Savez-vous qu’un communiqué de presse peut intéresser les journalistes…et n’aboutir pourtant à aucune retombée médiatique ? En fait, par méconnaissance de leur métier, vous pouvez passer à côté d’une étape essentielle : les relances.
Même si vous avez envoyé un contenu passionnant, pile au bon moment, les journalistes peuvent l’oublier pour diverses raisons : une actualité brûlante à traiter, des journées trop chargées, une grande quantité de communiqués reçue… Dans ce cas, vous recevez un premier courriel qui témoigne de leur intérêt et puis plus rien. Alors si vous n’avez pas prévu de relance, votre information finit tout simplement reléguée aux oubliettes.
C’est pour cela que nous prévoyons 2 relances par e-mail pour chacune des campagnes que nous gérons. Mais est-ce réellement suffisant ? Pourquoi est-il pertinent de prévoir plutôt des relances téléphoniques ? Et est-ce réellement indispensable ?
Pourquoi est-ce pertinent ?
Tous les commerciaux le savent : à partir du moment où vous avez un contact direct avec un prospect, il est beaucoup plus facile de le transformer en client.
Avec les journalistes, la logique est la même : les résultats sont démultipliés lorsque nous pouvons échanger avec eux directement au téléphone. Un échange de vive voix, cordial mais toujours professionnel, est un puissant levier pour obtenir une action immédiate (ex : une demande d’interview, une prise de rendez-vous…) aboutissant à la publication d’un article.
Les bénéfices d’une relance téléphonique sont aussi perceptibles sur le long terme. En effet, chaque appel va permettre :
- de créer et de développer un bon relationnel avec les journalistes, notamment en vue des prochaines campagnes ;
- d’avoir un précieux retour qualitatif sur le communiqué de presse qui a été envoyé : intérêt, pertinence de l’information et/ou du concept, éventuelles questions… Nous pouvons donc en profiter pour éveiller davantage la curiosité des journalistes et leur donner envie de vous contacter.
Tout l’intérêt de relancer les journalistes par téléphone est donc de convertir les contacts obtenus en résultats et parutions.
Pourquoi n’est-ce pas indispensable ?
Nous réussissons à avoir d’excellents résultats sans relancer les journalistes par téléphone. Certains de nos clients ont bénéficié par exemple de reportages au JT de 20h sur TF1 ou d’articles dans des supports à très forte audience comme le journal Le Monde. Il arrive d’ailleurs qu’il n’y ait même pas besoin d’envoyer une relance par email pour obtenir de belles publications.
Tout va dépendre de l’angle choisi, de l’accroche…et de l’écho que l’information diffusée va produire sur le journaliste qui la reçoit. Il ne faut pas oublier que si vous êtes en demande de retombées médiatiques, eux sont aussi en recherche continue d’informations susceptibles d’intéresser leur audience.
C’est pour cela que nous ciblons les médias en amont et que nous envoyons chaque communiqué à une moyenne de 2000 contacts (journalistes, blogueurs et influenceurs). Nous vous garantissons d’ailleurs des résultats contractuellement.
Faut-il ou non choisir les relances téléphoniques ?
Tout dépend de votre objectif et de votre degré de certitude concernant l’impact que votre campagne va avoir sur les journalistes.
En cas de doute, ou pour avoir l’assurance d’obtenir un maximum de retombées (actualité importante pour votre entreprise), il est préférable de prendre l’option relances téléphoniques. Vous allez ainsi jouer la carte de la sécurité car le taux de conversion est nettement supérieur à l’e-mail.
Les relances téléphoniques sont aussi à conseiller si vous voulez développer des relations presse dans la durée.
Dans tous les cas, le budget supplémentaire à prévoir (~200€ HT par campagne) n’est pas à considérer comme une dépense mais plutôt comme un investissement utile : il est vraiment dérisoire par rapport à ce qu’il peut vous rapporter.
En effet, nous étudions vos statistiques d’ouvertures pour cibler les journalistes qui ont ouvert récemment votre communiqué de presse à plusieurs reprises. Ils seront ainsi plus enclins à publier votre information.
Concrètement, d’après notre expérience, cela représente en moyenne une trentaine de personnes, toutes travaillant pour de grands médias. Nous disposons en outre de toutes les informations pour les contacter individuellement et nominativement. Chaque échange est personnalisé car, au fil du temps, nous avons appris à les connaître et à identifier leurs besoins.
Et si vous ne savez toujours pas si cette option est intéressante pour vous, n’hésitez pas à nous contacter ! Nous pourrons en parler ensemble, par exemple lors d’un test gratuit de 10 jours qui inclut une formation aux relations presse, un entretien par téléphone et un projet personnalisé de communication.