L’Ardoise du XV fête ses 2 ans : pari réussi pour le resto de quartier qui défend la cuisine française, faite maison, à base de produits frais et de saison
La revanche du terroir et du fait maison, à prix raisonnable
“La bonne cuisine, c’est le souvenir” écrivait Georges Simenon, un écrivain qui a su, mieux que personne, retranscrire dans ses romans l’âme gourmande de Paris.
Les bons restos de quartier, et leurs plats du terroir généreusement servis à des habitués qui s’y sentent “comme à la maison”, participent de l’essence même de la culture culinaire à la française.
Cet état d’esprit perdure encore dans la capitale, au détour de quelques bonnes adresses, qui connaissent une belle réussite grâce au bouche à oreille.
A l’image de L’Ardoise du XV, une adresse rapidement devenue incontournable dans le 15ème arrondissement de Paris. Ce lieu chaleureux est plébiscité pour ses délicieux petits plats français, cuisinés maison uniquement à partir de produits frais, de saisons et cuisinés quotidiennement par la chef.
Avec l’Ardoise du XV, je vous propose ma vision de la cuisine française : généreuse et conviviale, inspirée du terroir et travaillée dans le respect du produit.
Jean-Gabriel Lacroix, le propriétaire
Une cuisine de qualité, authentique et gourmande
Oubliez les cartes à rallonge, les plats sans âme, les assiettes presque vide et les additions trop salées…
A L’Ardoise du XV, la carte est courte, car chaque plat est mitonné sur place, par la chef Ghyslaine Nordïn à partir de produits soigneusement sélectionnés.
On vient par exemple savourer des Ravioles de Royans, cuisinées avec une crème au Porto blanc et huile de truffe blanche, des Gambas géantes poêlées accompagnées d’un délicieux risotto, des rognons de veau avec une sauce à la moutarde, une assiette de St Nectaire fermier, une nage de pêche de vigne à la verveine corse (provenant directement du jardin des parents du propriétaire)…
Chaque recette est une ode à la cuisine française, au savoir-faire des petits producteurs, auprès desquels le restaurant se fournit directement (Le Clos du Bassin dans les Yvelines, la Table de Solange dans l’Aveyron…).
La formule déjeuner change chaque semaine, au gré des produits dénichés auprès des maraîchers et de l’inspiration de la chef.
Aux fourneaux, la chef Ghyslaine Nordïn
Ghyslaine Nordïn est une chef inspirée, créative et assurément très talentueuse.
Au cours de sa carrière elle a exploré les multiples facettes de son métier en effectuant tous les postes. Elle est passée par de grands hôtels à Monaco tels que le Monte Carlo Bay, le Fairmont et le Métropole. Ensuite, elle a exercé comme chef adjoint à Lorgues et chef traiteur à Saint Tropez et Courchevel.
Ghyslaine Nordïn a ainsi été formée par de très grands chefs, comme Jacques Le Divellec et chez Bruno.
Les (grands) petits plus
Une clientèle variée
L’Ardoise du XV est un restaurant cosy fréquenté par les habitants du quartier, en famille ou entre amis, par les groupes ainsi que la clientèle des repas d’affaires.
Entièrement privatisable, il peut aussi accueillir de grandes tables (une soixantaine de couverts).
Des tarifs accessibles
Formule déjeuner en semaine (renouvelé chaque semaine): 21,5 € entrée/plat ou plat/dessert et 26 € pour le repas complet entrée/plat/dessert.
Menu Carte : 38 € entrée/plat/dessert et 46 € entrée/plat/fromage/dessert.
Une carte des vins abordable avec de jolies trouvailles
Elaborée avec soin, cette carte des vins variée est composée de bouteilles provenant directement de producteurs indépendants et de grands noms.
Elle évolue au fil des années avec l’ambition de rester abordable, tout en offrant la possibilité de faire de belles découvertes avec un excellent rapport qualité prix pour chaque référence.
Derrière le zinc, Jean-Gabriel Lacroix, le propriétaire
Jean-GabrielLacroix est un Ingénieur, passionné de gastronomie française et de bons produits. En parallèle de son travail, il cuisinait régulièrement pour ses proches et des groupes allant jusqu’à 150 personnes durant ses week-ends.
Alors en décembre 2019, après 4 années à mûrir son projet, il décide de démissionner pour intégrer le prestigieux institut Paul Bocuse et donner vie à son projet. Après quelques imprévus et une pandémie mondiale plus tard, le 18 octobre 2021, il reprend l’Ardoise du XV et revisite entièrement ce restaurant de quartier. Il s’entoure d’une équipe expérimentée avec la même philosophie que lui, cède sa place en cuisine à la talentueuse chef et se concentre sur le choix des vins. L’Ardoise du XV “nouvelle version” fête ses deux ans le 18 octobre 2023 : pari réussi pour Jean-Gabriel Lacroix.
Cholet : Le Romarin, le restaurant ambassadeur d’une cuisine créative à base de produits frais, fête ses 1 an en proposant la livraison à domicile
Il y a un an, quand Cindy et Gwen se sont lancés, leur projet semblait un peu fou : reprendre un restaurant à Cholet, en pleine crise économique et sanitaire.
Pourtant, aujourd’hui, force est de constater qu’ils ont réussi leur pari ! Le Romarin est devenu un établissement très prisé, qui séduit par son ambiance cosy et sa cuisine créative.
Un savoir-faire qui est aussi plébiscité par les professionnels : le guide Gault & Millau 2021 loue leurs “associations et textures, sur produits frais et circuits aussi courts que possible”.
Alors pour souffler dignement sa première bougie, Le Romarin a choisi le 2 août dernier de mettre la gastronomie dans l’assiette de tous les Choletais et Choletaises !
Désormais, les gourmets vont pouvoir faire vibrer leurs papilles à domicile, grâce à un service de livraison à domicile via Sacré Armand (à commander sur www.sacrearmand.com ou sur l’application Sacré Armand).
Vivre une expérience culinaire exceptionnelle
Aussi belle dans l’assiette qu’inventive et savoureuse, la cuisine raffinée du Romarin réveille les sens, surprend et enchante.
On aime l’audace du chef Gwen qui, derrière les fourneaux, revisite certains plats traditionnels en leur insufflant par exemple une touche d’exotisme. À l’image de cette succulente pièce de bœuf qui, dans sa sauce, ose des saveurs nippones.
Ou, en entrée, l’églefin en gravelax parfumé aux agrumes avec des légumes croquants au poivre de Timut et gingembre confit.
Du côté des desserts, le “coup de cœur” du moment est l’étonnant fenouil juste tiédi, confit au caramel de romarin, avec son sablé noix de coco et sa glace à la noisette.
Et comme la carte suit les saisons, il y a toujours de belles surprises au menu ! La carte change et évolue, mais les plats restent toujours aussi recherchés que réussis.
Une carte choisie pour toujours plus de plaisir gustatif
Gage de qualité, la carte est volontairement restreinte : il y a quatre entrées, quatre plats et cinq desserts. Tous cuisinés à partir de produits frais et de saison, choisis avec amour lors du marché “du jour”.
Et le midi en semaine, il y a toujours la possibilité de manger “sur le pouce”, grâce à un menu à moins de 20 €.
Un service attentionné et chaleureux
Si Cindy et Gwen aiment autant Le Romarin, c’est qu’ils s’y sont rencontrés quand ils faisaient leurs premiers pas dans ce métier !
Lui était apprenti cuisinier, elle venait passer un entretien d’embauche en tant que serveuse… Le coup de foudre a été immédiat et ils ne se sont plus quittés. Ils se sont forgé une solide expertise dans leurs métiers respectifs en multipliant les expériences culinaires en Mayenne et en Vendée, notamment au Château Boisniard.
Revenus dans leur ville natale, ils mettent désormais tous leur cœur à développer le restaurant où ils ont échangé leurs premiers regards.
Les (grands) petits plus
La situation idéale du restaurant : à deux pas du centre et proche de la gare ;
Le mix parfait entre cuisine traditionnelle et plats ultra-créatifs ;
La facilité pour se garer ;
Un menu enfant ;
La capacité de 35 couverts au rez-de-chaussée ;
Une salle pour accueillir les groupes à l’étage (25 couverts) ;
Et un service qui sait être rapide car, surtout en semaine, la clientèle d’affaires peut être pressée ou avoir un train à prendre.
Quelques témoignages de gourmets enchantés
“Nous félicitons les nouveaux propriétaires pour leur accueil et la cuisine. Le cadre est agréable et intimiste. Les assiettes sont aussi jolies que leur contenu qui est délicieux. Un vrai régal pour les papilles. Une bonne adresse.”
“Cela faisait longtemps que je n’avais pas mangé aussi bien ! Je recommande vivement ce restaurant très convivial ! Les doses sont parfaites et la cuisine est tout bonnement excellente ! J’y retournerai avec grand plaisir !”
“En ce jour de mon anniversaire, j’ai emmené mon conjoint au restaurant Le Romarin. Un bon cadeau, car tout est excellent. Le déjeuner original et goûteux, le vin de bonne qualité et de bonne saveur, le service irréprochable. Nous espérons que l’on pourra continuer à y aller à chaque saison. Merci encore et bonne continuation.”
Une belle aventure qui s’écrit en famille
Tout a commencé il y a 20 ans avec la rencontre de Cindy et Gwen Leculeur, alors jeunes débutants dans le métier. Dix-huit ans après, le couple décide de reprendre et rénover le restaurant de leurs débuts : Le Romarin.
Gwen, issu de la restauration, a débuté au Romarin en tant qu’apprenti cuisinier. Depuis, fidèle à sa passion, il ne cesse de gagner en expérience et savoir-faire pour devenir le chef qu’il est aujourd’hui.
Cindy, fidèle à elle-même avec sa bienveillance et son sens inné du contact, revient aujourd’hui en salle en mettant à profit son expérience acquise au fil du temps en pratiquant ce beau métier.
Quant à leur fils Enzo, motivé et dynamique, il épaule aujourd’hui son père en cuisine en apportant de l’originalité et du peps à ses desserts.
Après une longue évolution au sein d’établissements traditionnels, gastronomiques et bistronomiques, Gwen et Cindy sont revenus à la tête du Romarin pour le plus grand bonheur de leurs clients.
Gastronomie : Saint-Anne, la trattoria à la française, ouvrira ses portes le 26 juillet à Limoges grâce au soutien d’une communauté de gourmets
En 2021, en pleine pandémie, les Français ne sont pas restés les bras croisés en attendant des jours meilleurs. Nombre d’entre eux ont choisi de se jeter à l’eau en donnant vie à un projet qui leur ressemble. Ainsi, ce sont près d’un million d’entreprises qui ont été créées en 2021 (source).
Cet élan entrepreneurial n’est d’ailleurs plus freiné par la frilosité des banques. Car, désormais, ce sont les particuliers qui soutiennent financièrement les initiatives qui leur plaisent, via des plateformes spécialisées.
Ainsi, l’année dernière, le crowdfunding a progressé de +84% (source : Baromètre du Crowdfunding réalisé par Mazars et Financement Participatif France) et permis de collecter près de 2 milliards d’euros. Le crowdfunding sert notamment à compléter les investissements initiaux, afin de lancer les projets dans de meilleures conditions.
C’est cette belle aventure participative que sont en train de vivre la cheffe Anne Alassane (lauréate de la première édition de MasterChef) et son associée Séverine Bru, deux femmes de caractère qui créent Sainte-Anne : une trattoria à la française qui ouvrira ses portes le 26 juillet à Limoges.
Original et authentique, ce restaurant puise son inspiration en Italie… mais mitonne ses plats avec des ingrédients 100 % français : la mozzarella est faite de lait du Limousin, les fromages qui agrémentent la pasta viennent de Corrèze, et la viande de l’osso bucco est limousine, entre autres produits frais de saison et régionaux notamment.
La trattoria qui fait appel au financement participatif
Le projet Saint-Anne est beau et important puisqu’il occupera les anciens locaux d’un fabricant de meubles, laissés vacants depuis plus d’une dizaine d’années, au centre-ville de Limoges. Situé entre le quartier de la Préfecture, de la Place de la République, du Champ de Juillet et de la magnifique Gare des Bénédictins, ce bâtiment n’a actuellement rien d’un établissement équipé pour le domaine de la restauration et l’accueil au public.
Le budget initial d’investissement pour les travaux prévoit, en tout, la création :
D’une cuisine ouverte ;
D’une grande salle de restauration avec plusieurs espaces ;
D’une terrasse couverte ;
D’un étage dédié aux réunions de travail et séminaires ;
D’un sous-sol aménagé en laboratoire, réserve et légumerie.
6 emplois à temps plein, pour commencer, seront également créés.
La création de la trattoria Sainte-Anne aurait pu être celle de toute jeune entreprise… Cependant les crises que le monde affronte depuis 2019 lui ont donné un autre tempo.
La crise de la Covid et la guerre en Ukraine ont impacté le projet sur deux points : le coût des matériaux et celui de la main d’œuvre… Les investissements prévus, cohérents dans un budget équilibré, ont subi le contre-coup de ces crises. Le soutien de leur banque ainsi que du Réseau Entreprendre Limousin et les apports personnels importants n’ont pas permis de boucler le projet initial dans sa totalité.
C’est pour mener à bien ce projet gastronomique, inclusif, culturel mais aussi engagé que les fondatrices font appel aujourd’hui à leurs amis, leurs soutiens et leurs réseaux. En souscrivant à ce financement participatif régional et populaire, les contreparties seront des préventes de menus, des participations à des événements originaux ou encore des exclusivités artistiques…
Un restaurant engagé localement
Sainte-Anne et leurs fondatrices sont convaincues que leur responsabilité est de proposer une restauration authentique de qualité mais également de s’engager sur leur territoire local :
Pour l’inclusion, au sens large, avec menant une stratégie de recrutement sans CV, à la motivation et l’implication, accompagné d’un programme de formation pour assurer des emplois durables ;
Au service du court, du frais, du local, des productrices et producteurs régionaux et des beaux produits que les terroirs proposent ;
Pour l’environnement et la préservation de la planète, en adoptant et promouvant des pratiques respectueuses, économes et responsables ;
Pour la culture, l’art et le partage, grâce à de belles collaborations déjà initiées avec plusieurs artistes talentueux et surprenants : photos, peintures, illustrations…
Un livre dans les tuyaux, des ateliers culinaires, des événements et plein d’idées !
Un restaurant gastronomique, populaire et créatif
Connaissez-vous les trattorias ? Ces équivalents italiens des bistrots parisiens, ces lieux chaleureux et colorés accumulent les objets délibérément kitsch, tout en servant une cuisine savoureuse.
Une incarnation de la dolce vita… qu’Anne a choisi de réinventer pour y insuffler sa “french touch” dans un décor jouant avec les codes du rock, du rap, de l’électro et de l’univers urbain. Avec, bien sûr, des références à l’iconographie religieuse : Sainte-Anne, la grand-mère de Jésus-Christ, y fait une apparition décalée qui ne laisse pas indifférent.
Côté cuisine, Sainte-Anne revisite tous les plats de la tradition italienne pour défendre une consommation locale, écoresponsable… et presque chauvine. Les pizzas, pastas, antipasti, viandes en sauce, glaces et autres grands classiques sont réinventés à partir de produits 100% français et issus de circuits courts, tous cuisinés maison.
On vient donc pour déguster de vraies pizzas napolitaines avec de la mozzarella au lait du Limousin, des arancinis au pavé corrézien, ou encore du sorbet italien aux framboises de Corrèze.
Les pizzas, réalisées sur place dans une grande cuisine ouverte et cuites au feu de bois dans un four fabriqué sur mesure à Naples, sont également proposées à la vente à emporter.
Bon à savoir : via la campagne de financement participatif, chacun.e peut profiter de tarifs préférentiels. Ex. : 10€ pour des pizzas à volonté pour 1 personne durant une soirée, 50€ pour un dîner VIP pour 2 personnes hors vins avec accueil de stars et surprises, etc.
Une cave qui enchante les papilles
Dans le très cosy espace vin ou au restaurant, les amateurs de bons crus pourront découvrir une carte de vins français élaborée par Séverine Bru et adaptée à tous les goûts et tous les budgets. Tous ont été sélectionnés pour leur noblesse, avec la volonté de valoriser les vignerons français.
Et pour démocratiser l’accès à ces vins d’exception, Sainte-Anne innove en proposant un distributeur de vin au verre « nouvelle génération » très ludique et originale. Le vin au verre est le nouveau mode de consommation de vin qui permet de boire, en petite quantité, un vin de grande qualité; « consommer moins mais mieux » est ainsi le mot d’ordre. Les clients pourront goûter à une bonne bouteille sans pour autant être obligés de la finir ; cela permet aussi de faire découvrir de nouvelles saveurs et appellations aux clients en quête de convivialité et d’originalité.
Il suffit de choisir un cru, la quantité souhaitée (un fond de verre, un demi-verre ou un verre entier), et hop, il n’y a plus qu’à le déguster ! Il est également possible de créditer la somme que l’on souhaite dédier à un repas ou à une soirée, et de se servir ensuite en toute autonomie.
Un restaurant qui fait bouger les lignes et dynamise son territoire
Dans l’ADN de Sainte-Anne, il y a des valeurs fortes qui se traduisent par des actes concrets :
L’inclusivité
Anne et Séverine adoptent ainsi une stratégie de recrutement inclusive sans CV, qui est basée sur la motivation et l’implication et est accompagnée d’un programme de formation.
La préservation de la planète et la valorisation des savoir-faire locaux
Le restaurant adopte des pratiques écoresponsables pour limiter son empreinte environnementale. Il privilégie aussi les producteurs régionaux et locaux. Les plats de Sainte-Anne mettront ainsi en lumière, entre autres, le savoir-faire de la boucherie de Plainemaison, le cochon Cul Noir Limousin de la coopérative L’écusson noir, les farines de la Minoterie Allafort, les produits laitiers de la Laiterie des Fayes, les fromages de la fromagerie Duroux et du Domaine de Fantouillet et bien d’autres fournisseurs locaux encore.
Un lieu d’art, de culture et de partage
Le restaurant collabore avec des artistes talentueux et détonants, spécialisés dans la photographie, la peinture et l’illustration, dont on peut admirer et acheter les œuvres en savourant un plat d’arancini ou de pasta.
À propos des co-fondatrices
Anne Alassane
Née à Toulouse, Anne a passé une grande partie de son enfance en Afrique. Après avoir exercé pendant neuf ans le métier de guide touristique, Anne rentre France en 2002. À Montauban et elle reprend l’exploitation agricole de ses grands-parents pour travailler la terre.
Huit ans plus tard, elle participe à la première édition de MasterChef sur TF1 et, le 4 novembre, elle est couronnée « Meilleure cuisinière amatrice de France ». Grâce à l’argent gagné, elle transforme en novembre 2020 le domaine familial en ferme auberge, “La Pays’Anne”. Cette initiative lui vaut de recevoir l’ordre du Mérite agricole en février 2011, des mains du ministre de l’Agriculture Bruno Le Maire.
En 2012, Anne devient l’animatrice de l’émission culinaire Péché Gourmand sur France 3 Limousin. Elle rejoint ensuite, en tant que Cheffe, le restaurant Chez Olympe à Montauban.
Passées ces années riches en expériences et en partages, elle remporte un appel à projets du Pôle de Lanaud à Boisseuil, près de Limoges. Elle s’installe donc en 2016 dans le Limousin où elle prend les rênes du restaurant Le Lanaud.
Après avoir signé plusieurs livres de cuisine, Anne est intronisée en 2019 membre de l’Académie Culinaire de France. L’année suivante, elle ferme sa cuisine pour cause de pandémie et prend la route dans un food-truck pour transporter sa cuisine chez les Français.
En 2020, elle a l’idée du concept Sainte-Anne qu’elle choisit de mener avec l’accord des siens : ses cinq filles, son fils, qui fait partie de la brigade, et ses deux petites-filles.
Séverine Bru
Suite à un DUT en biologie appliquée, Séverine obtient un diplôme d’ingénieur en agriculture, option viticulture/œnologie et environnement. Sa carrière l’entraine tout d’abord à Dundee, en Écosse, où elle travaille dans la recherche et le développement sur les arômes de fruits pour un groupement de producteurs de fruits et un institut de recherche.
Elle devient ensuite acheteuse fruits et légumes pour une centrale d’achat de la grande distribution, puis commerciale grands comptes pour les centrales de la grande distribution à Socopa Viandes. Après avoir beaucoup voyagé pour sa carrière, elle s’installe à Limoges en 2007. L’année suivante, elle entre dans le groupe Beauvallet, où elle officie en tant que responsable marketing et communication.
Après 13 années riches en enseignements, Séverine quitte son emploi pour allier sa passion à sa vie professionnelle : le monde du vin, dans lequel elle baigne depuis son enfance. En plus des clubs d’œnologie qu’elle fréquente depuis de nombreuses années, elle suit une formation en œnologie à Bordeaux. Elle l’obtient avec succès pour se lancer dans un nouveau projet : créer un concept de restauration à base de produits locaux, de dégustation et d’évènements pédagogiques autour du vin.
Informations pratiques
Sainte-Anne, avenue de la libération (centre-ville de Limoges, au cœur d’un quartier dynamique) ;
Date d’ouverture : 26 juillet (le jour de la Sainte-Anne !) ;
Horaires : de 11h à 23h, tous les jours sauf le dimanche ;
Superficie : 600m² (dont 200m2 au sous sol qui seront aménagés grâce au financement participatif) ;
Équipements : une salle de restauration assise (80 places) avec cuisine ouverte et four à bois central, un espace de dégustation de vins, 2 salles de réunions et séminaire dédiées aux entreprises et aux repas de groupes, ainsi qu’un espace détente.
Pour en savoir plus
Sainte Anne Trattoria à la française
23 avenue de la Libération 87000 Limoges
La Pampa et le West Side Garden, le nouveau complexe de restauration/bar. Une cuisine ultra-fraîche et gourmande à découvrir à Saint-Herblain
Avec les beaux jours, tout le monde rêve de convivialité, de douceur de vivre et d’endroits cosy pour se détendre entre amis ou en famille, autour d’un petit verre ou d’un plat savoureux.
Alors pour se régaler et s’amuser, les Nantais, et habitants de la région, peuvent désormais aller passer des moments inoubliables au nouveau complexe de restauration qui vient d’ouvrir à Saint-Herblain.
Le concept : un restaurant LA PAMPA et un bar garden WEST SIDE GARDEN, tous deux situés au 3 rue Louis Renault. Deux ambiances et deux cartes différentes pour varier les plaisirs, avec toujours la même volonté de faire vibrer les papilles dans un cadre chaleureux et cosy.
A terme, ces complexes sont destinés à se développer partout en France et en Europe.
LA PAMPA : le lounge restaurant
Lancé par Simon Cailleteau (Membre de l’Académie culinaire de France et ambassadeur des enfants cuisinent), La Pampa est une brasserie multiculturelle qui propose de délicieuses recettes faites maison.
La carte est inspirée par l’Amérique Latine et par les plats typiquement français. On y trouve aussi de savoureux cocktails et l’incontournable maté argentin.
Le soir, il ne faut surtout pas manquer le rodizio brésilien, un assortiment de succulentes viandes brésiliennes servies sur des broches.
Dotée d’une agréable terrasse ouverte et entourée d’un jardin verdoyant, La Pampa est l’endroit rêvé pour passer de belles soirées ou profiter d’un brunch dominical au soleil.
On aime : sa décoration florale, son côté bistrot chic, et son équipe toujours souriante.
Une carte qui met l’eau à la bouche
La carte évolue à chaque saison, tout en gardant des classiques, pour garantir un maximum de fraîcheur et de saveurs.
Les gourmets vont pouvoir se faire plaisir :
Pour démarrer
Trilogie de tapenade, croûtons maison
Accras maison, sauce « sweet chili »
Planche Pampa
Planche de charcuterie découverte (artisanale italienne)
Planche royale : assortiment de charcuterie, fromage affiné et foie gras maison
Entrées
Terrine de « LA PAMPA » maison (volaille et porc, cognac, herbes fraîches, fruits secs et pistaches), et confit d’oignon maison
Avocat toast : pain perdu à l’origan, mozzarella fondante, avocat, œuf mollet et saumon fumé maison
Ceviche aux deux saumons : citron vert, maïs, coriandre, piment d’Espelette, grenade et tartare de fruits exotiques
Carpaccio de poulpe à la péruvienne avec sa sauce vierge à la mangue, herbe fraîche et citron
Foie gras mi-cuit maison mariné à la cachaça Magnifica, chutney 5 agrumes et poivre Timut
Plats
Les burgers à base de steak haché origine France 150 gr, Pollo loco (filet de poulet croustillant) 160 gr ou de steak végétal (quinoa et tomate) 150 gr :
Le Pampa : pain burger, cheddar, guacamole, œuf au plat, oignon rouge, tomate
Le Emiliano : pain burger, Fourme d’Ambert, compotée d’oignon au miel, chips de lard, sauce BBQ
Coquelet « Churrasco », grillé façon Piri-Piri, avec sauce jalapeno, patate douce rôti, sauce yaourt grec citron ail fines herbes
Tartare de boeuf charolais au couteau - cornichon, câpre, oignon, fines herbes, sauce cocktail maison, frites, salade
Carpaccio de boeuf à la romaine avec pesto maison et parmesan, salade, frites (la deuxième assiette est offerte)
Tataki de thon au Ponzu avec sésame, pavot, et son wok de légumes
Cannelloni à la corse (fromage frais de chèvre, pesto maison, herbes fraîches, épinards ou blette, sauce tomate maison, gratiné à la mozzarella et parmesan)
Tentacules de poulpe rôti aux épices douces, houmous maison, salsa verde
Noix d’entrecôte Angus, origine Uruguay (300 gr) avec salade et frites
Fish n’ Chips selon arrivage, pané à l’amande et la pistache, sauce tartare maison, frites et salade
Salades
Salade Caesar : salade mesclun et mâche, légumes croquants, croûtons de pain, œuf mollet, parmesan, sauce vinaigrette, sauce Caesar avec anchois , poulet croustillant
Salade italienne : salade mesclun et mâche, légumes croquants, mozzarella di Buffala, copeaux de charcuterie artisanale italienne, pesto maison, sauce vinaigrette
A partager entre copains
Tomahawk de boeuf : 1,2 kg flambée devant le client, idéale pour deux, frites, salade
Côte de boeuf de 1 kg flambée devant le client, idéale pour deux, frites, salade
Bar entier farci aux herbes fraîches et agrumes, en croûte de sel, risotto de Fregola Sarda, beurre blanc (précommander)
Desserts
Mousse au chocolat maison
Baba au rhum (la spécialité de la maison)
Tiramisu maison, sablé breton et caramel au beurre salé
Café/thé « méga » gourmand
Champagne « méga » gourmand
Crème brûlée à la vanille de Tahiti flambée devant le client
Cave à dessert (large choix, en partenariat avec Capkao)
Formules du jour – Uniquement le midi
Les formules changent tous les jours suivant l’inspiration de la cuisine, mais aussi des saisons. Tout est fait maison et servi le jour même.
Plat – 11,90 €
Entrée + Plat/ Plat + dessert – 14,50 €
Entrée + Plat + Dessert – 18,50 €
Plat + Café gourmand – 16,50 €
WEST SIDE GARDEN : un bar à l’esprit guinguette
Entre amis ou en famille, c’est l’endroit parfait pour partager un bon moment ! Inspiré des jardins “à la berlinoise” (les fameux Biergarten allemands), le West Side Garden propose une large sélection de 12 bières pressions, dont une bière bio nantaise, une Bacchus frambois, la Kasteel rouge ou la mythique Guinness.
Il y a aussi une belle carte de vins (blancs, rouges et rosés) et de délicieux cocktails (mojito, spritz, jack honey tea, caïpirinha…).
Dès le début de l’après-midi et jusqu’en fin de soirée et même certains dimanches, on vient ici partager des moments de convivialité. À nous les copieuse et belles planches apéro à partager avec ces bons fromages ou charcuteries italiennes, la mixte, la géante pour 8 personnes. On se fait plaisir avec le trio de tapenades, la stracciatella, les acras ou falafels ou camembert rôti.
Convivialité et simplicité sont au rendez-vous !
Les clients peuvent simplement s’installer confortablement en terrasse pour siroter leur verre, ou s’éclater le temps d’une partie de :
Pétanque ;
Palet ;
Mölkky ;
Beer-pong ;
Ping-pong.
C’est aussi le nouveau QG pour toutes les retransmissions sportives avec 4 écrans disponibles.
On aime : sa grande terrasse de 120 m2, son jardin de 500 m2 et la possibilité de privatiser le West Side Garden pour tous types d’événements (mariages, séminaires, …).
Eat-Resa.fr, la première plateforme de réservation d’hôtel et de restaurant sans intermédiaires et donc “zéro commission”
Les hôtels et les restaurants sont durement éprouvés par la pandémie de Covid-19.
Du côté des restaurants, les perspectives de réouverture semblent lointaines. Selon le Ministre en charge des PME, il faudra au moins passer sous les 10 000 contaminations en direction des 5000 (source) avant d’envisager un changement de situation.
Du côté des hôtels, contraints aussi de fermer leurs restaurants, la chute de l’activité touristique a lourdement impacté leur chiffre d’affaires (source).
Pour réussir à survivre et donc à sauver des emplois, tous doivent être présents en ligne afin de garder le lien avec leurs clients. Or actuellement, pour des raisons de visibilité et de praticité, cela suppose d’être référencé sur une plateforme de réservation.
Un cercle vicieux se met alors en place puisque hôtels et restaurants se retrouvent obligés de payer d’importantes commissions pour toutes les ventes effectuées via ces sites. Tout le monde y perd : les professionnels, qui doivent baisser leurs prix pour être compétitifs, et les clients qui supportent directement ou indirectement une partie de ces frais.
D’où l’intérêt d’Eat-Resa.fr, la première plateforme de réservation gérée directement par les hôteliers et les restaurateurs ! Eat-Resa.fr, c’est le principe des “circuits courts” appliqué aux hôtels et restaurants.
Cette démarche éthique permet de :
Trouver très rapidement un restaurant ou un hôtel ;
Réserver sa chambre, sa table, un chèque cadeau, directement auprès de l’établissement ;
Soutenir ces entrepreneurs et artisans, donc l’économie locale, tout en se faisant plaisir.
Eat-Resa.fr : la réservation “nouvelle génération” qui profite à tous
Lancé par l’association E.A.T (Entrepreneurs Artisans du Territoire), Eat-Resa.fr est un service “zéro prise de tête” qui met directement en relation les hôtels, restaurants et les leurs clients en utilisant leurs outils existants ( cahier de réservations de chambres ou de table, coffrets cadeaux, etc…).
En quelques clics vous pourrez créer votre “espace professionnel” et compléter votre back office de photos, logo, localisation et tous les liens permettant d’accéder directement à vos plateformes de réservation propres à votre établissement
Ce service est né d’un constat : aujourd’hui, 80% des établissements possèdent les outils nécessaires pour les réservations et autres services directement sur leurs propres sites internet. Ils paient déjà des abonnements… alors pourquoi devraient-ils aussi payer les commissions prohibitives réclamées par les sites de réservation ?
Laurent Trochain, le président de l’association, souligne :
Eat-Resa.fr fonctionne sans intermédiaire et donc sans commission, ni pour les professionnels ni pour les clients… Nous proposons une relation 100% directe et donc riche de sens.
Eat-resa.fr, c’est en effet une philosophie proche du mouvement “slow life” : il s’agit de recréer du lien, d’insuffler de l’éthique dans les services du numérique, et de contribuer, à son échelle, à dynamiser les territoires.
C’est pour cela que la plateforme référence tous types d’établissements, afin que tous les clients puissent s’y retrouver, quel que soit leur budget. De la bonne brasserie à deux pas de chez soi jusqu’à la table gastronomique, en passant par l’hôtel cosy ou le palace, chacun peut dénicher de bonnes adresses au gré de ses envies.
Dans la même optique, il n’y a ni note ni avis sur Eat-Resa, cette pratique n’étant pas en accord avec les valeurs défendues par la plateforme.
Une démarche gagnant-gagnant collaborative, fédératrice et positive
Rejoindre l’aventure Eat-Resa.fr, c’est participer à un mouvement qui profite à tous :
Hôtels et restaurants
Ils gagnent en visibilité sans avoir rien à payer : l’inscription est gratuite et, comme il n’y a pas d’intermédiaires, il n’y a pas de commission à payer.
De plus, Eat-Resa.fr est une plateforme gérée par des restaurateurs & hôteliers, qui connaissent donc parfaitement la réalité du métier et les attentes des professionnels.
Il suffit ainsi de quelques clics pour créer un compte perso et commencer à remplir son back office et ses cahiers de réservation.
Clients
Trouver rapidement un établissement se fait de façon très intuitive grâce à de nouveaux critères de recherche :
le besoin (trouver une chambre, un coffret cadeau, une table, une vente à emporter ou une livraison) ;
la catégorie d’établissement (hôtel, hôtel-restaurant, restaurant) ;
le département de son choix ou la France entière.
Il peut ensuite réserver directement.
De plus, Eat-Resa permet d’accéder à toutes les informations sur les associations, groupements et collectifs de la restauration et de l’hôtellerie en France.
Enfin, en s’inscrivant, les clients peuvent tenter de gagner de nombreux chèques cadeaux d’une valeur de 100 € à utiliser dans l’un des établissement visibles sur le site eat-resa.fr.
E.A.T, l’association qui rassemble les entrepreneurs et artisans de France
L’association « E.A.T » est avant tout une communauté d’entrepreneurs et d’artisans sur le territoire français, qui a pour objectif de rassembler et d’accompagner des hommes et des femmes dans leur démarche d’entrepreneuriat dans les secteurs de l’hôtellerie, de la restauration.
À travers cette communauté, ces entrepreneurs se réunissent lors de congrès annuels articulés autour de multiples conférences avec des thématiques bien précises et des tables rondes.
En plus de ces congrès, elle organise tous types de manifestations relatives à son objet tels que : concours, trophées, salons, animations diverses, éditions de livres, journaux et autres supports papiers ou numériques.
En lançant Eat-Resa.fr, l’association veut permettre au plus grand nombre de professionnels du secteur d’augmenter leur visibilité sur le net en leur offrant un relais supplémentaire pour faire connaître leurs établissements.
A terme, la plateforme présentera aussi toutes les associations et groupements liés à la restauration et à l’hôtellerie.
Un conseil d’administration composé de professionnels
Le conseil d’administration est composé de chefs, hôteliers, restaurateurs et conseillers culinaires :
Laurent Trochain, président et restaurateur, Le Tremblay sur Mauldre (78) ;
Jacques Marcon, vice-président et hôtelier-restaurateur, Saint-Bonnet-le-Froid (43)
Johan Leclerre, vice-président et restaurateur, La Rochelle (17) ;
Baptiste Denieul, secrétaire adjoint et hôtelier-restaurateur, Guer (56) ;
Sébastien Richard, secrétaire et restaurateur, Marseille (13) ;
Arnaud Pitrois, trésorier et conseiller culinaire, Saint-Malo (35) ;
A propos de Laurent Trochain, le Président de l’E.A.T
Laurent Trochain, 49 ans, est Chef de cuisine (1*Michelin) dans son restaurant « Numéro 3 » à Le Tremblay sur Mauldre.
Laurent est l’auteur de plusieurs livres : « La cuisine du terroir » (1995), « Morceaux choisis de la mer » (2007), « Tout un fromage » (2008), « Oeuf intrépide et chair de poule » (2016).
Une formation auprès de grands chefs et une expérience entrepreneuriale de 25 ans
Après avoir passé son CAP et son BEP option cuisine, Laurent commence sa carrière à L’hostellerie du Château à Fère en Tardenois auprès du Chef Christophe Blot (1*Michelin).
Il réalise ensuite son service militaire, alors obligatoire, en tant que Sergent dans l’armée de l’air. Puis il a la chance de cumuler plusieurs expériences professionnelles très enrichissantes auprès du Chef Christophe Cussac (2*Michelin) à l’abbaye St Michel à Tonnerre, du Chef Pierre Gagnaire (3*Michelin) dans son restaurant à Saint-Etienne, et enfin du Chef Roger Souvereyns (2*Michelin) au restaurant le Scholteschof en Belgique.
En 1996, Laurent décide de voler de ses propres ailes et reprend le restaurant La Cémaillère à Avesnes sur helpe, qui avait été fondé par la famille Lelaurain.
Il le dirige durant 8 ans puis en 2004, il ouvre le restaurant « Numéro 3 » à Le Tremblay sur Mauldre. Depuis 2005, son restaurant est auréolé d’1 étoile au guide Michelin.
Une forte implication dans le monde associatif
De 2008 à 2013, Laurent a été Président de l’association Générations cuisines et cultures avec la création du concours « Cuisine en joute » ouvert aux écoles hôtelières, concours mélangeant : salle, cuisine, pâtisserie avec la participation des professeurs.
Puis, durant 3 ans, de 2015 à 2018, il devient Président du comité restaurant de Châteaux et Hôtels collection.
Laurent est désormais Président de l’association EAT (depuis 2018) qui rassemble les professionnels des métiers de bouche souhaitant partager leurs expériences entrepreneuriales. Depuis mars 2020, Laurent est co-Président de l’association “Restoensemble “(un collectif aidant les établissements du CHRD à faire face à la crise du Covid-19).
Polichinelle, la cuisine légumière et gourmande de Steve Burggraf et Christophe Michalak livrée à domicile
Et si bien manger était enfin accessible à tous, même dans le confort de son home sweet home ?
Pendant le confinement, de nombreux Français ont découvert le charme du click & collect et/ou de la livraison à domicile proposés par les meilleurs restaurants. Accessible aux petits budgets, cette formule permet de se faire plaisir et de découvrir de nouvelles saveurs, sans la moindre contrainte.
Un concept idéal pour une soirée cocooning à la maison, un dîner en amoureux, une envie gourmande de dernière minute… tout en ayant la garantie de manger savoureux, sain et éthique.
Et la bonne nouvelle en cette période estivale est que même les grands chefs s’y mettent ! Steve Burggraf et Christophe Michalak viennent de lancer le service traiteur de leur restaurant Polichinelle.
Polichinelle, c’est une cuisine légumière gourmande, locale et responsable, proposée à la carte. Les recettes évoluent au fil de la saison, toujours délicieuses. En fonction des produits de saison, une nouvelle entrée et un nouveau plat sont proposés aux gourmets.
Quant aux desserts, ils sont tous créés par Christophe Michalak, Champion du monde de pâtisserie et auteur de livres de recettes à succès.
Une cuisine gourmande et légumière riche en saveurs
Oubliez tout ce que vous croyez savoir sur la cuisine légumière… Chez Polichinelle, il n’y a pas de militantisme, mais simplement l’envie de partager des recettes qui enchantent les papilles. Même les “viandards” vont adorer !
Le velouté de petits pois bio est à tomber, la ratatouille sent bon la méditerranée et la douceur de vivre, la mousse au chocolat “by Michalak” est une invitation à succomber à la gourmandise…
Pour moins de 30 €, il est ainsi possible de s’offrir un menu gastronomique complet (entrée + plat + dessert) concocté par de grands chefs, à déguster tranquillement chez soi.
Car Polichinelle est disponible exclusivement en livraison :
soit en Click & Collect, ce qui permet aux clients de récupérer leur commande directement auprès du restaurant Polichinelle ;
De bons produits, sains et responsables, pour s’initier au bien manger
Polichinelle fait la part belle aux produits locaux en donnant la priorité aux producteurs situés en région parisienne. Les fruits et légumes qui composent les recettes sont d’ailleurs issus de l’agriculture bio, à chaque fois que cela est possible.
De plus, tous les packagings sont recyclables.
Le restaurant contribue ainsi à créer un cercle vertueux puisque toutes les entrées, plats et desserts sont :
bons dans l’assiette pour le plus grand plaisir des gourmets ;
bons pour l’économie locale et les producteurs passionnés qui s’impliquent, jour après jour, pour cultiver des produits de qualité ;
bons pour la planète puisque ce fonctionnement en circuit court, qui privilégie aussi le bio, limite la pollution et le gaspillage énergétique.
La salade César
Une carte qui met l’eau à la bouche
Entrées – 8 €
SALADE D’AUBERGINES
Aubergines bio rôties accompagnées de concombres pickles servies avec une sauce tahini & une salsa verde, parsemées de graines de grenade et d’oignons nouveaux.
SALADE CÉSAR
Salade romaine, œufs durs bio juste crémeux, parmesan, tofu fumé, pané & frit, pois chiches frits.
VELOUTÉ
Soupe froide de petits pois bio au lait de coco & mousse de ricotta citronnée au poivre de Timut. Servie avec une tuile de parmesan.
Le Velouté
Plats – 12 €
PASTA DEL MOMENTO
Pâtes al dente faites sur place, sauce maison & parmesan.
RATATOUILLE
Oignons aigre doux, haricots rouges, ratatouille, tranches de courgettes bio dégorgées au sel, piment d’Espelette & sablé de parmesan. Servie avec un gaspacho.
CHOUX FLEURS RÔTIS
Choux fleurs bio pané et nappé d’une sauce fumée maison, parsemé de sésame & citron vert.
Pasta del Momento
Desserts – 7 €
MOUSSE AU CHOCOLAT
Mousse au chocolat pure origine de Madagascar, craquelin au grué de cacao & fleur de sel.
PANNA COTTA
Panna cotta, coulis de framboises bio, granola maison.
SUCCÈS PISTACHE FRAISE
Dacquoise amande noisette, croustillant pistache, crème mousseline à la pistache, fraises bio fraîches & coulis de fraise.
Tout le savoir-faire du restaurant Polichinelle, en formule “à emporter”
Le concept du Polichinelle peut se résumer en quelques mots : la gourmandise qui fait du bien.
Ce restaurant fait la promesse d’une cuisine de saison, locale, légumière et ultra gourmande. Les recettes sont originales et évolutives, puisqu’elles changent dès qu’un produit n’est plus disponible.
Le Rest’O Bio de Guérande déménage et devient le restaurant BON !
A l’heure de l’urgence climatique, l’alimentation bio a le vent en poupe !
Désormais, 7 Français sur 10 veulent trouver des aliments biologiques en dehors de leur domicile (source).
Une tendance nationale qui se reflète notamment à Guérande en Loire-Atlantique. Porté par une forte demande, et pour démocratiser les valeurs de la bio, le Rest’O Bio de Guérande déménage et quadruple sa superficie actuelle. Ce changement d’adresse s’accompagne aussi d’un changement de nom : l’établissement bien connu des Guérandais(es) devient le restaurant BON.
En 2020, il va ainsi relever de nouveaux challenges tout en préservant la recette qui a fait son succès : proposer des plats savoureux, abordables et 100 % bio.
4 fois plus d’espace, c’est aussi 4 fois plus de plaisirs gourmands
Actuellement situé au sein des Hameaux Bio Biocoop de Guérande, le restaurant “BON” sort de ses murs et déménage le lundi 17 février 2020 dans la même zone d’activité au 2 bis rue de la Pré Neuve… soit à une centaine de mètres à peine de son ancienne adresse. Avec un objectif : proposer des plats différents tous les jours et sortir des sentiers battus !
Son nouveau design, à la fois contemporain et chaleureux, se caractérise par un aménagement spacieux, des lignes sobres, et du mobilier en bois français pour rappeler les valeurs chères au restaurant, telles que la protection de l’environnement. Le restaurant BON disposera aussi d’une terrasse pour que les gourmets puissent profiter des beaux jours tout en savourant un bon repas.
Un nouveau nom qui met l’eau à la bouche
Ce nouveau nom « BON : Bio, Original & Naturel » sonne comme une promesse gustative et met l’accent sur l’ambition de l’établissement : proposer de délicieux plats fait-maison, qui enchantent les papilles et restent accessibles à tous.
Les menus sont, au choix, végétariens ou non. Et en prime, tous sont 100 % biologiques !
Chaque jour et chaque semaine, la cuisine biologique se fait créative et inventive, donne à goûter de nouvelles recettes et met l’accent sur le plaisir de manger.
Derrière les fourneaux, Aurélien, le Chef Cuistot ainsi que Pauline et Maxime (cuisiniers), jouent avec les épices, les textures et les saveurs pour offrir le meilleur de la cuisine biologique.
Avec, toujours, la volonté de faire découvrir des produits de saison que chacun(e) peut aussi facilement cuisiner chez soi. En effet, tous les ingrédients utilisés dans les plats, les entrées et les desserts sont issus du magasin Les Hameaux Bio Biocoop de Guérande !
Pour les clients, il s’agit aussi d’une vraie garantie de fraîcheur et de traçabilité. De plus, les produits locaux sont privilégiés pour soutenir le tissu économique local et diminuer l’impact sur l’environnement.
Enfin, le restaurant « BON » s’inscrit dans une démarche de réduction de ses déchets. Les sacs, les couverts des repas à emporter sont compostables et les clients peuvent venir également avec leur propre contenant. Quant aux déchets organiques, grâce à un partenariat avec l’association Compost In Situ, ils deviennent tout simplement du compost !
Une success-story qui a débuté il y a déjà 5 ans
Les Gérants
La belle aventure du Rest’O Bio de Guérande (aujourd’hui le restaurant « BON ») a débuté en 2015. Au départ, il s’agissait d’un projet qui pouvait sembler un peu fou : il y a 5 ans, la restauration biologique était encore marginale et souvent très chère.
En montrant que bien manger peut aussi être un plaisir accessible à tous, le restaurant BON a donné naissance à un nouveau concept, désormais décliné dans deux autres établissements (à Pornic et à Nantes). Un Restaurant qui se veut « Fast, Good et Bio », une promesse que vous aurez plaisir de vérifier par vous-même en franchissant les portes de ce restaurant pas comme les autres.
Informations pratiques
Restaurant BON (200 m2 : 150 m2 pour la salle de restauration et 50 m2 de cuisine). Tous les midis : du lundi au samedi de 11 h 30 à 14 h.
2 bis rue de la Pré Neuve (zone de Villejames) à Guérande.
Ouverture le lundi 17 février à 11 h 30.
Inauguration le vendredi 21 février de 10 h à 11 h.
Tarif : plat du jour à 9,90 € ; entrée + plat à 12,50 € ; plat + dessert à 12,90 € ; entrée + plat + dessert à 15,50 €.
Lancé en 1993 par Fung Ching et Véronique Chen, il se forge très vite une solide réputation en travaillant des produits frais et d’excellente qualité (arrivages de poissons chaque jour, viandes et volailles d’Origine Contrôlée…).
Joël Robuchon, qui habite à deux pas, contribue largement à le faire connaître, ainsi que le bouche à oreille qui va croissant. Et en 1999, c’est la consécration : Fung Ching devient le premier chef chinois à obtenir une étoile dans le mythique Guide Michelin. L’établissement la conservera jusqu’en 2006, même après avoir été repris par les seconds de Fung Ching (le célèbre chef est décédé trois ans plus tôt).
Mais l’aventure du Restaurant Chen Soleil d’Est ne s’arrête pas là ! En 2012, Véronique CHEN décide de faire perdurer ce savoir-faire culinaire incomparable en devenant Chef.
Les gourmets sont ravis et le restaurant continue d’être cité parmi les meilleurs restaurants chinois gastronomiques de Paris.
Désormais, Véronique CHEN a décidé de profiter d’une retraite bien méritée : elle va donc tirer sa révérence et le Restaurant CHEN Soleil d’Est fermera définitivement ses portes à la fin du mois de novembre.
Un départ qui prend la forme d’une superbe apothéose : le Restaurant CHEN Soleil d’Est invite les professionnels du métier, les amoureux de la cuisine chinoise, les curieux, les clients de la première heure et les habitués à venir partager un dernier moment de convivialité et de gourmandise.
Un temple de la gastronomie chinoise
Le canard laqué pékinois “Mr Chen”, le grillé de raviolis aux fines herbes chinoises, les grenouilles poivre et sel, les fleurs de courgettes aux corps de tourteaux, la figue rôtie aux fruits avec son sorbet mangue… chaque plat est un enchantement pour les papilles.
La cuisine est authentique, inspirée des différentes régions de la Chine. Toute l’ingéniosité du Restaurant Chen Soleil d’Est est d’avoir réussi à fusionner les gastronomies françaises et chinoises pour donner naissance à des créations harmonieuses, originales et riches en saveurs.
Le cadre est raffiné, le nombre de couverts volontairement restreint. Les parfums et la subtilité des mets sont une invitation au voyage pour découvrir tous les arômes de l’Empire du Milieu.
A Paris, la référence incontestable est le Canard « Mr. Chen » en trois services, du nom du cuisinier, disparu en 2003, qui avait mis au point la recette et le protocole d’exécution que sa veuve, Véronique Chen, respecte scrupuleusement depuis lors.
Jean-Claude Ribaut, critique gastronomique au journal Le Monde
Une carte et des menus qui mettent l’eau à la bouche
La Carte
Fleurs de courgettes aux corps de tourteaux 30 €
Suprême de Sichuan 15 €
Planètes de langoustines aux truffes 44 €
Grillé de raviolis aux fines herbes chinoises 20 €
Cuisses de grenouilles sautées au sel et poivre de Sichuan 40 €
Fleurs de courgettes aux corps de tourteaux 30 €
Puces de langouste sautées au gingembre 62 €
Poisson aux saveurs extrêmes 38 €
Demi-canard Pékinois « Mr Chen » en 3 services (2 pers.) 85 €
Poularde de Bresse au curry 37 €
« Ma Po Dou Fu » 28 €
Morceaux de bœuf choisis montagnard 42 €
Pigeonneau royal aux cinq parfums 38 €
Figues rôties à la confiture de mangue 12 €
Chaud / Froid de pommes vertes, coulis de fruits rouges 12 €
Tan Yuang aux fleurs de laurier 12 €
Le Menu Mandarin à 75 € (servi pour l’ensemble des convives)
Fleurs de courgettes aux corps de tourteaux
Potage de Sichuan
Cuisses de grenouilles sautées au sel et poivre de Sichuan
« Mei Kuei Lu Chiew »
Pigeonneau de Mieral aux cinq parfums
Tan Yuang aux fleurs de laurier
Le Menu Bihua ( formule déjeuner revisitée chaque semaine – uniquement le midi)
Entrée + Plat ou Plat + Dessert à 17€
ou
Entrée + Plat + Dessert à 23€
De Shanghai à Paris
L’histoire du Restaurant CHEN Soleil d’Est est intimement liée à celle de son tout premier Chef, Fung Ching Chen.
Né en 1951, dans un petit village de la province de Shanghai, cet enfant d’agriculteurs modestes adore assister sa mère lorsqu’elle prépare les repas. Il fera ensuite naturellement le choix d’exercer dans la restauration lorsque, en 1966, il doit arrêter l’école à cause de la révolution culturelle.
Il fait ses premières armes pendant deux ans dans un établissement bas de gamme d’une ville voisine. Il travaille ensuite dans différents établissements et, en 1970, il met le cap sur Hong-Kong. En 1972, âgé de 21 ans, il fait alors un grand plongeon dans l’inconnu en décidant de partir pour la France. Il est motivé par des rêves de liberté et, surtout, par une certaine vision de la France : c’est le pays de la gastronomie, du terroir et du savoir-vivre.
Pendant 8 ans, il exerce en tant que Chef dans différents restaurants avec une ambition : apprendre, se former toujours plus et toujours mieux. Chez lui, il travaille aussi pendant les congés et les week-ends dans la cuisine quasi-professionnelle qu’il s’est installé.
Audacieux et courageux, il franchit une nouvelle étape en 1980, lorsqu’il ouvre son premier établissement dans l’Essonne. Son restaurant peut accueillir jusqu’à 56 personnes et il représente pour lui un formidable tremplin pour exprimer sa créativité.
Fort du succès rencontré, il décide de déménager dans un lieu plus cossu et mieux situé. Il consacre 5 ans à chercher l’emplacement idéal jusqu’au jour où il déniche enfin une ancienne pizzeria située au cœur du 15ème arrondissement. Il investit pour réaliser de gros travaux et le Restaurant Chen Soleil d’Est ouvre ses portes en août 1993.
La cuisine d’exception ici est savamment confectionnée avec des produits venus de tout l’Hexagone, mitonnés selon la tradition cantonaise, shanghaienne ou pékinoise.
Gilles Pudlowski, Journaliste, écrivain et chroniqueur gastronomique
Dépaysement gourmand à L’Authentique Bretonne, LA bonne adresse typiquement bretonne que s’arrachent les Parisiens
Paris n’est pas seulement la capitale du luxe, de la mode et de la culture ! La première destination touristique au monde est aussi un véritable temple de la gastronomie. Elle regorge de restaurants, plus ou moins conceptuels, pour toutes les envies et tous les budgets.
Mais face à cette offre foisonnante, nombreux sont les Parisiens et les touristes qui cherchent à fuir les établissements impersonnels et sans âme, ces fameux “attrape-touristes” créés à la va-vite et qui ne proposent plus que des plats standardisés, bien souvent industriels.
Ces Parisiens veulent manger gourmand, savoureux et se faire plaisir avec un de ces “bons petits restos” dont on aime se partager les coordonnées entre “happy fews”. La bonne adresse du moment, celle qui commence à (beaucoup) faire parler d’elle a été créée par une jeune femme bretonne : L’Authentique Bretonne, une crêperie de quartier, idéalement située dans le 15ème arrondissement.
A taille humaine, avec 15 tables dont 2 en terrasse, cet établissement, qui respire la bonne humeur, accueille une clientèle d’habitués qui viennent déguster des crêpes et des galettes, du Kir breton et du cidre, tous les jours midi et soir (sauf le Dimanche).
Des spécialités bretonnes savoureuses et gourmandes
Marion la bretonne n’est pas seulement la gérante de l’Authentique Bretonne ! En cuisine, c’est elle qui confectionne avec amour des délicieuses galettes et crêpes, et ceci, dans les règles de l’art.
Elle a conçu elle-même toutes les recettes qui composent sa carte variée.
Marion confirme :
J’ai voulu que chacun(e) puisse se faire plaisir en trouvant à coup sûr une galette ou une crêpe correspondant à ses goûts.
Ses Galettes 100% sarrasin sont fines, bien beurrées et croustillantes. Elles sont aussi sans gluten et peuvent se décliner en gourmandises sucrées pour le dessert (pour les intolérants au gluten).
Et son caramel au beurre salé est divin ! Son secret : du 100% fait-maison, avec un coup de main inimitable.
“Les Crêpes sont délicieuses et les prix sont très abordables. Je me suis laissé tenter par un Kir breton (excellent !) et je conseille également les smoothies fait-maison (à tomber par terre !) Le cadre est également très sympa (on se croirait en Bretagne, je parierais que la patronne est Bretonne :-)). Accueil chaleureux. La Bretagne à Paris, je recommande vivement. (Plus la peine de faire 400km pour manger une bonne crêpe)”
Shlomi B. avis Facebook
Les meilleurs produits pour une garantie de qualité
L’Authentique Bretonne ne transige pas sur la qualité des produits !
Tous sont issus de nos terroirs français et les clients peuvent aussi déguster des spécialités typiquement bretonnes :
de l’Andouille de Guemené,
un beurre breton onctueux
du lait produit localement,
le cultissime Cidre Breton avec une IGP (indication géographique protégée) Bretagne , composé à 100% de pommes bretonnes
….
Les (grands) petits plus de l’Authentique Bretonne
L’événement du mois: un Jeudi soir par mois, une conférence est organisée sur des sujets très variés. Un moment chaleureux très attendu pour se cultiver et élargir son horizon.
Les Ateliers “pâte à crêpe” en live : une animation originale et ludique pour tous les anniversaires d’enfants.
Le “sur-mesure” : pour donner du cachet à un événement privé ou professionnel, rien de tel qu’une petite immersion dans un espace convivial “so breizh” ! Il est ainsi possible de privatiser tout le restaurant.
La Gourmandise nomade : parfois, le bilig (= la machine à préparer les crêpes) sort de la crêperie ! L’Authentique Bretonne devient nomade et va sur différents stands et marchés pour tourner les galettes et les crêpes devant les passants.
Whahooo, une vraie crêperie bretonne avec les produits frais à deux pas de chez moi. Que du bonheur. Déjeuner avec mes deux garçons de 4 et 8 ans. On s’est régalé salé et sucré. Et pour couronner le tout, un super accueil souriant et attentionné. Parfois ça vaut le coup de faire quelques détours dans son quartier pour découvrir des perles comme celle-ci.
Sylvain D., avis Facebook
A propos de Marion Salley, ambassadrice du savoir-faire culinaire breton
L’Authentique Bretonne, c’est elle ! Native de Morlaix dans le Finistère Nord, Marion est une gourmande qui a décidé son métier.
A tout juste 30 ans, après avoir suivi l’école hôtelière et acquis une solide expérience, elle a décidé de perpétuer les traditions et le savoir-faire de Bretagne.
Marion souligne :
Pour que mon restaurant soit fidèle au concept que j’avais en tête, j’ai préféré tout faire moi-même. J’ai conçu mon établissement de A à Z, du dessin de la cuisine jusqu’à la création de la carte avec des recettes uniques, en passant par le choix d’une décoration atypique.
PRIVÉ DE DESSERT installe son 3ème restaurant dans l’ouest Parisien
Au sein de sa nouvelle adresse des Batignolles, le spécialiste du trompe-l’œil va encore plus loin avec un concept inédit : le Bar à desserts.
OUVERTURE PRÉVUE LE 24 SEPTEMBRE 2019
Le roi du trompe-l’oeil à la conquête de l’Ouest
Six ans jour pour jour après le lancement du restaurant historique de Pigalle (Paris 9), un an après une deuxième ouverture au marché d’Aligre (Paris 12) et avec plus de 100 000 gourmands au rendez-vous, le Privé de dessert s’installe dès la rentrée dans le bouillonnant quartier des Batignolles (Paris 17).
Ce nouveau spot chaleureux et cosy réunit tous les ingrédients qui ont fait le succès de ce concept unique au monde : des entrées et des plats aux noms et à l’apparence de desserts, et inversement ! Des recettes inédites qui détournent les standards de la cuisine française, toujours à base de produits frais et 100% fait-maison.
Aux manettes de cette nouvelle adresse, on retrouve le duo à l’origine du succès de la marque : Sephora Nahon et Sophie Journo, deux passionnées reconverties dans l’art de surprendre les papilles et les pupilles !
Les cocktails prolongent l’illusion au Bar à desserts
Pour fêter l’ouverture de cette 3ème adresse, l’équipe du PDD réalise un nouveau tour de passe-passe et décline le trompe-l’œil version cocktails !
Ce nouveau restaurant abritera un bar caché pour prendre un apéro… 100% sucré bien sûr !
À la carte de cet étonnant Bar à desserts : des cocktails pâtissiers (Lemon Pie, Tiramisu, Fraisier…) et des grignotages sucrés, pour un début ou une fin de soirée des plus originaux.
À ne pas manquer : la fameuse planche de charcuterie version sweet (Saucisson au chocolat, Salami aux pralines roses, Camembert meringue)
PRATIQUE PPD Batignolles
124 rue Legendre
Paris 17
Le P’tit Père marie les cuisines dans la plus pure tradition néo-bistrot
Enfin un restaurant à Paris où l’on se sent comme chez soi ! Le P’tit Père est bien plus qu’un resto : c’est LE bistrot du coin où chacun prend plaisir à venir pour “manger un morceau” dans un cadre chaleureux, design et authentique.
Avec une touche d’originalité en plus : un mariage réussi entre la cuisine traditionnelle française, servie le Midi pour le déjeuner, et la cuisine du monde (uniquement le soir). Sans se ruiner !
Le P’tit Père : le rendez-vous des gourmands du quartier
Le P’tit Père est un concept original de restaurant qui mélange le meilleur de la cuisine traditionnelle française et de la cuisine exotique.
Le Midi, vous dégustez de bons petits plats “bien d’chez nous” : terrine de campagne, chèvre chaud, bavette d’aloyau, dos de cabillaud au four, moelleux au chocolat, clafoutis de saison…
Le Soir, vous découvrez les saveurs d’autres horizons gastronomiques : accras de morue, aloco, mafé de poulet, colombo d’agneau, thiou végétarien…
Le P’tit Père est situé dans le 20ème arrondissement (métro Gambetta). De nouveaux bistrots seront ensuite implantés dans d’autres endroits de Paris.
Un décor chaleureux et une cuisine au top à des tarifs abordables
Un lieu atypique où l’on se sent bien.
Le P’tit Père est un bistrot cosy, design et chaleureux. A la fois moderne et vintage.
C’est le genre d’endroit qui devient vite le rendez-vous incontournable de tous les habitants du quartier !
La cuisine y est simple et savoureuse. Les tarifs sont abordables, ce qui a tendance à devenir une véritable exception dans la capitale : comptez 11 € pour un plat du jour et 15 € pour un menu complet (entrée, plat, dessert) le midi, et 17€ pour la plupart des plats de la carte du soir.
Il y a une autre bonne nouvelle : vous ne repartirez pas en ayant faim ! La quantité proposée dans l’assiette séduira aussi les gourmets ayant un solide appétit.
Une excellente cave à vins
Le P’tit Père aime les bons vins. Sa cave ravit les papilles des connaisseurs car il n’y a que des vins de propriété :
Saint Nicolas de Bourgueil (Domaine de Fondis)
Graves de Vayres (Château du Petit Puch)
Saint Chinian (Domaine de Canet-Valette)
Petit Chablis (1er cru Patrick Piuze)
Chardonnay (Domaine Gournier)
…..
David Souma, le DJ devenu restaurateur
Connu des habitués des nuits parisiennes, David Souma a été, pendant plus de 15 ans, un DJ emblématique des clubs les plus prestigieux de la capitale.
En 2000, il change radicalement de voie pour explorer une autre de ses passions : la restauration.
J’ai toujours été passionné par la création de restaurants qui sortent de l’ordinaire.
Il lance notamment le Top resto-club de la rue de Charonne ou les Bas Fonds & Souplex de la rue Amelot. Dans ces endroits branchés, les habitués côtoient les célébrités dans une ambiance conviviale.
En 2016, David lance de nouveaux concepts comme Le P’tit Père et le Stendhal. Il promet,
Je travaille aussi à un autre projet qui va bientôt voir le jour…
Le restaurant Le Stendhal fait voyager les sens à l’autre bout du monde
Si Paris regorge de lieux de sorties en tout genre le jour et la nuit : restaurant, bar, pub, boite de nuit… Il arrive toujours un moment où on se demande “on fait quoi ce soir ?”
Envie d’évasion, besoin de changement… Et si la capitale nous offrait aussi des endroits qui nous faisaient voyager et rêver au sens littéral ?
Bistrot le jour, resto aux couleurs du monde le soir, le Stendhal accueille les clients dans une ambiance chaleureuse et conviviale : musique latino, ti punch, cuisine d’ailleurs…
Et au Stendhal, pas besoin d’être riche pour partir au bout du monde, le restaurant a été élu numéro 1 dans la catégorie “restaurant anti-crise” par la communauté des internautes de LaFourchette.com.
Alors, entre bonne ambiance et bonne cuisine, rendez-vous dans un lieu où le temps semble s’arrêter…
Le Stendhal, entre saveurs du monde et tradition
Chéri, ce soir emmène moi dans un endroit qui fait rêver !
Le Stendhal, bistrot de quartier, est situé au carrefour de deux univers : celui de la tradition et du terroir et celui des saveurs du monde.
L’exotisme à l’heure de l’apéritif et du dîner…
Le soir, le Stendhal revêt des couleurs exotiques, avec un brin de latino, du ti punch et des plats d’ailleurs : mafé de boeuf, poulet braisé, colombo d’agneau, caviar d’aubergines…
M.David, à l’origine du concept, confie :
Je suis d’abord un passionné de musique et de voyages. Faire danser et voyager les gens me rend heureux ! Ancien DJ, un jour j’ai eu l’idée de coupler musique et bonne cuisine. Et pour satisfaire le plus grand nombre j’ai décidé de proposer du traditionnel le midi et de la cuisine du monde le soir avec l’ambiance qui va de paire !
En effet, au Stendhal venez sans complexe, le maître mot est “convivialité” !
Un habitué témoigne,
Super ambiance avec la musique latino africaine et l’équipe très accueillante et sympathique ! On mange bien, les repas sont copieux, on passe toujours de bons moments.
… Le midi c’est plus “tradi”
Ceux pour qui “bistrot” signifie cuisine traditionnelle (un bon steak-frites ou une salade composée) vont être ravis.
En accord avec son concept de dualité, Le Stendhal garde sa belle image de bistrot de quartier contemporain la journée. Qui veut un Pastis aux fruits rouges ?
Ainsi, ce concept laisse la possibilité aux clients de choisir entre tradition et saveurs du monde. Et quel que soit le choix, les produits sont tous d’une grande qualité de sélection et de préparation.
Le Stendhal, un restaurant “anti-crise”
En 2013, la communauté des internautes du site LaFourchette.com a élu Le Stendhal numéro 1 dans la catégorie “restaurant anti-crise”.
Et il y a de quoi se réjouir, quand on sait que le pouvoir d’achat des français a mauvaise mine !
Alors, si vous souhaitez voyager sans trop dépenser, découvrir de nouvelles saveurs et éveillez vos sens au son de musiques d’ailleurs… Le Stendhal vous ouvre ses portes tous les jours, de 12h à 14h30 et de 19h30 à 23h.
En Seine-et-Marne, à Provins (77), le Banquet des Troubadours (anciennement la Taverne des Oubliées) recrée l’univers festif et grandiose du Moyen-âge. Traiteur depuis des années, il propose chaque soir à ses invités, des spectacles de prestige dans un lieu de prestige.
En effet, ancienne boutique médiévale, aujourd’hui classée monument historique, dans sa salle sculptée et voûtée datant du XIIème sièclele, le Banquet des Troubadours vous plonge 900 ans en arrière.
Provins, Cité médiévale à 1h de Paris
Ancienne plaque tournante du commerce et de l’industrie, Provins abritait autrefois des marchés couverts et l’une des plus grandes foires du Moyen-âge.
Aujourd’hui, cette ville n’a rien perdu de son charme médiéval : ses édifices sont restaurés et conservés pour, chaque année, émerveiller plus de 200 000 visiteurs. Depuis 2001, Provins est inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO.
A seulement 1h de Paris,cette cité médiévale de renom est accessible à tous grâce à la modernité de nos transports en commun. Ainsi, Provins est une destination idéale pour un séjour ou un simple week-end en famille, entre amis, ou en couple.
Retour vers le passé, au pays des troubadours
C’est donc à Provins, que le Banquet des Troubadours a décidé d’ouvrir ses portes pour proposer ses flash back médiévaux.
En effet, de la bonne ripaille (bons repas) et de doux breuvages sont servis en compagnie d’amuseurs de foule : troubadours, cracheurs de feu, conteurs… Ce sont tous de réels professionnels, présents à la fois pour le côté ludique mais aussi culturel. Ainsi, le conteur nous raconte des histoires sur l’Histoire, comme celle du couteau ou de la fourchette.
De vraies reconstitutions historiques subjugantes de réalisme, que nous sert le Banquet des Troubadours, durant 3 heures.
Oyé ! Oyé !
Gentilhommes, gentes dames, vous êtes les bienvenus tout au long de l’année ! Des banquets médiévaux sont organisés tous les samedis, du 29 mars au 1er novembre, de 12h à 15h et de 20h à 23h, ouvert à tous publics.
Les autres jours de la semaine, ces repas gouleyants sont réservés à des soirées privées : entreprises, CE, associations, séminaires…
A table !
Le Banquet des Troubadours de Provins vous propose 5 mets en ripaille (ci-dessous la carte en ancien français) :
- Potaige de légumes de saison
- Pastez du Provinois
- Rôts de Chair accompagnés de ses légumes oubliés
- Tranchoir du Roy : Le Brie
- Granité de pomme miélé et sa poire syrop
Ingrédients de qualité, menu médiéval, ambiance chaleureuse garantis !
Hé l’ami, qui a eu cette idée ?
Né à Provins et issu d’une Ecole de commerce, Matthieu Dessery a fait germer son idée lors de ses études. Féru de cuisine et passionné de spectacle, il souhaite lancer un projet dans sa ville natale, en lien avec ses passions et qui apporte du bonheur aux gens.
Matthieu confie :
L’idée du banquet médiéval a été comme une évidence pour moi. J’adore le monde du spectacle, j’aime voir les sourires sur le visage des gens et entendre les remerciements à la fin d’une prestation. Je veux vendre du rêve dans un lieu historique qui fait rêver !
Quand une passionnée de cuisine rencontre un maître chocolatier pâtissier, ça donne… un resto, le Dolce Felix.
Quand le désir de mettre la bonne cuisine à portée de tous est plus fort que la crise, ça donne… l’Happy Culinary Hour.
Le petit plat du soir + 1 boisson, du mardi au samedi, dès 19h
… c’est 5 €, c’est délicieux et c’est à Paris !
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Le 4 juillet 2013, Eric Felix et Laurence Cambriels ouvrent leur restaurant Dolce Felix, un projet dans la continuité de leur activité de traiteur-pâtissier. Mais la rue de Chaumont du 19ème arrondissement est du genre calme, de celles où il y a peu de chances de passer par hasard… L’ouverture passée, le Dolce Felix vit au rythme des clients habitués ou « égarés ». Alors, un soir de grisaille, le 11 octobre exactement, Eric et Laurence décident de réagir, convaincus qu’ils doivent inventer quelque chose de nouveau.
Laurence Cambriels se souvient,
Nous avons eu l’idée de l’Happy Culinary Hour pour permettre à tous de pouvoir venir manger un morceau avant d’aller au théâtre ou au cinéma sans gréver leur budget, pour que les gens seuls ne restent plus devant leur télévision mais viennent au resto, redonner un sens à l’échange, récréer un réseau social non virtuel. Le lendemain, 12 octobre, nous lancions la première Happy Culinary Hour !
La crise, ça donne aussi des idées et des envies !
Démocratiser le dîner au restaurant, mélanger les genres en régalant le PDG ou l’intérimaire, contrebalancer les idées reçues, parmi lesquelles plus c’est cher, meilleur c’est (exception faite bien sûr des étoilés et des chefs dignes de ce nom !), c’est un peu tout cela l’Happy Culinary Hour… Et surtout, une folle envie de faire un pied de nez à la crise en redonnant le moral aux gens tout en pouvant vivre de son activité.
Lorsque l’on est restaurateur indépendant, que l’on se démène pour offrir des saveurs et des produits de qualité, et que l’on dispose qu’aucune aide ou subvention, deux ingrédients deviennent indispensables : l’envie et les idées !
Et derrière les fourneaux ?
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Maître chocolatier-pâtissier depuis 30 ans, Eric Felix, a travaillé à l’étranger, notamment Asie du Sud-est puis à Paris comme chef pâtissier dans de grands hôtels (Concorde Lafayette, Sofitel Arc de Triomphe, Sofitel Porte de Sèvres, etc.)
En 2002, il crée Dolce Felix, un service de confection et livraison de pâtisseries fines pour les restaurants parisiens, les entreprises et les particuliers.
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Autodidacte en cuisine, Laurence Cambriels, franco-américaine, a tout d’abord exercé sa profession de docteur vétérinaire durant 15 ans.
Passionnée de gastronomie, elle rend, oup’s pardon, prend le tablier en 2009 et s’associe à Dolce Felix. Inspirée notamment par des chefs américains et anglais, elle développe la gamme salée.
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Et si on passait à table ?
Nourrie de leurs voyages, la cuisine et la pâtisserie de Laurence et Eric revisitent des recettes françaises, italiennes, asiatiques, et “anglo-saxonnes”… en fait, toutes les saveurs qu’ils aiment sans carcan culturel ou conventionnel.
L’ADN de Dolce Felix se résume finalement à la fraîcheur et à la qualité des produits d’une part et au savoir-faire et à la créativité des chefs d’autre part. Du marché à l’assiette, du producteur au consommateur, le chemin le plus court est le meilleur… et avec l’Happy Culinary Hour, la note n’est jamais trop salée !
En résumé, l’Happy Culinary Hour, c’est :
du mardi au samedi, à partir de 19h
5 € le petit plat du soir + 1 boisson
3 € le dessert du soir
5 € la charcuterie italienne artisanale ou le trio de fromage (de maître fromager)
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Ca y est, c’est sûr, j’ai les crocs, une faim de loup, les papilles en émoi…
Vite, il est 19 h, c’est l’Happy Culinary Hour chez Dolce Felix !!
Jaune Poussin, un « Restaurant de qualité » à prix low-cost
Dans un climat économique morose, les chefs d’entreprise doivent rivaliser d’ingéniosité, s’adapter et se battre sans relâche pour développer leur activité. Avec une augmentation de son chiffre d’affaires de 15 % sur son dernier exercice, Gérard Caillé, chef et patron du restaurant Jaune Poussin à Périgueux tire son épingle du jeu en offrant une cuisine « goûteuse et populaire ».
Gérard Caillé combat la malbouffe et la crise avec une cuisine de qualité à petit prix… et ça marche !
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Au cours du 1er semestre 2013, la restauration voit à nouveau son chiffre d’affaires reculer avec une baisse de 2 %, selon une étude du cabinet spécialisé Gira Conseil. Avec une chute de 6,72 %, les restaurants avec service à table sont en première ligne. Pourtant Certains restaurants maintiennent une croissance positive… c’est le cas de l’établissement Jaune Poussin en Dordogne.
Le concept low-cost de qualité de Gérard Caillé
Le restaurant Jaune Poussin ne désemplit pas. Tous les midis, son chef-patron propose un buffet à volonté à 9,80 euros offrant 15 entrées, 2 plats chauds avec garniture, des fromages et 6 desserts sans compter les glaces et sorbets !
Alors qu’en juillet la restauration de chaîne affichait tristement une chute nationale de moins 13.2% de CA, Jaune Poussin réalisait quant à lui plus 70% et un autre joli record en août avec 120% par rapport à la même période 2012. Le mois de septembre en cours se montre tout aussi prometteur avec déjà une progression de 53 % par rapport à l’année passée.
Ma recette ? concilier qualité des produits frais, repas fait maison et budget maîtrisé
La confiance, une question de transparence
Toujours réactif et suite au tollé en cours concernant l’appellation Restaurant ou autres labels, c’est avec une totale transparence alimentaire des produits frais et bruts que Gérard Caillé convie ses clients à passer en cuisine. Ils peuvent ainsi constater la préparation des plats cuisinés sur place, consulter le grand registre de traçabilité et même visionner les analyses bactériologiques effectuées régulièrement à son initiative sur les produits.
Passionné et animé par le goût du partage et des défis, Gérard Caillé ouvre d’ailleurs ses portes à tous les entrepreneurs et restaurateurs qui souhaiteraient lui emboîter le pas. Un partage qui s’inscrit dans la philosophie d’accueil de l’établissement : ” toute l’équipe de Jaune Poussin veille à accorder à nos clients toute l’attention et la convivialité qu’ils méritent et sont en droit d’attendre dans un restaurant. Ce n’est pas parce que nous serrons la ceinture à nos prix que nous devons perdre le sourire ou se contenter d’un service minimum ! ”
A propos de Jaune Poussin
« Tel Le chevalier Bayard au pays du canard gras » sans grade ni étoile, le petit poussin fait son entrée parmi les grands macaronés ! Le 6 mai dernier, la commission du Collège de France l’a accepté à l’unanimité et reconnu comme « restaurant de qualité »… Une reconnaissance qui encourage Gérard Caillé à poursuivre son objectif : « concurrencer la malbouffe en permettant à tous d’accéder à un repas de qualité à petit prix ».
Sa formule, inédite de par son incroyable rapport qualité/prix, séduit non seulement ses clients mais aussi de nombreux médias qui s’en sont fait l’écho dont J-P Géné du magazine Le Monde.
Le restaurant Jaune Poussin tire son épingle de la crise
Gérard Caillé a trouvé la recette anti-crise
Avec près de 5 millions de personnes inscrites à Pôle Emploi selon les chiffres du chômage de février 2013 publiés le 26 mars dernier par le ministère du travail, la France connaît un triste record.
Si la situation économique et financière de notre pays affecte directement l’emploi, il existe pourtant des chefs d’entreprise qui se battent sans relâche pour développer leur activité et créer des emplois. C’est le cas de Gérard caillé, dirigeant du restaurant Jaune Poussin à Périgueux en Dordogne.
Un restaurant qui ne connaît pas la crise
Son concept de restaurant « low-cost » propose tous les midis un buffet à volonté pour 9,50 euros et cela fait recette !
En conciliant qualité des produits frais, repas fait maison et budget maîtrisé, le restaurant Jaune Poussin de Gérard Caillé séduit des clients toujours plus nombreux. Reconnu par la presse gastronomique pour « la qualité offerte à un tarif défiant toute concurrence », le concept de Gérard Caillé prouve qu’un restaurant peut être « gouteux » et populaire.
Fort de ce succès, le restaurant Jaune Poussin enregistre pour le 1er trimestre 2013 une augmentation de son chiffre d’affaires de 30 % !
Chiffre d’affaire en hausse et recrutement en vue
Pour faire face à cette augmentation d’activité, l’équipe du restaurant Jaune Poussin devrait prochainement s’étoffer.
Employant aujourd’hui 8 personnes, Gérard Caillé prévoit le recrutement de 3 salariés supplémentaires pour la rentrée de septembre 2013. Passionné et animé par le goût du partage et des défis, Gérard Caillé ouvre ses portes à tous les entrepreneurs et restaurateurs qui souhaiteraient lui emboiter le pas en dupliquant le concept Jaune Poussin.
A propos de Jaune Poussin
Depuis le lancement de son restaurant Jaune Poussin en septembre 2008, le restaurateur Gérard Caillé a toujours proposé sa formule « buffet à volonté ».
Son objectif : concurrencer la malbouffe en permettant à tous d’accéder à un repas de qualité à petit prix. Sa formule, inédite de par son incroyable rapport qualité/prix, a séduit de nombreux médias qui s’en sont fait l’écho : J-P Géné du magazine Le Monde – JC Martineau de Notre Temps- France dimanche- Cuisine Actuelle – M6?100% Le Mag- FR3 Périgord et FR3 National- Journal l’Hôtellerie – Objectif Aquitaine – Sud Ouest et Dordogne Libre – Sud ouest le Mag – France bleu Périgord – Wit FM- Sud Radio – La Revue des comptoirs – La Vie économique – Enfant magazine…
Voir le dernier reportage de France 3 au sujet de Jaune Poussin :
Le restaurant “anti-crise” de Gérard Caillé plébiscité par les critiques gastronomiques
Le remède anti-crise de Jaune Poussin : un buffet à volonté “fait-maison” pour 9,50 € !
Les critiques gastronomiques sont unanimes : à leur grande surprise, Jaune Poussin réussit l’exploit de proposer un repas gustatif de qualité pour moins de 10 €. Les clients, eux, le savaient déjà….Depuis son ouverture en 2008 , le restaurant de Gérard Caillé est devenu une adresse incontournable à Périgueux.
Franchement, j’en fus baba (…). Pour le prix d’un hamburger gras, d’un soda sucré et d’un café brûlant, j’avais mangé à volonté un repas varié, équilibré, et ne contenant que des produits frais.
Une formule choc pour les amoureux de la bonne chère
Jean-Pierre Gené, chroniqueur au Monde renommé et militant anti “malbouffe”, reconnait que le concept développé par Gérard Caillé a de quoi surprendre : “Vu de Paris, ça sent le coup fourré”. Mais cet a priori est rapidement balayé par la réalité ! Dans un espace de 850 m² qui peut accueillir jusqu’à 250 couverts tous les midis en semaine, le chef propose : 15 entrées au choix, le plat du jour et sa garniture, le fromage et sa salade verte, des pâtisseries, des laitages, une salade de fruits, des glaces et des sorbets.
Le gastronome est conquis : “la fraîcheur est indiscutable (on ne triche pas sur les crudités bien assaisonnées et bien taillées) et le fait maison incontestable.” Avec plus de 30 ans d’expérience dans la restauration, Gérard Caillé sait comment choisir ses produits, les acheter à bas prix et les transformer pour le plus grand plaisir de tous.
A l’Espace Jaune Poussin, il n’y a jamais de mauvaises surprises : même les boissons sont à petits prix ! Comptez 1,20 € pour le café, 1,30 € pour un verre de vin (2,30 € pour un quart) et 1,90 € pour une demi-pression.
“Un exemple pour tous ces pseudo-restaurateurs qui vont acheter des plats tout prêt à Métro ou ailleurs” conclut Jean-Pierre Gené dans son article.
Un partage de savoir-faire
Brigitte Ducasse, dans l’Hôtellerie Restauration, raconte :
Les avis sont dithyrambiques. On loue tout autant la qualité de la restauration, le prix, que l’accueil chaleureux du patron et de son personnel. Toujours souriant et prévenant.
Une opinion apparemment partagée par les journalistes de 100% Mag, qui ont fait le déplacement pour rencontrer Gérard Caillé et son concept hors du commun. Une expertise que ce passionné de la cuisine savoureuse est prêt à transmettre dans le cadre de formations.
Des vidéos riches en conseils sont d’ores et déjà disponibles sur YouTube :
