La bonne idée de cadeau #feelgood pour Noël : le livre pas à pas inspirant “Ecologaï, 50 idées pour faire entrer l’écologie dans votre quotidien” de Laetitia Blondel

Allier bien-être, épanouissement personnel et engagement écologique

Alors que près de 8 Français sur 10 sont convaincus de la nécessité d’agir pour préserver l’environnement (source), nous sommes tous confrontés au même problème : au-delà de la motivation de départ, il n’est pas toujours facile de rester dans l’action dans la durée !

Parce qu’il y a le quotidien et son rythme survolté, les injonctions contradictoires, les écogestes tellement nombreux qu’il semble impossible de tous les appliquer… très vite, de contraintes en obligations, le découragement est là. On sature face à cette charge mentale supplémentaire et à ce sentiment de frustration qui s’intensifie.

Pire : le moindre faux pas génère de la culpabilité, et donc de la négativité. Qui va parfois jusqu’au burn-out écologique.

Alors pour changer la donne, l’entrepreneure et autrice Laetitia Blondel casse les codes en partageant une autre vision de l’écologie. Elle ose l’écologie libératrice, celle qui offre l’opportunité d’évoluer vers des journées positives et stimulantes.

Sur la base de ses années d’expérience dans la sensibilisation et l’accompagnement au changement, Laetitia Blondel a ainsi développé le concept Ecologaï pour faire de l’écologie une vraie philosophie de vie.

Et cela change tout ! Dans son livre  “Ecologaï 50 idées pour faire entrer l’écologie dans son quotidien”, publié aux éditions Gereso, elle partage des solutions simples et accessibles pour intégrer l’écologie dans notre quotidien… avec le sourire.

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Vivre de manière écologique, c’est l’opportunité de plus de simplicité, plus de liens, plus de collaborations et plus de bien-être au quotidien dans le respect de tout ce(ux) qui nous entoure.

Adopter des gestes durables devient enfin joyeux et motivant

Et si l’écologie cessait d’être une contrainte pour devenir une libération ?

Cette année à Noël, plutôt qu’une énième boite de chocolat, on offre un cadeau à impact positif qui fera du bien aux gens qu’on aime (famille, amis, collaborateurs…). Un cadeau qui va les aider à changer de vie et de vision du monde.

“Mon approche repose sur une vision globale de l’écologie, au-delà des simples écogestes, pour inviter à une transformation personnelle, respectueuse de soi, des autres, et de la planète”, explique Laëtitia Blondel.

Conçu sous forme de cahier d’exercices pratiques et accessibles, son livre permet ainsi à chacun de faire évoluer son quotidien vers un mode de vie durable, pas à pas.

On aime…

La personnalisation. Rien n’est imposé, chacun évolue à son rythme. Au fil des pages, après avoir pris conscience de leur contexte personnel, les lecteurs vont progressivement explorer de nouvelles façons de vivre et d’agir. Sans (se) culpabiliser : la philosophie holistique et bienveillante de l’autrice est à adapter en fonction du quotidien, de ses impératifs et de son énergie du moment.

Des idées concrètes. Chaque page regorge de conseils pratiques et d’astuces faciles à mettre en œuvre, que ce soit à la maison, au travail ou dans la vie quotidienne. Top pour acquérir de bonnes habitudes durables !

Un format engageant. Avec son approche ludique, ce livre invite à réfléchir tout en passant à l’action. En reprenant le pouvoir : les lecteurs vont découvrir comment faire des choix de vie qui font sens, afin d’être plus alignés sur leurs valeurs et leurs convictions.

Un cadeau qui fait sens. Offrir ce livre, c’est mettre de la joie sous le sapin tout en contribuant à construire un monde meilleur.

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Sommaire

Introduction

Chapitre 1 – Partir du bon pied

  • L’écologie, c’est quoi ?
  • Ce que je ressens face aux défis écologiques
  • Pourquoi (pour quoi) je veux agir ?
  • La roue de ma vie écolo
  • Ma démarche écoresponsable
  • Ce qui bloque
  • Je change de point de vue
  • Et si un autre monde était possible ?
  • Je prends conscience de mon pouvoir

Chapitre 2 – Explorer son écologie intérieure

  • Booster mon écologie personnelle
  • Ce que j’aime… ou pas…
  • Les valeurs qui me guident
  • De quoi ai-je besoin ?
  • Alléger sa charge morale
  • Quelles sont mes priorités ?
  • À quoi je passe mon temps ?
  • Alléger mon quotidien
  • Prendre soin de moi

Chapitre 3 – Impacter positivement le monde

  • Je suis reconnaissant pour…
  • Je m’exprime sereinement
  • Poser des actions justes
  • Le pouvoir de mon argent
  • S’informer autrement
  • S’inspirer pour inspirer et impacter
  • Se challenger en famille
  • Changer d’échelle

Chapitre 4 – Rendre son logement écolo

  • Mon logement est-il écolo ?
  • Réduire sa consommation d’eau
  • Réduire sa consommation d’électricité
  • Ce que je possède
  • Désencombrer son intérieur
  • Rien de neuf chez moi
  • Home sweet home
  • Limiter les pollutions intérieures

Chapitre 5 – Prendre soin de la planète

  • Manger mieux
  • Zéro déchet… ou presque
  • Cuisine antigaspi
  • Courses en vrac
  • Mes choix de consommacteur
  • Le numérique en question
  • J’adopte la mobilité douce
  • Le pouvoir de la nature

Chapitre 6 – Agir durablement

  • Je synthétise
  • Pas à pas
  • Mon phare
  • Bien s’entourer
  • Garder sa motivation
  • Mon « mantra »
  • Lettre à « soi m’aime »
  • Célébrer le chemin parcouru

Conclusion

Extrait

“Nous traversons actuellement une crise écologique qui a des impacts sans précédent sur le climat et la biodiversité. Ces dérèglements sont dus à une vision anthropocentrée de l’écologie qui place l’humain en haut de la pyramide de la vie (schéma A).

Longtemps, nous avons pensé que nous pourrions exploiter les ressources de manière illimitée alors que nous vivons dans un monde fini. Cela a probablement permis de grands progrès, de grandes découvertes, mais nous nous apercevons aujourd’hui que cette trajectoire est dangereuse.

Il ne s’agit ici ni de se blâmer ni de culpabiliser, et encore moins de désespérer car il est encore possible d’agir. Trop tard pour éviter certains changements, mais encore temps pour limiter les dégâts.

En adoptant une vision qui place l’humain comme une composante de l’écosystème, nous retrouvons la place qui est la nôtre pour vivre en harmonie avec le vivant en respectant et en prenant soin de ce qui nous entoure.

C’est sur ce principe qu’est conçu ce cahier d’exercices : une vision globale de l’écologie qui va bien au-delà des écogestes.”

 À propos de Laetitia Blondel, facilitatrice en transition écologique et autrice

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Laetitia Blondel a exercé durant plus de 20 ans dans le secteur de l’industrie. Avec, toujours, l’environnement comme préoccupation quotidienne.

D’ailleurs, après avoir été technicienne de traitement de l’eau, Laetitia a intégré le service environnement de son entreprise. Elle obtient ensuite un diplôme d’ingénieur, grâce auquel elle devient Responsable du service de maintenance industrielle. Ce poste se révèle particulièrement enrichissant puisqu’elle y acquiert une véritable expertise en amélioration, structuration et organisation. Autant de compétences dont elle se sert encore aujourd’hui dans ses accompagnements.

Au fil du temps, forte de plusieurs expériences professionnelles, Laetitia commence à s’interroger sur ce qu’elle a réellement envie de faire. Elle se remet ainsi plusieurs fois en question et envisage différentes reconversions professionnelles. En parallèle, elle effectue un travail de développement personnel entamé suite à des épreuves personnelles.

C’est à ce moment-là qu’elle a un premier déclic en découvrant le film “Demain” de Cyril Dion. Laetitia réalise alors qu’elle a toutes les cartes en main pour décider de transformer son quotidien et agir à son échelle pour améliorer le monde.

Elle commence à se former à la décoration intérieure, la rénovation énergétique des logements et les matériaux biosourcés. Elle effectue aussi sa propre transition quotidienne en changeant ses habitudes pour alléger son empreinte.

C’est précisément à cet instant qu’un deuxième grand déclic va changer sa vie. En suivant le MOOC “Permaculture” de l’Université des Colibris, elle découvre que les principes de la permaculture peuvent s’appliquer dans tous les domaines de la vie !

Le passage à l’entrepreneuriat : la création de Vers un coin de paradis

En 2019, Laetitia lance sa propre entreprise afin d’accompagner des femmes et des hommes dans la transformation en douceur de leur quotidien et au sein de leur entreprise. Elle leur permet ainsi de prendre soin d’eux, des autres, et de la nature.

Pour moi, l’écologie est une philosophie de vie qui nous aide à concevoir un quotidien plus simple, durable et heureux, dans lequel chacun de nous s’épanouit pleinement.

Ainsi, son approche est holistique et englobe tous les aspects de notre quotidien : travail, maison, environnement, santé, nature…

Une passion : écrire

Lors d’une expatriation en Australie, Laetitia découvre son amour pour l’écriture. Elle s’occupe de l’édition d’un journal à destination des expatriés et l’idée d’un livre émerge, en lien avec l’évolution de sa structure Vers un Coin de Paradis et l’élaboration de sa philosophie de vie Ecologaï.

Soutenue et encouragée par des amies et par son entourage, elle se lance dans l’écriture de son livre, accompagnée d’un coach qui l’aide à construire le cahier d’exercices.

Avec une ambition : démocratiser l’accès à cette manière de penser et d’agir en aidant chaque lecteur à développer son propre Ecologaï au quotidien. Laetitia utilise d’ailleurs son livre pour soutenir sa démarche de coaching et elle l’offre à ses clients en entreprise ou en collectivité.

Ce compagnon de transformation écologique personnelle, à la fois évolutif et durable, est ainsi le vecteur “grand public” de cette philosophie de vie qui me semble être une vraie réponse aux enjeux de notre monde.

Informations pratiques

  • EAN13 : 9791039704069
  • Éditeur : Gereso
  • Nombre de pages : 292
  • Dimensions : 19 x 13,5 x 1,7 cm
  • Prix : 23 €

En savoir plus

Le livre Ecologaï : https://versuncoindeparadis.com/le-livre-ecologai/

Site web : https://versuncoindeparadis.com/

Instagram : https://www.instagram.com/versuncoindeparadis/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/31445099/admin/feed/posts/

“Achetez Rénovez Gagnez” de Guillaume Millo : un guide incontournable pour réussir ses projets immobiliers grâce à la transition énergétique

Même si le nombre de passoires thermiques diminue en France, il reste encore beaucoup trop de logements problématiques : notre pays compte 4,8 millions de résidences principales classées F ou G, soit 15,7% du parc locatif (source).

Ces logements énergivores sont aussi totalement obsolètes face aux nouvelles exigences environnementales et aux défis de la transition énergétique.  Cette situation est d’autant plus préjudiciable qu’elle ne concerne pas seulement les professionnels du bâtiment.

Chaque citoyen va être directement impacté :

  • La flambée des coûts de l’énergie et la baisse du pouvoir d’achat incitent à rénover pour se créer un foyer confortable et économe en énergie.
  • Ceux et celles qui envisagent de louer leur bien ou d’investir dans un projet immobilier vont aussi devoir s’adapter.  Car si les biens classés F ou G sont déjà interdits à la location, les classes E sortiront aussi du marché locatif dès 2034.

Mais comment agir pour changer la donne ?

En tant qu’expert de la réhabilitation immobilière, et impliqué dans des projets de grande ampleur, Guillaume Millo publie “Achetez Rénovez Gagnez “ aux Éditions Jikji pour fournir aux lecteurs des outils concrets et efficaces.

Avec une ambition : les aider à répondre à cette crise énergétique, mais aussi à anticiper les défis futurs en matière de rénovation.

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Je partage une méthode claire et accessible, la méthode A.R.G, pour que particuliers et investisseurs transforment les biens énergétiquement inefficaces en opportunités rentables.

Guillaume Millo

Une approche novatrice et pragmatique pour réussir dans l’immobilier

Dans son dernier livre, Guillaume Millo explique sa stratégie de rénovation immobilière rentable pour générer des plus-values et faire des économies grâce à la transition énergétique.

Avec, toujours, la volonté de présenter une approche pratico-pratique et accessible à tous.

Par exemple, il permet d’apprendre à dénicher des biens sous-évalués et à optimiser chaque rénovation.  En étant guidés pas à pas, les lecteurs vont aussi découvrir quelles sont les évolutions législatives et les exigences énergétiques du marché immobilier qu’ils ont intérêt à anticiper.

J’ai pensé ce livre comme un appel à l’action et une réponse pragmatique à un problème national majeur.

Les (grands) petits plus

Une solide expertise de la réhabilitation immobilière

Ici, on oublie la théorie et les concepts abstraits pour privilégier le partage d’une méthode ancrée dans des réalisations concrètes. Habitué depuis des décennies aux projets complexes, réalisés dans des conditions souvent exigeantes,  Guillaume Millo a acquis une compréhension approfondie des enjeux liés à la rénovation, tant sur le plan technique qu’humain. Il sait notamment comment transformer des bâtiments anciens en biens modernes, performants et rentables, tout en respectant leur âme et leur histoire.

Une approche holistique de la rénovation

Au-delà de l’aspect financier ou technique, Guillaume intègre également des considérations écologiques, patrimoniales et humaines qui permettent d’aller beaucoup plus loin que les rénovations traditionnelles.

Bientôt un véritable écosystème dédié aux projets immobiliers

Convaincu que l’avenir de l’immobilier réside dans une réhabilitation durable, Guillaume s’engage en donnant aux particuliers et aux investisseurs les moyens concrets d’y parvenir.

Motivé par le désir de transmettre ses connaissances, il souhaite lancer des ressources complémentaires au livre pour démocratiser l’accès aux projets de rénovation immobilière rentables.

Les accompagnements personnalisés. Prochainement, particuliers et investisseurs pourront franchir plus facilement le pas de la rénovation énergétique, grâce à un soutien direct et adapté aux besoins spécifiques de chaque projet. Les personnes accompagnées bénéficieront aussi de conseils pratiques pour maximiser leurs gains et réduire les risques.

Les programmes de formation dédiés. Afin d’approfondir la compréhension de la méthode A.R.G, ces formations permettront aux participants de maîtriser les aspects techniques et stratégiques de la rénovation immobilière, qu’il s’agisse de la gestion de projet, des choix énergétiques ou des optimisations financières. L’idée est de créer une véritable communauté de réhabilitateurs informés, capables de contribuer de manière significative à la transition énergétique tout en sécurisant des investissements immobiliers rentables.

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À propos de Guillaume Millo

Mon moteur : transformer la manière d’aborder la rénovation, mais aussi sensibiliser les gens à  l’importance de préserver notre patrimoine tout en participant à la lutte contre le gaspillage énergétique.

Guillaume Millo est un expert reconnu en rénovation et réhabilitation immobilière en France. Il a notamment fondé le cabinet Rehearth, spécialisé dans l’assistance à la maîtrise d’ouvrage, avec lequel il pilote des projets de réhabilitation.

Il a dirigé des projets de grande envergure comme la rénovation du Vieux-Port de Saint-Raphaël ou encore du Château Saint-Antoine à Marseille qui a inspiré Marcel Pagnol dans l’écriture de son roman Le Château de ma mère paru en 1957.

En savoir plus

Découvrir le livre : https://www.jikji-editions.com/articles/sortie-du-livre-achetez-renovez-gagnez-un-guide-incontournable-pour-reussir-vos-projets-immobiliers

Site web : https://jikji-editions.com/

Instagram : https://www.instagram.com/editionsjikji/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/guillaume-millo

CarbonScore, l’application qui gamifie la responsabilité numérique des entreprises

Simplifier la mesure individuelle des émissions de CO2 en entreprise

À l’heure de la transition écologique, le principal enjeu est de changer les comportements. Dans les organisations, la prise de conscience des émissions liées à l’activité numérique des collaborateurs échoue souvent sur la notion de CO2 : elle paraît trop souvent abstraite aux utilisateurs.

Pourtant, il y a urgence à agir : la croissance de l’impact des émissions numériques en entreprise (mails, vidéos, Visio, stockage) est vertigineuse et croit de 8 % par an. Au delà des émissions il faut prendre en compte le caractère limité de la ressource numérique auquel nous avons accès, cette dernière étant loin d’être infinie.

La solution ? Offrir un moyen engageant de mesurer et de faire prendre conscience de l’impact des gestes numériques pour orienter l’utilisation vers des usages plus respectueux de l’environnement.

Dans ce contexte, la start-up TechUpClimate déploie la version industrielle de CarbonScore, une plateforme innovante qui permet d’induire des actions écoresponsables dans les entreprises en s’appuyant sur la gamification et le Micro-learning. 

Le concept : Le CarbonScore une mesure imagée et individuelle des émissions de Co2, simple à comprendre, permettant un challenge permanent des usages numériques mais pas que…

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Le déploiement de la version industrielle de CarbonScore avec le soutien de la région Île-de-France est une première étape structurante dans notre développement et confirme la portée innovante de notre solution de rupture. Plébiscité par de nombreuses entreprises de toute taille et de tout secteur notre plateforme est rentrée dans une phase d’accélération qui permet de constater l’augmentation de la conscience environnementale chez les collaborateurs d’entreprises.

Jean Christophe Bories, Président

Un outil concret et motivant pour réduire les émissions de gaz à effet de serre

Alors que 73 % des Français ne savent pas que le numérique pollue (étude Cleanfox), il faut savoir que si Internet était un pays, il serait le 6e plus gros pollueur mondial.

Le numérique représente déjà 4 % des émissions de CO2 au niveau mondial (source : The Shift Project)… et ce n’est qu’un début ! Si rien n’est fait, les experts estiment qu’elles seront multipliées par deux d’ici 2025.

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Pour changer la donne, CarbonScore permet d’engager simplement les collaborateurs dans une démarche RSE en les aidant à :

  • Prendre la mesure réelle de leur impact quotidien ;
  • Mieux maîtriser les ressources à leur disposition ;
  • Adopter des gestes plus écoresponsables.

La version présentée dispose également d’un accès “tableau de bord” permettant la visualisation des progrès de la communauté et l’évolution du taux d’engagement des collaborateurs. 

Ultra-efficace, CarbonScore participe ainsi à une réduction visible de la consommation énergétique, des flux et des volumes de stockage en entreprise.

Une utilisation #easy et accessible à tous

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Notre mission ? Fournir des technologies non polluantes pour mettre un contrôle sur la croissance des émissions du numérique dans notre quotidien. Tout simplement parce que la pratique des écogestes n’est pas suffisante…

Fabien Scolan, CTO et cofondateur

La mesure permanente et sans effort

Le sourcing de l’information se fait naturellement avec le principe de “collecteurs” développé par la start-up. Cette technologie sécurisée et anonymisée permet de valoriser les actions digitales en se basant sur des modèles de valorisation CO2 éprouvés, mais adaptés aux objectifs bas carbone de l’entreprise.

Un déploiement instantané

Avec CarbonScore, le déploiement en entreprise est facilité par une approche Saas (Software as a service) sur abonnement.

Une pédagogie inédite et “zéro prise de tête”

De façon ludique et stimulante, l’application engage chaque collaborateur vers l’écoresponsabilité, tout en les sensibilisant aux enjeux environnementaux.

Les (grands) petits plus

  • Un outil permettant de comparer des services, des personnes et des entreprises entre elles sur l’aspect de l’écoresponsabilité ;
  • La mesure réelle et quotidienne des impacts environnementaux qui motive le passage à l’action ;
  • Les contenus de formation(Micro-learning) qui accompagnent la démarche RSE et orientent son développement ;
  • La gamification sous forme de challenges et de défis permanents, ponctuée par un circuit de récompense et de reconnaissance.

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À propos de TechUpClimate, la société éditrice de CarbonScore

TechUpClimate est une start-up qui rassemble une large communauté d’experts de la communauté “sobriété numérique” et de la mesure en entreprise des Gaz à effet de serre.

Sa mission : développer des technologies de mesure et d’incitation à une plus grande sobriété numérique et énergétique.

CarbonScore a ainsi vocation à devenir un réflexe et une routine dans le quotidien du collaborateur. Elle est déjà utilisée par des entreprises telles que Infiny Link, Sonergia, Rémy Cointreau, Eco CO2, Bworkshop, Banques Populaires, Aerow…

L’application va par la suite être déployée à l’international.

Portrait de Jean-Christophe Bories, co-fondateur et Président

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Ingénieur de formation (ENSEA), Jean-Christophe Bories a effectué l’essentiel de sa carrière dans l’informatique pour les entreprises. Passionné d’innovation, il a notamment pu lancer ou accompagner différentes startups.

Très engagé sur la protection de l’environnement et sur la question du changement climatique, il développe en tant que conseiller municipal à Pontoise des actions en faveur de la biodiversité : installation de ruches, mobilités douces, sauvegarde de milieux humides, sauvegarde du hérisson, initiation à la permaculture.

Lancer une start-up avec un but environnemental s’est imposé comme une évidence ! Ma priorité : engager de jeunes collaborateurs et ainsi préparer l’avenir vers un monde plus écoresponsable.

La genèse de l’aventure CarbonScore

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Après 35 ans de métier dans la direction de projets informatiques, Jean-Christophe s’est interrogé sur l’impact de nos usages numériques. Il a alors constaté qu’il n’y avait pas de mesure environnementale quotidienne.

Ce questionnement l’a aussi amené à prendre conscience du rôle qu’il peut jouer : “en un sens, je me sens responsable de la dégradation de l’état de la planète que nous laisserons à nos enfants”, explique-t-il.

Face à la surconsommation de ressources planétaires liée au numérique, Jean-Christophe a donc décidé d’agir pour promouvoir une utilisation plus efficace et plus sobre.

Il a eu l’idée du concept CarbonScore lors d’un concours d’innovation environnementale dans un grand groupe français.

Pour en savoir plus

Site web : https://carbonscore.fr/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/showcase/carbonscore/

Transition écologique IT : le Collectif API Thinking lance le label “API Green Score” pour promouvoir la création d’APIs écoresponsables

À l’époque du tout numérique, les APIs sont partout ! Chaque “Application Programming Interface” joue en effet un rôle essentiel, puisqu’elle permet aux applications de communiquer entre elles.

Un exemple concret : Google Maps. Moyennant finance, tous les développeurs peuvent utiliser une API permettant d’accéder aux cartes numériques du monde entier, aux itinéraires et aux infos trafic. Ces données peuvent alors être réinjectées directement dans une autre application (ex. : Uber ou Citymapper).

Une innovation géniale… ou presque.

Car, aujourd’hui, la façon dont les APIs sont conçues participe à la pollution numérique générée par le secteur informatique, responsable à lui seul de l’émission de 4 % des gaz à effet de serre et de 6 à 10 % de la consommation d’électricité mondiale. En clair, il a le même impact que l’aviation !

C’est pour en finir avec cette situation que le Collectif API Thinking lance le label “API Green Score”. Cette nouvelle certification va permettre de valoriser chaque API numériquement responsable.

Elle va aussi inciter les producteurs & utilisateurs d’API à des questions d’éco-conception, d’éco-consommation, d’impacts environnementaux et sociétaux de leurs APIs.

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Un nouvel outil pour passer à l’ère des APIs Numériquement responsables

L’API Green Score est une boîte à outils pour aider les utilisateurs, concepteurs et propriétaires d’API à se poser des questions sur l’impact numérique de leur API sur l’environnement.

Elle est constituée d’un guide de bonnes pratiques, afin d’inciter à la transition écologique de façon concrète, et du tout nouveau label “API Green Score” qui atteste de l’éco-conception des APIs.

Ce chantier est piloté par Yannick Tremblais, IT Innovation Manager du Groupe Rocher. Il regroupe différents membres participants et entreprises contributrices :

  • L’Oréal : Julien Brun et Liliana Jenna ;
  • BPCE : Oscar Kiniffo ;
  • Combo : Mathieu Pradal ;
  • SNCF : Frédéric Morisset ;
  • ENEDIS : Jérôme Mezille ;
  • EDF : Thomas Breton ;
  • AXA : Christelle Revaudet ;
  • API Thinking : Julien Bichon, Camille Laroche.

7 domaines passés au crible pour une analyse à 360° de chaque API

Le Collectif API Thinking a créé des métriques pertinentes et réalistes que les parties prenantes peuvent utiliser et adapter selon le contexte de leur entreprise.

Cet outil est basé sur 7 domaines différents afin de créer des métriques pertinentes et réalistes que les parties prenantes peuvent utiliser, adapter selon le contexte de leur entreprise.

Cycle de vie des API : désaffecter une API inutilisée, déployer l’API près du consommateur, réduire le nombre de versions d’API, unifier le catalogue d’API, créer un référentiel consommateur, identifier l’API à usage unique, urbanisation avec la gouvernance des données.

L’échange de données : échange avec la plus petite taille suivant la taille de la charge utile de l’API, préférez le jeton opaque au JWT, principes de l’API Customer Centricity, API Data/Granularity, tirez parti d’Odata ou de GraphQL pour la base de données API, gestion des données, contenu dynamique.

Données : optimiser les requêtes pour limiter les informations renvoyées, ne collecter que les données requises, ne fournir que les données modifiées, utiliser le cache, communiquer sur la taille de la charge utile, API utilisée géolocalement à proximité de leurs consommateurs.

Architecture : promouvoir l’architecture des événements, filtrer les données dans la charge utile, pagination, webhook ou notification commerciale, AsyncAPI.

Outils : définir une base de critères de notation, fournir des KPI (Nombre d’appel, taille de la charge utile, nombre d’équipements utilisés…), évaluer la consommation d’énergie pour une API, connaître l’impact du langage sur la consommation d’énergie.

Infrastructures : utiliser une infrastructure adaptative, utiliser aussi peu de fournisseurs de cloud que possible entre consommateur et backend, être proche du centre de données, définir quelles actions sont plus pertinentes de faire pour réduire l’impact des APIs.

Communication : nom de l’API Ecoscore, guide des ressources, partage des critères d’évaluation et des méthodes, adapter la communication de chaque personas.

À propos du Collectif API Thinking

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Nous travaillons à la création d’APIs écoresponsables et à la définition d’un « modèle » de portail de bonne qualité (en termes de fonctionnalités, d’informations…). Il s’agit ainsi d’apporter une réponse concrète aux attentes des fintechs.

Créé en mai 2020, le collectif API Thinking est le seul et unique collectif français sur les APIs regroupant les acteurs francophones (clients finaux) de l’écosystème APIs.

Gratuit pour ses membres, il permet à tous les clients finaux d’échanger, de partager leurs expériences entre eux. Les acteurs tant business et métiers de tous secteurs d’activité se côtoient dans un espace de discussions libre.

Tous les mois, des chantiers (groupe de travail) se regroupent pour avancer sur des sujets autour des APIs (Cas d’usage, gouvernance, architecture, sécurité, API numériquement responsable et API Management).

Une fois par trimestre, une Session Plénière est organisée avec la totalité des membres dans le but de faire un point sur les derniers mois, mais aussi d’écouter des retours d’expériences (des membres ou partenaires).

Aujourd’hui, le collectif API Thinking regroupe toutes celles et ceux qui œuvrent au quotidien autour des APIs et qui partagent un point commun : avoir déjà initié une démarche d’API ou avoir pour projet de le faire.

Le Collectif ambitionne désormais de sortir encore plus de livrables pour faciliter les approches sur les APIs et partager ses connaissances en créant de nouveaux chantiers & projets sur les APIs. En parallèle, il souhaite aussi avancer sur les tendances émergentes, comme celles du Green IT.

Par exemple, au sein du chantier API Management 360°, il prépare la sortie d’un comparatif des solutions d’API Management qui sera orienté vers les utilisateurs finaux.

Les chiffres-clés

  • 120 entreprises ;
  • 170 membres actifs ;
  • 9 partenaires ;
  • 5 Chantiers en cours ;
  • 120 m² de biodiversité préservée : pour chaque nouvelle entreprise membre, le collectif préserve 1m² de biodiversité.

Les différents chantiers en cours

Gouvernance des APIs

Ce groupe de travail vise à partager sur les pratiques de gouvernance de chacun des acteurs, ainsi que sur les outils utilisés.

API Management

Ce chantier est destiné à :

  • Définir le format du rapport avec les catégories, un score card, un visuel résumant le classement… ;
  • Définir une méthodologie de notation des solutions APIM ;
  • Identifier les critères d’évaluation des solutions APIM ;
  • Définir la pondération de chaque famille de critère ;
  • Impliquer tous les membres du collectif à travers un questionnaire d’évaluation (T1 2023) ;
  • Définir les modalités des contributions des éditeurs.

Architecture et Sécurité

En cours de définition.

Cas d’usage

Ce groupe de travail permet de :

  • Présenter des exemples concrets d’API ayant rempli leurs objectifs ;
  • Partager des cas d’usage : satisfaction des besoins, ROI ;
  • Recevoir des retours sur une excellente histoire d’API de chaque membre ;
  • Développer un modèle pour structurer l’étude de cas.

La revue de presse mensuelle

Tous les mois, elle recense divers articles, en français ou en anglais, sur l’ouverture des systèmes d’information. Les dernières revues de presse peuvent être téléchargées gratuitement sur le site du Collectif.

Portrait de Julien Bichon, le fondateur

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Depuis 2008, Julien Bichon travaille au sein du groupe BPCE, à différents postes à responsabilité. Il rejoindra au 3 janvier 2023 le groupe BNP Paribas.

Il a développé une réelle expertise sur les APIs, sur lesquelles il travaille depuis 2017. D’abord en tant que responsable de l’offre Open API (BPCE) puis, à partir de février 2021, dans le cadre du programme Open Platform and APIs (BPCE SA).

En mai 2020, Julien décide de regrouper des personnes travaillant sur les APIs en premier lieu dans le secteur Banque-assurance-fintech : le Collectif API Thinking vient de naître ! Il ouvre rapidement ses portes à tous les secteurs d’activité : aéronautique, retail, énergie …

En juin 2021, Julien co-crée également avec Accetal « France API », le premier évènement francophone dédié aux APIs. La première édition a eu lieu le 14 juin 2022 et la seconde se déroulera le 13 juin 2023.

Pour en savoir plus

Les APIs numériquement responsables : https://www.collectif-api-thinking.com/apis-numeriquement-responsables/

Site web : https://www.collectif-api-thinking.com/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/70471559/admin/

Keewe lève 1,25 millions d’euros pour mettre la finance au service de la transition écologique des PME

La fintech permet aux PME de s’engager dans la transition écologique grâce à leurs opérations en devises. Elle a depuis avril 2021 ouvert des comptes à près de 80 sociétés et permis de compenser 4 000 tonnes de CO2 grâce à 15 millions d’EUR échangés. 

Cette levée réalisée auprès de Business Angels va lui permettre de renforcer ses équipes commerciales et son offre en faveur de la transition écologique.

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Une forte appétence des PME pour une plateforme bancaire qui place la transition écologique au cœur de son activité.

Alors que la pression augmente en faveur de la transition écologique des PME, celles-ci ne savent pas comment s’y engager. Une part importante de leur empreinte carbone provient des opérations liées au commerce international (production à l’étranger + transport).

Ces opérations internationales donnent souvent lieu à des opérations en devises étrangères et ces activités de forex (foreign exchange) sont souvent mal appréhendées par ces PME qui souffrent d’un manque de transparence et d’une tarification excessivement élevée de la part de leurs partenaires bancaires.

Fondée par 4 associés (Jean-Yves Rettel, Adrien Farras, Alexandre Torbay et Vincent Voisin), anciens de BNP Paribas, Western Union et CapGemini, Keewe répond à cette double problématique.

Double proposition de valeur

Grâce à Keewe, les clients bénéficient d’une double proposition de valeur :

  1. ils simplifient et diminuent les commissions payées sur la gestion de leurs paiements en devises (ouverture de comptes gratuite dans 24 devises, opération de change et transferts dans l’immense majorité des devises et pays)
  2. bénéficient d’un cashback en crédits carbone à chaque opération d’échange de devises, qui représente jusque 25% de la marge réalisée par Keewe.

1,25 million d’euros pour accélérer son déploiement commercial et compléter son offre en faveur de la transition écologique

Keewe vient de boucler un seed de 1,25 million d’euros auprès de Business Angels parmi lesquels Guillaume Amblard, investisseur historique et ancien responsable du trading et de la recherche quantitative chez BNP Paribas, Jérôme Camblain, Partner chez Smart Lenders Asset Management, Yann Samuelides, ex Partner chez Goldman Sachs, Alexandre Ichaï (Ava Capital) et les Business Angels des Arts et Métiers (AMBA).

Grâce à cette levée, Keewe pourra renforcer ses équipes commerciales et développer d’autres offres à destination de PME afin de simplifier et automatiser leurs actions en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique.

À propos

Créé en 2020 par 4 associés issus des salles de marché, Keewe est la fintech qui permet aux PME de s’engager dans la transition écologique en quelques clics et sans surcoût supplémentaire.

Pour en savoir plus

Le service de dividende écologique : https://www.keewe.eu/services-climat/dividende-planete

Site web : https://www.keewe.eu

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/keewe

Pyxo : la 1ère solution clé-en-main qui permet aux restaurants et aux entreprises de passer au zéro déchet

Et si on en finissait avec la pollution plastique générée par les repas à emporter ou livrés à domicile/au bureau ?

Le gouvernement français est bien décidé à passer à la vitesse supérieure : en juillet 2020, il a demandé à tous les acteurs de la FoodTech de proposer des solutions pour passer au zéro déchet d’ici 2023 (source).

Ils ont jusqu’au mois d’octobre pour faire des propositions concrètes. Parmi les pistes envisagées, l’entreprise PopChef a déjà fait son choix pour ses cantines digitales : ils vont utiliser les emballages réutilisables imaginés par Pyxo ainsi que leur technologie de consigne digitale.

Pyxo  propose en effet la 1ère solution clé en main pour rendre chaque restaurant 100% zéro déchet.

Le concept ? De beaux contenants alimentaires réutilisables et éco-conçus (à l’achat ou à la location) qui remplacent et suppriment les emballages jetables de la pause-café et déjeuner. Avec une plus-value considérable : une technologie de gestion digitale des consignes et des partenariats pertinents pour une solution ultrasimple à utiliser.

Une solution de l’économie circulaire qui met du “green” au cœur de la restauration nomade

Les emballages jetables ne sont pas une fatalité !

Pyxo accompagne les restaurants dans l’ère du réutilisable en toute simplicité.

En quelques mots, Pyxo c’est…

  1. Des contenants réutilisables, tous éco-conçus et Made in France (dans le Jura) ;
  2. Un circuit de logistique et de nettoyage basé sur des acteurs locaux partout en France ;
  3. Et une technologie de tracking pour gérer digitalement les consignes sans inscription ni application mobile.

Les restaurateurs y gagnent : non seulement ce service est en adéquation avec les attentes de leurs clients et valorise leur image de marque, mais son prix s’adapte à leur budget malmené par la crise sanitaire.

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Des contenants design et éco-conçus

Ils ont été imaginés en partenariat avec la Coopérative Mu, une agence d’éco-conception indépendante qui a notamment réalisé une analyse de cycle de vie (ACV) complète du service Pyxo pour le comparer aux emballages jetables. Elle a ainsi étudié de nombreux paramètres comme le matériau des contenants réutilisables, le transport, la durabilité.

À partir des données récoltées, Pyxo a élaboré un contenant innovant qui relève un triple challenge :

  • il minimise l’impact environnemental : toutes les décisions (matériau, design, fabricant, logistique, nettoyage) sont prises en fonction de l’ACV ;
  • il respecte le cahier des charges long et complexe de la restauration rapide et nomade ;
  • il est pratique et durable.

Benjamin PERI, co-fondateur, souligne :

Notre produit est vraiment unique sur le marché car il offre des performances techniques et environnementales inégalées, tout en étant adapté aux enjeux des professionnels de la restauration. Et en prime, il est beau et attractif !

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Une technologie de pointe pour une transition écologique “zéro prise de tête”

Passer au zéro déchet est simple et facile grâce à la technologie de digitalisation de la consigne “made by Pyxo”.

L’idée est que tout le monde s’y retrouve, les restaurateurs comme leurs clients, et adopte facilement le concept des contenants réutilisables. A terme, cela va même devenir un réflexe !

Un investissement réduit au minimum

Pour les professionnels, la transition se fait sans impact notable sur leur budget puisque l’investissement à prévoir est de 60 € pour convertir n’importe quel restaurant au zéro-déchet et n’importe quelle poubelle en collecteur de PyxoBox. De plus, opter pour Pyxo ne crée aucune contrainte ou ralentissement du parcours de vente.

Un accès libre, fluide et sécurisé

Chaque personne peut rejoindre le réseau Pyxo et déjeuner en zéro-déchet chez ses restaurateurs, traiteurs, livreurs préférés sans frais d’inscription, sans transmission de données personnelles et sans application.

Benjamin précise :

Tous les restaurateurs de notre réseau sont reliés : il est ainsi possible de prendre un contenant dans le restaurant A et de le rendre dans un collecteur du restaurant B ou même au sein de son entreprise.

Quel que soit l’origine du compte-consigne avec Pyxo, il peut donc ensuite être utilisé n’importe où au sein du réseau.

D’ailleurs, cette technologie s’interface avec les applications des acteurs de la foodtech et s’intègre en marque grise au sein des réseaux consigne existants. Enfin, elle va être prochainement interfacée avec les frigos connectés en entreprise et les applications de commande d’acteurs bien connus.

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Les nouveautés à venir

Pyxo en marque blanche

En discutant avec les acteurs de la consigne en France via l’association Réseau Consigne, la Dream Team de Pyxo a réalisé que tous rencontrent les mêmes problématiques : soit le contenant réutilisable n’est pas adapté à leurs besoins, soit la gestion de la consigne est trop complexe.

Pour les aider, Pyxo leur propose en marque blanche ses contenants et sa technologie. Il s’agit de démocratiser le zéro déchet, de standardiser autant que possible les contenants réutilisables afin d’éviter toute récupération marketing, et d’interconnecter tous ces réseaux consigne via un même back-office de gestion des comptes-consigne des utilisateurs.

Benjamin confirme :

L’indicateur qui acte toutes nos décisions est la quantité de déchets supprimés. C’est pourquoi nous avons pris le parti de proposer en marque blanche nos solutions à nos “concurrents”. Nous pouvons nous passer d’une notoriété grand public pourvu que ça serve la transition vers le zéro-déchet.

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Un contenant adapté pour le grand public

Pyxo lance une campagne de crowdfunding sur KissKissBankBank à partir du 15 septembre pour financer la création d’un contenant réutilisable destiné aux particuliers dans un matériau 100% biosourcé : le GreenFib. Il est fabriqué en Bretagne à partir de roseaux, de talc et d’huile de ricin.

La campagne fonctionne sur le principe du “Buy One Give One” : pour chaque achat réalisé, un contenant sera offert gratuitement aux partenaires de Pyxo :

  • soit des acteurs de la consigne : Strasbourg (ex: Hoplunch.com) , Lille, La Réunion, Montpellier, Sofia, Marseille, Paris, Savoie… ;
  • soit des restaurateurs ( ex : Naturaliste)
  • soit des  foodtech comme PopChef .

Différents formats pour couvrir tous les besoins

Après le premier modèle de 750 ml, Pyxo travaille à la création de deux autres formats (900 ml et 300 ml). A terme, la start-up française prévoit de répondre à tous les besoins du secteur : sandwich, burgers, couverts, sacs…

Et ce n’est qu’un début ! Des industriels de l’agro-alimentaire envisagent de conditionner leurs produits dans les PyxoBox en magasin, ce qui permettrait de supprimer les emballages jetables. Pyxo étudie donc les solutions pour proposer un système de consigne adapté.

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Une aventure qui a débuté par un footing dans un parc parisien…

Il y a deux ans, au mois d’août 2018, Benjamin fait un footing dans le parc des Tuileries à Paris.

Il est 15 heures et il doit donc circuler parmi les poubelles débordantes de contenants jetables issus de la restauration de la fête foraine. Un non-sens écologique qui ne peut plus durer…

Alors au retour de son footing, il appelle François des Beauvais, un ancien collègue de promotion qui vient de démissionner de son poste dans une grande entreprise de conseil en stratégie pour créer un projet autour du zéro déchet.

Benjamin lui explique la situation et tous les deux tombent face à un constat. Techniquement, il est très simple de remédier à ce problème : il suffit que chacun amène son tup partout où il va commander.

Oui, mais… en pratique, c’est loin d’être évident.

Benjamin explique :

Dès que l’écologie s’accompagne d’une contrainte, elle ne touche que 5 à 20% de la population. Seuls les plus engagés sont prêts à faire de réels efforts répétés au quotidien pour agir. Et c’est normal : notre société est conçue autour du consumérisme et du gain de temps ! Avec François, nous nous sommes donc dit qu’il fallait inventer un système “zéro contrainte” tant pour les utilisateurs que pour les restaurateurs afin de toucher 100% des Français.

Le concept Pyxo venait de naître ! Benjamin et François imaginent une technologie et des contenants et Pyxo est officiellement lancée en janvier 2019. La première version du service est aussitôt adoptée par BNP Paribas.

A propos de Benjamin PERI, co-fondateur

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Benjamin PERI est Ingénieur en énergies renouvelables issu de l’Ecole Centrale Paris nouvellement CentraleSupélec.

Il commence sa carrière en travaillant pour les HackerHouse SeedUp créées par un ami de promotion Paul Poupet. La vie en hacker house consiste à vivre autrement dans un monde high tech et imaginer le futur. Par exemple, les pauses café ne se déroulent pas à discuter en costume près de la machine… Elles sont au contraire l’opportunité de démonter le micro-onde afin d’en retirer les électroaimants pour jouer à SpiderMan sur une plaque en acier.

Benjamin crée alors une première entreprise qui est présentée au CES Las Vegas 2017 et qui est ensuite revendue à Huawei.

A la suite de cette expérience, il intègre BNP Paribas où il co-crée le programme d’intelligence artificielle d’une de ses filiales.

Et puis un jour d’août 2018, il y a ce déclic qui change tout : la démission de Nicolas Hulot du gouvernement français. Pour Benjamin, c’est un électrochoc ! Parce qu’il avait fait Centrale pour se rendre utile et agir au mieux en faveur de la transition écologique, indispensable à la survie de notre société, il décide de s’y consacrer à temps plein.

Il démissionne de BNP Paribas et fonde Pyxo avec un camarade de promotion, François de Beauvais.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.pyxo.fr

Facebook : https://www.facebook.com/PyxoFrance/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/pyxo

Captain’Conso aide les copropriétés à réaliser des économies en optimisant les charges énergétiques de leurs bâtiments

Toujours plus rare, toujours plus coûteuse : au fil des années, l’énergie représente une part de plus en plus importante des charges des copropriétés et ces dépenses sont en constante augmentation.

Il faut compter en moyenne :

  • + 50% en 3 ans pour l’électricité ;
  • + 44% en 3 ans pour la taxe TICGN gaz, avec en prime la création de la taxe CEE ;
  • + 2% pour les contrats de maintenance.

De plus, les postes comme le chauffage ou la climatisation dépendent d’une météo qui est par nature imprévisible et entraîne des variations de budget de + ou – 7% selon les années.

Et ce n’est qu’un début ! Àla suite du confinement, France Stratégie prévoit déjà une hausse du tarif de l’énergie de 5% en 2021 (source).

Pour autant, viser la performance énergétique ne s’improvise pas. Avec 26 fournisseurs d’électricité et 13 de gaz, il n’est pas évident de s’y retrouver. Sans oublier que le suivi des travaux est chronophage et que les démarches d’obtention des aides de l’Etat sont très complexes à réaliser.

Par ailleurs, les copropriétés peinent à obtenir des conseils objectifs, dans la mesure où les fournisseurs d’énergie et les exploitants de chauffage n’ont pas intérêt à diminuer les charges énergétiques…

C’est pour en finir avec cette situation que Captain’Conso accompagne les copropriétés pour les aider à diminuer leurs consommations d’énergie sans avoir besoin de réduire le confort habituel des occupants… et surtout sans surcoût de mise en œuvre !

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Maîtriser le budget énergie tout en offrant le même confort, c’est possible !

Améliorer la performance énergétique, c’est mettre en place un cercle vertueux qui profite à tous puisque les copropriétés profitent :

  • d’un budget stable, qui est donc plus facile à anticiper ;
  • de belles sources d’économies : 15 à 20% en moyenne ;
  • d’une accélération de la transition écologique des bâtiments.

Paul Chaussivert, le fondateur de Captain’Conso, souligne :

La consommation d’énergie des bâtiments représente plus de 40% des consommations Françaises, ce qui en fait le plus gros poste. Mais les copros qui veulent se lancer seules dans le développement durable déchantent vite car le domaine de l’énergie se complexifie de jour en jour. Sur les factures d’électricité par exemple, il y a un grand nombre de lignes que plus personne ne comprend…

C’est à ce niveau là qu’intervient Captain’Conso : la société lyonnaise apporte son expertise pour faire baisser le budget consacré aux dépenses énergétiques.

Comment ça marche ?

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1) Analyse des charges énergétiques

Captain’Conso effectue d’abord un audit complet de la problématique :

  • Analyse des contrats : achat d’énergie, maintenance de la chaufferie ;
  • Analyse des factures d’énergie : électricité, réseau de chaleur, gaz, etc ;
  • Visite sur site : relevés techniques des installations, analyse du confort nécessaire pour les occupants.

2) Proposition détaillée et chiffrée d’axes d’optimisation

  • Achat d’énergie : renégociation avec le prestataire actuel pour optimiser le contrat ;
  • Contrat de maintenance : engagement du prestataire à effectuer des économies d’énergie ;
  • Suivi quotidien : information régulière sur les consommations et coûts réels pour éviter toute dérive ;
  • Travaux : identification des travaux les plus pertinents, proposition de prestataires et réalisation des dossiers d’aides.

3) Mise en œuvre des actions 

Après validation par le conseil syndical, qui reste libre de choisir les actions qu’il souhaite réaliser, Captain’Conso se charge de les mettre en œuvre.

Une solution sans surcoût pour la copro

Pourquoi faudrait-il investir lourdement pour espérer faire plus tard des économies ?

Ambassadeur du développement durable, Captain’Conso a développé un business model innovant et fédérateur :

  • l’état des lieux de la copropriété est gratuit et sans engagement ;
  • la rémunération de Captain’Conso s’effectue exclusivement sur les économies réalisées durant les 2 premières années : les charges ne peuvent donc que se réduire. De plus, pendant ce temps, l’accompagnement se poursuit sans frais supplémentaires.

Il n’y a donc aucun surcoût pour la copropriété et l’investissement en temps pour le gestionnaire est dérisoire.

Les (grands) petits plus de Captain’Conso

L’indépendance

Parce qu’il ne vend pas d’énergie, Captain’Conso garde son objectivité pour faire des propositions réellement adaptées à la situation de chaque copropriété. Et au vu de son mode de rémunération, son seul intérêt est de proposer le meilleur service pour diminuer la facture énergétique.

La proximité

Captain’Conso se déplace toujours sur site et prend le temps d’échanger avec les copropriétaires pour bien comprendre leurs problématiques et les spécificités de leur bâtiment.

Le confort garanti

Le développement durable et les économies qu’il génère sont parfaitement sans conséquences sur le confort des occupants.

À propos de Paul Chaussivert, le fondateur

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Paul Chaussivert est Ingénieur (INSA Lyon). Durant cette formation de 5 ans, il se spécialise durant 3 ans dans le domaine de l’énergie et de l’environnement.

Il exerce ensuite en tant que responsable de la gestion des contrats de performance énergétique d’une PME lyonnaise durant trois ans. Sa mission consiste à optimiser les chaufferies d’immeubles d’habitations ou de bureaux afin de diminuer leurs consommations de chauffage et de climatisation.

Il doit donc gérer l’achat d’énergie, la gestion du site et le suivi de travaux d’amélioration énergétique du bâtiment.

Paul a l’idée de Captain’Conso à partir d’un constat “du terrain”. En effet, alors qu’il identifie comment optimiser rapidement le budget énergétique d’un bâtiment, la société qui l’emploie peine à convaincre les habitants de se lancer.

En effet, le message était brouillé : d’un côté l’entreprise vend de l’énergie et de l’autre elle s’engage à diminuer les consommations.

Il confirme :

Soucieux de l’environnement, je me suis alors aperçu qu’il manque souvent un tiers de confiance capable de faire le lien entre les occupants des bâtiments et les professionnels de l’énergie. Or c’est seulement à travers un travail conjoint entre les différents acteurs qu’un développement durable est envisageable.

Il fonde alors Captain’Conso en janvier 2020, après avoir peaufiné son projet durant deux ans.

Aujourd’hui, grâce à une totale indépendance, Captain’Conso est en mesure de préconiser les meilleures optimisations et de suivre leur mise en œuvre en toute objectivité.

Les innovations à venir

Très dynamique, avec l’ambition de devenir le référent énergétique des copropriétés, Captain’Conso travaille déjà sur plusieurs leviers de développement :

Un suivi à distance des consommations d’énergie

Parce que la transition écologique est devenue une priorité nationale, européenne et même internationale, l’évolution vers des copropriétés durables est inéluctable. Les actions à mettre en place sont pour l’instant encouragées et aidées par l’Etat mais, par la suite, elles vont certainement devenir obligatoires.

Pour apporter un véritable conseil dans la durée, Captain’ Conso va proposer prochainement aux occupants une information simple et compréhensible de tous. Cela permettra de mieux connaître l’utilisation des bâtiments, d’affiner la pertinence des conseils donnés et de s’assurer que les économies annoncées sont effectives.

Une intervention sur les bâtiments situés en montagne

Dans les stations de ski et dans tous les bâtiments utilisés pour la location saisonnière, il y a un gros potentiel d’économies énergétiques. Ce constat, Captain’Conso l’a fait durant une prestation réalisée dernièrement sur une quinzaine de bâtiments en montagne. La société lyonnaise compte donc renforcer sa présence sur ces zones d’ici la fin 2021.

Un accompagnement sur les parties privatives

À terme, quand les parties collectives seront optimisées, Captain’Conso poursuivra son accompagnement à l’échelle de l’occupant (et non plus seulement du bâtiment). Le but : donner le pouvoir d’agir aux habitants en les aidant à maîtriser leurs dépenses énergétiques.

La création de nouvelles agences

À terme, après Lyon et la région lyonnaise, Captain’Conso envisage d’ouvrir de nouvelles agences dans d’autres grandes villes.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.captainconso.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/AppCaptainConso/

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/captainconso/

L’Université d’été de l’Economie de la Fonctionnalité et de la Coopération se déroulera les 22 et 23 septembre 2020

La crise économique et sanitaire que nous traversons actuellement a fait voler en éclat tous les vieux schémas qui rythmaient nos vies.

Car il y aura bien un avant et un après Covid-19 ! Aujourd’hui, il n’est plus possible de poursuivre l’incohérence de nos modes de consommation, notre relation au travail, et même notre mode de gouvernance démocratique.

Des particuliers jusqu’aux acteurs économiques et sociaux, nombreux sont ceux qui réclament désormais des changements concrets pour agir autrement. Car tout est lié : à l’heure de l’urgence climatique, pour opérer l’indispensable transition écologique, il faut aussi mettre en place une économie différente, inclusive et changer notre rapport au travail.

Dans cette conjoncture difficile, l’IEEFC (Institut Européen de l’Economie de la Fonctionnalité et de la Coopération) apparaît comme un outil précieux au service des acteurs économiques et des territoires pour les aider à penser différemment le monde de demain.

Durant son Université d’été, qui se déroulera les 22 et 23 septembre prochains à Nancy, l’IEEFC présentera les solutions pragmatiques aux crises actuelles apportées par la mise en place de L’Economie de la Fonctionnalité et de la Coopération.

Un événement, co-organisé par l’IEEFC et le Club EFC Grand Est porté par Initiative Durables, à ne pas manquer pour avancer vers une transition économique réussie !

 

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Retenez la date : les 22 et 23 septembre à Nancy, des réponses concrètes à la crise économique et sanitaire

L’Economie de la Fonctionnalité et de la Coopération (EFC) est un modèle qui apporte des solutions efficientes :

  • Résilience du modèle d’affaire des entreprises,
  • Localisation des emplois sur le territoire,
  • Un support à la réduction de la demande en énergie et matière

Pour le monde politique, économique et sociétal, il s’agit donc d’un puissant levier à actionner pour aller vers un “monde d’après” à la hauteur des enjeux.

Pour sa cinquième édition, organisée cette année en partenariat avec le Club EFC Grand Est (porté par Initiatives Durables), l’Université d’été prend plus d’ampleur et plus de pertinence. Elle propose ainsi sur une journée et demie des interventions riches en contenu, ainsi que des temps de convivialité pour favoriser les échanges entre les participants.

Et cette année encore, deux parcours sont mis en place : un parcours Découverte et un parcours Approfondissement, enrichis cette année de tables rondes aux sphères fonctionnelles.

Philippe Guinaud, le secrétaire général de l’Institut, souligne :

Durant cette université d’été 2020, les acteurs économiques privés, publics et semi-publics, vont trouver des trajectoires pertinentes pour mettre en place un modèle alternatif au modèle de consommation industriel.

L’EFC a d’ailleurs fait ses preuves puisque des centaines d’entreprises (grandes et petites), d’organisations et de collectivités territoriales l’ont déjà adopté.

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Un programme riche en contenu pour une approche à 360° de l’EFC

L’Université d’été, qui s’est imposée d’année en année comme une référence, est l’opportunité de trouver de belles sources d’inspiration, des réponses concrètes à toutes les interrogations, et d’échanger dans une ambiance conviviale avec d’autres acteurs de l’EFC.

Des acteurs publics, parapublics et privés engagés dans une démarche relevant de l’EFC et provenant de tous horizons seront présents : organisations, entreprises de toutes tailles, collectivités territoriales, consultants, chercheurs et toute personne intéressée par la transition écologique, économique et sociétale.

Mardi 22 septembre

  • Accueil des participants
  • Mot d’accueil par Christian du Tertre, Président de l’IEEFC
  • Crise sanitaire et économique, la réponse de l’EFC : Comment l’EFC peut répondre à la crise actuelle ?
  • Plénière d’ouverture
  • Pause et rencontres
  • Approfondir : EFC et commande publique – La commande publique : quel lien avec l’EFC ?
  • Sphère fonctionnelle : Coopérer pour une relation gagnant-gagnant ! – La coopération avec le bénéficiaire : exemple de l’usage énergétique en industrie dans l’habitat
  • Découvrir : Témoignages de dirigeants d’entreprise (retours d’expérience)
  • Pause et rencontres
  • Pause buffet : un moment de convivialité pour mieux se connaître, nouer des contacts

Mercredi 23 septembre

  • Accueil des participants
  • Sphère fonctionnelle : Alimentation et EFC
  • Approfondir : Repenser le financement de son modèle EFC – Comment financier son modèle EFC ?
  • Découvrir : le jeu de l’EFC – Comprendre les mécanismes de l’EFC de façon ludique
  • Pause et rencontres
  • Temps d’échanges au village EFC
  • Pause buffet : une pause déjeuner pour discuter, se rencontrer, mieux se connaître
  • Approfondir : Faire émerger une dynamique économie de la fonctionnalité sur son territoire
  • Sphère fonctionnelle : Mobilité et EFC, valorisez votre entreprise
  • Découvrir : Dépense acceptable et effets utiles (cas concret)
  • Pause et rencontres
  • Plénière de clôture
  • Conclusion

Des intervenants issus du monde politique, économique et sociétal

Alexandre Ducrocq, Membre de l’Agora du Ternois

Alice Longuepe, Banquière itinérante à la NEF

Bastien Sibille, Président de Mobicoop

Brigitte Pasquelin, Intervenante-chercheure chez ATEMIS

Christian Du Tertre, Président de l’Institut Européen de l’Economie de la Fonctionnalité et de la Coopération

Claire Perrier, Intervenante-chercheure, associée chez ATEMIS

Claire Pinet, Référente Economie de la fonctionnalité au siège de l’ADEME

Damien Carême, Député européen

Dominique Hays, Directeur de projet à l’Ecopôle alimentaire d’Audruicq et fondateur du réseau Cocagne

Emmanuel Mossay, Professeur d’économie à l’Université Catholique de Louvain

Emmanuelle Champaud, Co-fondatrice et présidente de TOTEM mobi

Etienne Barilley, Directeur de KALLIOPÊ

James Pédron, Responsable de projets au CIRIDD

Massimo De Santis, Président de Free Pack Net Holding Sagl

Mohamed El Manani, Co-fondateur de Gesnord

Olivier Jacquin, Sénateur de la Meurthe-et-Moselle

Patrice Vuidel, Consultant associé et gérant d’ATEMIS

Philippe Carles, Directeur de la société Isovation

Philippe Kunter, Directeur du Développement Durable de la Banque Publique d’Investissement

Réseau Cocagne

Romain Demissy, Intervenant-Chercheur associé chez ATEMIS

Sébastien Boucq, Animateur Interclubs IEEFC

Simon Ledez, Délégué général du Club Noé

Stanislas Nösperger, Ingénieur de recherche chez EDF & membre du Club EF-DD

L’EFC : la transition économique, c’est maintenant !

Véritable préalable à la transition écologique, la transition économique doit se préparer et s’amorcer dès à présent via la mise en place de l’Economie de la Fonctionnalité et de la Coopération.

Ce modèle innovant repose sur 6 piliers fondamentaux :

  1. Passer de la vente d’un bien/service à la contractualisation d’une performance d’usage
  2. Développer de nouvelles sphères fonctionnelles : ces ensembles cohérents d’activités proposent des solutions dans les domaines de l’habitat, de la santé, du bien-être, de la connaissance, de l’alimentation, de la mobilité des biens et des personnes…
  3. Développer des ressources immatérielles : la confiance, la pertinence, la compétence et la santé
  4. Prendre en charge les externalités (effets positifs et négatifs non voulus et non marchands)
  5. Développer une organisation réflexive pour prendre en compte les demandes, les situations et les dysfonctionnements révélés par toutes les parties prenantes
  6. Prendre en compte les enjeux et les besoins du territoire afin de dynamiser la création de services

Pour promouvoir l’EFC, l’Institut agit à différents niveaux en organisant des ateliers, des clubs territoriaux, le réseau EntreprisesEFC, un réseau d’accompagnateurs, et un réseau de recherches.

L’IEEFC en quelques chiffres-clés

9 ateliers permanents

8 clubs territoriaux

80 accompagnateurs

20 animateurs

10 chargés de mission

350 entreprises

Il représente ainsi plus de 2 500 salariés et plus de 10 000 clients, ayant ainsi un réel impact sur le tissu économique.

A propos de Christian du Tertre, le Président de l’Institut

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Le Président de l’Institut est Christian du Tertre. Il est professeur émérite en économie à l’Université Paris-Diderot. Il est membre du Conseil Scientifique de l’ADEME. Christian est l’un des concepteurs du modèle économique de l’Economie de la Fonctionnalité et de la Coopération (EFC).

Il est accompagné dans l’exercice de ses missions au sein de l’IEEFC par :

Philippe Guinaud, le secrétaire général

Titulaire d’un Master2 en administration des entreprises et d’un Master2 en Développement Durable appliqué aux Organisations délivrés par l’Université Paris-Dauphine, Philippe Guinaud a auparavant exercé en tant que Responsable de la stratégie marketing dans un grand groupe américain qui fournissait des solutions d’externalisation de la paie et de l’administration du personnel.

Il a suivi l’aventure de l’Institut depuis ses débuts et a pris son poste en juin 2017.

Pour en savoir plus

Site web de l’Université d’été : https://events.ieefc.eu/

Site web IEEFC : https://www.ieefc.eu/