd’hui indispensable d’acquérir une connaissance approfondie de ce corpus doctrinal pour le divulguer avec exactitude.

L’Institut de Théologie du Corps propose différentes formations permettant de répondre au besoin fondamental des hommes et des femmes de notre temps : retrouver des bases anthropologiques solides leur permettant de comprendre qui ils sont et à quoi ils sont appelés, alors que ces fondements sont ébranlés comme jamais ils ne l’ont été.

L’Institut de Théologie du Corps a notamment mis en place un Mastère permettant d’accéder à des postes de responsabilité dans les secteurs de la pastorale de l’Eglise où on a besoin d’une juste vision du corps, de la sexualité et de l’amour (pastorale de la famille, du mariage, des jeunes, des vocations, catéchèse, aumôneries, etc.)

Ce Mastère, créé en coopération avec l’Institut Pontifical Jean-Paul II pour les études sur le mariage et la famille,  s’adresse aux personnes titulaires d’une Licence (Bachelor) ou d’un titre admis en équivalence et qui souhaitent acquérir une connaissance approfondie de la théologie du corps.

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Un Mastère de 2 ans à suivre en présentiel ou en distanciel

Habituellement, les universités catholiques qui abordent la théologie du corps n’y consacrent que quelques dizaines d’heures. Mais c’est loin d’être suffisant pour étudier en profondeur les 135 catéchèses de Jean-Paul II !

L’Institut de la Théologie du Corps propose une approche à 360° en plus de 500 heures d’enseignement sur deux années.

Les enseignements alternent des cours fondamentaux à partir du texte des catéchèses de Jean-Paul II sur la théologie du corps et des séminaires d’élargissement ou d’approfondissement des perspectives de la théologie du corps aux plans historique, culturel, sociologique, psychologique, philosophique, théologique ou spirituel, ou encore de confrontation de la théologie du corps avec des questionnements anthropologiques et culturels contemporains.

  • La 1ère année du Mastère est consacrée à l’étude de la 1ère partie de la théologie du corps (« Les paroles du Christ ») et aux séminaires afférents ;
  • la 2ème année est consacrée à la 2ème partie (« Le sacrement ») et aux séminaires afférents. A la fin de la 2ème année du Mastère l’étudiant doit avoir rédigé un mémoire d’au moins une cinquantaine de pages dactylographiées qui fait l’objet d’une soutenance devant un jury.

Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 31 juillet 2021.

Une organisation pédagogique tout en souplesse

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Les cours se déroulent sur deux années universitaires de deux semestres, chacun comptant 12 semaines. Le cursus totalise ainsi 48 sessions d’enseignement et 4 sessions d’examens sur deux années à raison de deux jours consécutifs par semaine sur 26 semaines par année.

Cette organisation pédagogique présente un réel avantage : comme les cours & examens n’occupent que partiellement les semaines sur la moitié de l’année, il est possible de suivre le cursus du Mastère tout en assurant une charge pastorale ou un emploi à temps partiel.

De plus, le Mastère en théologie du corps est proposé à la fois en mode présentiel à Lyon et à distance en vidéo.

L’Institut de Théologie du Corps compte ainsi des étudiants dans plusieurs pays en dehors de la France : Belgique, Etats-Unis, Mexique, Brésil, Liban et même Chine. L’enseignement à distance est réalisé à partir des enregistrements vidéo des cours donnés en présentiel, ce qui permet aux étudiants à distance d’avoir l’impression d’être “dans la salle de cours”.

Avec, toujours, la volonté d’accompagner individuellement chaque étudiant tout au long de son parcours d’études

Les étudiants bénéficient d’un suivi personnalisé et d’une assistance pédagogique par l’équipe de direction et les professeurs.

Témoignages

“La famille est, après Dieu, notre plus grand trésor. Il nous revient à nous, chrétiens, de la faire connaître à nos contemporains qui l’attendent avec une soif ardente. Il est donc extrêmement précieux que nous devenions des professionnels de cette Bonne Nouvelle. Merci à l’Institut de Théologie du Corps de nous y aider efficacement.”

“Le Mastère m’a apporté une meilleure compréhension de l’Église et du catholicisme. Une meilleure connaissance de l’homme également, par la multitude de penseurs étudiés.”

“Pour moi, plonger dans l’étude de la Théologie du corps fut comme une aventure intérieure désirée depuis longtemps. Partir à la découverte de ses racines profondes et vivre comme une transfiguration de tout son être. C’est un voyage passionnant, chaleureux, chaque professeur donne le meilleur de lui-même. Ils nous permettent d’accéder aux difficiles réalités du monde contemporain avec sérénité et courage.”

“Ayant suivi le Mastère de l’ITC, je note avec beaucoup de joie que j’ai reçu beaucoup de précisions surtout en matière d’éthique. Cela me rassure dans ma mission d’enseignement. Maintenant, je comprends qu’il faut lier anthropologie, éthique et spiritualité dans la pastorale.”

“On apprécie une grande cohérence et complémentarité dans les enseignements et un souci constant de mieux connaître l’homme de notre époque : ses aspirations, ses influences, sa manière de s’appréhender lui-même.”

A propos de l’Institut de Théologie du Corps

Créé en 2014, l’Institut de Théologie du Corps est en France le seul établissement d’enseignement supérieur dédié à l’enseignement de la théologie du corps.

Constitué en association loi 1901, il a le statut d’établissement d’enseignement supérieur privé déclaré auprès du Rectorat de l’Académie de Lyon.

Ce projet a reçu l’assentiment de personnalités du monde ecclésiastique et universitaire réunies dans le Comité d’Honneur de l’Institut de Théologie du Corps :

  • Cardinal Philippe BARBARIN, Archevêque émérite de Lyon, primat des Gaules ;
  • Cardinal Stanisław DZIWISZ, Archevêque émérite de Cracovie ;
  • Cardinal Marc OUELLET, Archevêque émérite de Québec, Préfet de la Congrégation pour les Evêques ;
  • Mgr Jean LAFFITTE, Ancien Secrétaire du Conseil Pontifical pour la Famille, prélat de l’Ordre Souverain de Malte ;
  • Mgr Christian LEPINE, Archevêque de Montréal ;
  • Mgr Livio MELINA, Ancien Président de l’Institut Jean-Paul II pour les Etudes sur le Mariage et la Famille près l’Université Pontificale du Latran ;
  • Mgr Charles MOREROD, Evêque de Lausanne, Genève et Fribourg ;
  • Professeur Xavier LACROIX, Professeur et Doyen honoraire de l’Université catholique de Lyon ;
  • Professeur Pierre MAGNARD, Professeur émérite de l’Université de la Sorbonne.

Portrait d’Yves SEMEN, le fondateur

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Docteur de l’Université de Paris-Sorbonne, Yves SEMEN est connu pour être un des meilleurs spécialistes français de la théologie du corps. Auteur d’une dizaine d’ouvrages à succès sur la question – notamment de La sexualité selon Jean-Paul II (Presses de la renaissance 2004), best-seller traduit en 4 langues et vendu à plus de 50.000 exemplaires, et de La théologie du corps (Le Cerf 2014), édition critique intégrale des catéchèses de Jean-Paul II sur la théologie du corps.

Yves a donné depuis une quinzaine d’années plus de 400 conférences et sessions de formation sur ce sujet en Europe, au Canada, aux Etats-Unis et au Liban devant plus de 30.000 personnes au total.

Alors que la théologie du corps dévoile des perspectives nouvelles et profondément libératrices, l’enthousiasme qu’elle suscite peut avoir tendance à s’affaiblir avec le temps.

Yves a donc décidé de former les personnes plus en profondeur pour qu’elles s’approprient pleinement ces perspectives et les intègrent correctement dans leur vie. En parallèle, il souhaite aussi former en nombre des personnes qualifiées capables de démultiplier cet enseignement pour le porter à tous ceux qui en ont soif sans toujours en avoir conscience.

Il a donc décidé de fonder un institut universitaire spécialement dédié à l’enseignement de la théologie du corps en réunissant autour de lui une équipe composée d’une vingtaine d’universitaires.

Pour en savoir plus

Découvrir le Mastère en théologie du corps : https://institutdetheologieducorps.org/les-formations/le-mastere-en-theologie-du-corps/

Facebook : https://www.facebook.com/institutdetheologieducorps/

Un collectif d’acteurs associatifs et universitaires réclament une émission laïque dédiée au dialogue inter-convictionnel

Plus que jamais, le fait religieux interpelle, questionne et divise. La laïcité, si explicite dans les textes, reste assez mal comprise et souvent présentée sous une image autoritaire et prohibitive (ce qui peut à terme l’affaiblir auprès d’une partie de la population).

Alors même que beaucoup de citoyens œuvrent sur le terrain pour agir ensemble, s’attaquent à la “sainte ignorance” en mettant en avant la nature libérale de la laïcité qui protège toutes les convictions et favorise leur interaction.

De même l’actuelle juxtaposition cloisonnée des émissions religieuses du dimanche matin donne l’image d’une succession de communautés séparées les unes des autres.

Il y’a urgence à montrer les échanges et les dialogues existant, non seulement entre elles mais avec les différentes convictions et courants de pensée.

Dans ce contexte, un collectif, composé d’une centaine d’acteurs associatifs et universitaires, appelle le service public à créer une émission laïque dédiée au dialogue inter-convictionnel.

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Une initiative inédite en France

Pour la première fois, une centaine d’acteurs de terrain venus des quatre coins de la France lancent un appel collectif pour réclamer une émission laïque dédiée au dialogue inter-convictionnel.

L’objectif est triple :

  • valoriser et encourager les échanges plutôt que le repli sur soi
  • donner une image plus fidèle à la réalité des dialogues qui existent déjà au niveau local et national
  • offrir une pluralité d’approches pour que chaque téléspectateur puisse se forger une opinion libre et éclairée

Un groupe de spécialistes du fait religieux, dont font partie Eric Vinson et Mohamed Khenissi (les deux Chercheurs universitaires à l’origine de ce projet), travaille déjà à différentes propositions possibles.

Pour aller plus loin : une conférence-débat le samedi 22 juin

Le 22 juin prochain, de 14h à 18h, un événement sur la thématique “Médias et Faits Religieux” est organisé avec plusieurs acteurs de différentes sphères (associative, religieuse, universitaire,..)

Au programme :

14H – Accueil et mot d’introduction

14H15 – Personnes Ressources : Jean Baptiste Foucauld (Démocratie et Spiritualités), Lucie Roche (Coexister),

14H45 – Laïcité : Source de divergence et crispation ? Asif Arif (Barreau de Paris), Samia Benzaid (Reporter Citoyen), Valentine Zuber (EPHE)

15H50 – Pause

16H10 – Fait religieux & Médias : Sarah Hamdi (Melting Book), Anouar Kbibech (CFCM), Bénédicte Hoffner (La Croix), Rose Ameziane (Mouvement Etic), Christine Taîeb (AJMF)

17H20 – Synthèses : Nadia Otmane Telba (GIP78), Frédéric Chavanne (Initiatives et Changement).

17H40 – Annonce : Eric Vinson (Sciences Po), Hélène Millet(GAIC), Axelle Couvreur (Hermeneo) et Xavier Guézou (IHEMR)

18H – Mot de la fin

A propos d’Eric Vinson et de Mohamed Khenissi, les deux initiateurs du projet

Eric Vinson est Enseignant et Chercheur associé au Groupe Sociétés Religions Laïcité (GSRL) au sein du laboratoire EPHE-CNRS. Il est un spécialiste des questions liées à la religion, au spirituel et à la laïcité.  Entre 2015 et 2017, il a notamment collaboré en tant qu’expert et formateur avec la Région Ile-de-France et le Département du Val d’Oise sur les problématiques liées au vivre ensemble, à la laïcité et à la prévention de la radicalisation.

Directeur exécutif d’Emouna, le programme de formation inter-religieuse et laïque de Science Po, Eric Vinson a participé à de nombreux ouvrages collectifs sur les questions religieuses et spirituelles.

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Mohamed Khenissi est Consultant en fait religieux et Président d’Hermeneo, une association qui défend les valeurs de la laïcité et dont la devise est “Vivre ensemble est un défi qui nécessite d’aller vers l’Autre”.

Diplômé de l’IHEMR (Institut des Hautes Etudes du Monde Religieux), ce Chercheur universitaire est également consultant auprès de l’administration et collectivités locales

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Pour en savoir plus

Facebook : https://www.facebook.com/Hermeneo/

Instagram : https://www.instagram.com/assohermeneo/

L’existence même des religions nuit-elle à la justice ? : la conférence interreligieuse organisée par la communauté Ahmadiyya

De Paris à Berlin, en passant par Nice, Ouagadougou, Bassam ou encore Damas, Alep et Bagdad, aucun pays n’est aujourd’hui en sécurité face à la menace terroriste.

En France, le terrorisme a réussi à susciter le sentiment d’insécurité, où la présence des religions – particulièrement de l’islam – est constamment remise en question, notamment à travers leur compatibilité avec la laïcité ou d’autres principes de notre Etat de droit.

De même, ces attaques terroristes ont fomenté un autre sentiment : celui de compatibilité manifeste entre religions et absence de justice réelle ; entre les paroles, souvent très belles, et les actes, devenant de plus en plus radicaux.

Mais quelles sont les perspectives réelles qu’offrent les religions concernant la justice ? Nos religions sont-elles foncièrement en incompatibilité avec le principe de justice et d’équité ?

C’est pour répondre à ces questions complexes mais importantes que les dignitaires religieux de tous horizons vont se retrouver dans la mosquée de Saint-Prix (Val d’Oise) le 19 mars 2017 à 15 heures afin d’entamer une discussion pacifique et fraternelle.

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Une rencontre placée sous le signe du dialogue

La conférence interreligieuse organisée chaque année par l’AMAF (Association Musulmane Ahmadiyya de France) interroge les ministères du culte de chaque religion en France sur un sujet d’actualité.

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Dans le contexte actuel, cet événement prend une autre résonance. Très éloignés des clichés réducteurs, les musulmans de l’AMAF montrent leur tolérance et leur volonté de dialogue avec les autres religions pour aborder des questions essentielles sans le moindre tabou.

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Le thème choisi pour cette conférence illustre cette ouverture d’esprit : “L’existence même des religions nuit-elle à la justice ?”

L’idée est de créer des ponts entre les différentes religions, en se regroupant et se focalisant sur les éléments communs, pour faciliter les échanges et aller vers toujours plus de fraternité.

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A propos de l’AMAF (Association Musulmane Ahmadiyya de France)

Dans un contexte très tendu, l’AMAF :

  • A une très bonne réputation auprès des institutions françaises, mais aussi auprès de celles des autres pays du monde ;
  • Reste une des rares associations à continuer à proposer ce genre de rencontres interreligieuses ;
  • Ne compte parmi ses adeptes aucun jeune radicalisé ou se sentant en marge de la société.

Pourquoi un tel décalage avec la vision erronée que des fanatiques donnent de l’islam et sa réalité telle quelle est vécue au sein de l’AMAF ?

Tout simplement parce que ce mouvement islamique, créé en 1889 par Hadhrat Mirza Ghulam Ahmad ((1835-1908) à Qadian (en Inde) a pour objectif de redonner ses lettres de noblesse aux valeurs morales et spirituelles de l’Islam.

Ses prêches sont basés sur la paix, la tolérance, l’amour et la compréhension envers les adeptes d’autres religions.

Le mot d’ordre de l’Ahmadiyya est révélateur :

Amour pour tous, Haine pour personne.

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A une époque où les tensions entre les religions se font croissantes, cette vision pacifique de l’islam gagnerait à être plus connue en Occident. Car dans le reste du monde, le mouvement Ahmadiyya en Islam compte plusieurs millions de fidèles. Pour ces derniers, la fraternité est la seule voie possible. En effet, ils continuent de suivre les enseignements de de Mirza Ghulam Ahmad qu’ils considèrent être la réapparition du Messie, telle qu’elle est annoncée par le Prophète Muhammad.

Ahmad a défendu les enseignements véritables et essentiels de l’Islam et il l’a débarrassé des croyances et des pratiques fanatiques. Depuis son décès en 1908, les Ahmadis sont guidés par un calife élu pour apprendre à respecter la doctrine d’Ahmad afin de rétablir la morale, la justice et la paix.

Persécutée pour ses idées et rejetée par l’orthodoxie musulmane, la communauté Ahmadiyya continue à se battre pour mettre en lumière la sagesse et la philosophie du Coran. Il y a d’ailleurs des Ahmadis illustres, comme le Professeur Abdus Salam, premier musulman à avoir obtenu le Prix Nobel (1979).

Quant au calife, il est à la tribune des plus grandes organisations politiques comme le Parlement Européen, Capitole à Washington ou encore au Parlement britannique. L’Ahmadiya est aussi la première communauté musulmane à avoir obtenu en Allemagne le statut de personne morale de droit public. David Cameron, lorsqu’il était Premier Ministre du Royaume-Uni, avait salué les engagements de la communauté musulmane Ahmadiyya pour la tolérance, le respect et les causes humanitaires.

Pour s’inscrire à la conférence

Il suffit d’envoyer un e-mail à : affairespubliques@ahmadiyya.fr

Pour aller plus loin

Site web : http://ahmadiyya.fr