Lancement de Kerbi, la marque de crème solaire bretonne qui préserve les océans

Chaque année, 25 000 tonnes de produits solaires se retrouvent dans les océans, et les filtres solaires chimiques utilisés dans ces cosmétiques impactent négativement la flore et la faune marine. Les victimes de cette pollution, ce sont les coraux, des écosystèmes indispensables à la vie marine : ils abritent 25 % des espèces marines de la planète et absorbent l’énergie des vagues, réduisant ainsi l’érosion des côtes. En parallèle, les déchets plastiques causent la mort de millions d’animaux : En 2050, il y aura plus de plastique que de poissons dans les océans.

C’est en ayant ces données en tête que Lucille et Allan ont lancé Kerbi. L’objectif ? Proposer des produits solaires plus respectueux, qui peuvent réellement répondre aux besoins actuels des consommateurs. Sans filtre chimique, sans nanoparticule et éco-conçus, ces produits ont été créés pour protéger la peau tout en préservant les océans.

Des produits solaires écoresponsables qui protègent la peau… et l’océan !

Lancée en avril 2021, Kerbi a été créée par deux jeunes entrepreneurs amoureux des océans. Les produits de Kerbi sont naturels, de la composition à l’emballage.

Ils sont conçus à base de filtres minéraux et sans perturbateur endocrinien pour garantir une protection optimale des utilisateurs tout en ayant un impact minimal sur les océans. Les nanoparticules, souvent présentes dans les filtres minéraux, ont été écartées de la conception des produits Kerbi. C’est une mesure de précaution, car on ne connait pas encore leur impact réel sur la santé humaine.

Après des mois de recherche, Kerbi a développé deux produits : un stick solaire et une crème solaire, tous les deux vegan, résistants à l’eau, et fabriqués en France.

Focus sur la gamme ensoleillée de Kerbi

La crème solaire SPF 50

Naturelle, minérale et sans nanoparticule, la crème solaire Kerbi convient à tous les types de peau, même à celle des enfants, à partir de 3 ans. Enrichie, entre autres, d’aloe vera bio, elle protège le visage et le corps contre les rayons UVA et UVB. Sa texture est agréable et non collante, et a l’avantage, par rapport aux autres crèmes solaires minérales, de réduire l’effet trace blanche sur les peaux claires.

Contenance : 75 ml. Note de 83/100 sur Yuka (application qui attribue des notes aux produits alimentaires et cosmétiques en fonction de leur impact sur la santé)

Prix conseillé : 20 euros

Le stick solaire SPF 50+

Ce stick a été conçu pour protéger les zones sensibles comme le visage, les lèvres, les tatouages et les cicatrices. Il permet une application sans toucher le produit avec les doigts. Pratique et ludique, il n’est pas rêche à l’application et convient aux enfants. Il est waterproof, tient en place même pendant les conditions les plus extrêmes de chaleur et ne coule pas dans les yeux, ce qui en fait le parfait allié pour les activités de glisse. Il est composé, notamment, d’huile de coco bio et d’huile de ricin bio.

Contenance : 20 g Note de 90/100 sur Yuka

Prix conseillé : 17 euros

Les engagements de Kerbi

Une composition de qualité. L’utilisation de filtres minéraux sans nanoparticule ni substances controversées pour allier protection contre les rayons ultraviolets et préservation des océans.
Des produits bio et végan. Kerbi utilise des ingrédients d’origine biologique et naturelle. Les crèmes et sticks sont végan et non testés sur les animaux, conformément à la réglementation Européenne.
Des emballages éco-conçus. Kerbi se démarque de la concurrence en poussant l’écoresponsabilité jusqu’aux emballages, qui ont été pensés pour limiter l’utilisation de matières plastiques issues de la pétrochimie. L’emballage de la crème solaire est en plastique végétal fabriqué à partir de canne à sucre, ce qui permet une réduction des émissions de CO2 de 75 %. Le stick solaire est quant à lui conditionné dans un emballage entièrement fait de carton, une première en France dans le domaine des produits solaires. Les produits ne sont pas conditionnés dans des étuis secondaires.
Une fabrication 100 % française. La recherche, le développement et la fabrication de la gamme Kerbi ont lieu en France, dans leur laboratoire partenaire spécialisé dans les protections solaires minérales. Pour la marque, c’est à la fois une façon de minimiser son empreinte carbone et de valoriser le savoir-faire et l’emploi français.

Projets de développement

Les co-fondateurs de Kerbi fourmillent d’idées pour développer leur marque. Ils comptent élargir leur gamme dans les années à venir, en incorporant des actifs à connotation bretonne et en concevant des emballages encore plus écoresponsables.

Ils souhaitent également continuer à œuvrer pour la préservation des océans en sensibilisant le grand public. Ils se sont récemment associés à l’association Blutopia, un média positif et à but non-lucratif qui centralise les vraies solutions pour donner le pouvoir d’agir aux citoyens, pour protéger les océans.

À terme, Lucille et Allan aimeraient que Kerbi devienne une marque de référence dans l’Ouest de la France, la Bretagne étant l’une des régions les plus touchées par les cancers de la peau en France.

Portraits de Lucille et Allan, les fondateurs de Kerbi

Lucille et Allan sont deux jeunes bretons âgés de 24 ans et originaires de Vannes, dans le Morbihan. Après avoir terminé leurs études en juillet 2020, ils ont souhaité contribuer au monde de demain à leur manière, en créant une marque à impact positif qui contribue à la préservation des océans.

Lucille, co-fondatrice : Globe-trotteuse dans l’âme, Lucille a pris conscience de la fragilité de la barrière de corail et de la nécessité de préserver les récifs coralliens de la planète il y a six ans, lorsqu’elle est partie découvrir l’Australie. Émerveillée à chaque instant par le monde, elle ne conçoit pas que de tels patrimoines puissent disparaitre.

Allan, co-fondateur : Allan a hérité sa passion de l’océan de ses parents, avec qui il traverse l’Atlantique à l’âge de deux ans. Après cette expérience, il ne s’est jamais beaucoup éloigné de la mer. Amoureux de la côte bretonne, il a beaucoup pratiqué la voile et la planche à voile dans le Morbihan. C’est sa passion pour les océans qui l’a poussé à agir et contribuer à son échelle à la préservation des écosystèmes marins.