” Ma Résilience – Mes combats contre la maladie” est un récit autobiographique inspirant et inspiré. Alice Gros ose aborder, sans fards ni artifices, ses longues années de combat contre le cancer. D’abord en tant que malade, puis en tant qu’accompagnante, suite au cancer de sa grand-mère.
Atteinte d’une leucémie à l’âge de 13 ans, Alice Gros va se battre : seule, avec sa famille, ses proches, ses médecins, ses cheveux, sa musique, ses copains, son cathéter…
Aujourd’hui Alice est guérie et elle témoigne, pour elle, comme pour passer à autre chose, mais aussi pour celles et ceux qui se battent.
Bouleversant et sans tabou le témoignage d’Alice est, au-delà des douleurs et des souffrances, un formidable message de vie et d’espoir.
Christine Janin
Mettre des mots sur le quotidien de ces luttes invisibles
Dans son livre, Alice Gros ne philosophe pas sur son vécu. Non, elle raconte, elle nous parle du passé, nous parle d’elle aujourd’hui avec son style bien à elle : percutant, fort, énergique. Seule, elle soulève des montagnes pour nous livrer son témoignage, SA Résilience, en toute simplicité.
Ce n’est pas pour autant un journal intime mais bien un journal de vie.
Des mots purs, justes, vrais, sans pathos, elle raconte et insuffle quand on la lit, une dose d’adrénaline pour nous aider à comprendre les longues routes empruntées jusqu’à la guérison. Souffrance, émotion, humour, perte d’un être cher, connivence, ressenti, Ma Résilience, c’est cela et bien plus encore.
C’est pour cela que son récit fait écho à la réalité que vivent au quotidien de nombreux malades et accompagnants.
Tous y puiseront de la force, une énergie incroyable et des leçons de vie qui vont aider tous ceux qui traversent ce type d’épreuves. Mais pas seulement ! Ce livre est à mettre entre toutes les mains car il contribue aussi à changer le regard porté sur la maladie. Il parle d’ailleurs de toutes ces personnes dont on ne parle pas assez : les survivant.e.s du cancer.
Je suis une combattante, malgré moi, et maintenant je vis parmi vous, comme si de rien n’était.
Alice Gros
Une préface écrite par Christine Janin
Christine Janin a écrit la préface de Ma Résilience – Mes combats contre la maladie d’Alice Gros dont voici un extrait: « Bouleversant et sans tabou le témoignage d’Alice est, au-delà des douleurs et des souffrances, un formidable message de vie et d’espoir. Ses mots sont percutants, sans pudeur, bluffant de vérité, de générosité aussi. »
Médecin et alpiniste, Christiane Janin est la première Française à avoir atteint le toit du monde, l’Everest, le 5 octobre 1990. Elle est aussi la première femme au monde à avoir atteint le pôle Nord sans moyens mécaniques ni chiens de traîneaux, le 4 mai 1997.
Christiane Janin est la fondatrice de l’association A Chacun son Everest, qui a permis à Alice de passer une semaine à Chamonix avec d’autres enfants malades et l’a donc aidée à se sentir moins seule.
Synopsis
Je m’appelle Alice, j’ai 31 ans.
Ma résilience est mon témoignage sur le cancer que j’ai eu à l’adolescence (point de vue du malade) et sur le cancer de ma grand-mère (point de vue d’accompagnant).
Je l’écris pour moi mais aussi pour tous ceux qui passent par-là et pour véhiculer le message que ces deux épreuves distinctes ne m’empêcheront jamais d’avancer ni d’être heureuse dans ma vie.
J’ai choisi d’aborder différents thèmes sous forme de chapitre, de décrire mon ressenti, de décrire ce que j’ai appris à travers ces combats, et de décrire l’adulte que je suis devenue avec mes cicatrices d’enfant.
Une image du concept de la résilience est un vase brisé mais recollé avec de l’or pour le rendre encore plus solide ; alors je vous présente ici la mienne en couverture.
Témoignages
Dr Benoît Brethon, pédiatre spécialisé en hématologie et immunologie pédiatrique à l’Hôpital Robert Debré :
“En tant que médecin référent d’Alice à l’hôpital Saint Louis, c’est moi qui lui ait annoncé sa maladie. Aujourd’hui, à la lecture de son livre, j’ai l’impression qu’Alice n’a pas tout à fait compris ce qui lui arrivait lors de cette annonce initiale. A l’époque, nous ne parlions pas véritablement de cancer aux enfants, nous avions peur de les brusquer.
Aujourd’hui j’ai fait évoluer ma pratique : je m’adresse aux parents avec une infirmière d’annonce et un jeune professionnel de santé. Nous prenons le temps – trois séances d’une heure, environ – pour que les parents assimilent mieux la nouvelle. Je me rends au lit de l’enfant ensuite, si possible sans ses parents (mais avec leur accord) afin de lui donner la possibilité de s’exprimer sans frein.
Si le patient est adolescent, il est convié d’emblée à la consultation d’annonce en même temps que ses parents. L’objectif est de l’associer pleinement au traitement car une bonne observance est essentielle.”
Adrien Gros, frère d’Alice :
“Quand Alice est tombée malade, j’avais 9 ans. Mon frère et moi, nous avons été très protégés de ce qu’elle traversait et je n’ai pas le souvenir d’avoir eu peur que ma sœur puisse mourir. Quand nous allions lui rendre visite à l’hôpital, c’était un peu impressionnant mais nous échangions ensemble comme d’habitude.
La lecture de son texte m’a déculpabilisé du fait que je n’avais jamais eu peur pour elle et de me remémorer ce que nous avions vécu, et dont on parle finalement rarement en famille. J’ai aussi compris que la personnalité de ma sœur – très solaire, très positive et ouverte d’esprit – était très certainement liée à ce qu’elle avait eu à traverser très jeune.”
Extrait
“Lorsque je suis arrivée à l’hôpital, j’étais en pyjama vert couvert d’oursons, je pensais avoir perdu toute dignité !
Mais au final, qu’est-ce que c’est que la dignité ? Est-ce que la honte que l’on ressent ne vient pas de nous-même et de ce que l’on pense acceptable aux yeux des autres ?
J’ai vécu tellement de situations gênantes qu’aujourd’hui, je n’ai presque honte de rien. Je veux dire : toutes les situations cocasses dans lesquelles on se sent plutôt gêné me font rire, et je les prends avec dérision. On est tous des êtres humains, et j’ai, bien sûr, mes points faibles. Mais globalement, ce que j’ai traversé m’a aidé pour la vie de tous les jours, et mon rapport aux autres. J’ai appris à oublier les regards – du moins le plus souvent possible. Dans ma situation, il le fallait bien.
Le jour où j’ai compris que je devais faire abstraction du regard d’autrui, c’était au début de mon hospitalisation, le jour où j’ai dû passer une radio des poumons et ma première échographie cardiaque.
La radio, j’y suis allée en fauteuil roulant parce que je ne tenais pas debout. Et oui, le regard des gens était différent.
L’échographie, il a fallu que je la fasse dans un autre hôpital. On m’a emmenée en ambulance jusqu’à une salle d’attente remplie, et j’ai patienté sur un brancard, dans le couloir. Quand le médecin est sorti et m’a appelée, j’ai dû traverser cette salle d’attente avec un masque sur la bouche, en jogging et chaussons, avec seulement quelques cheveux sur le caillou. Et cette traversée m’a paru durer une éternité.
J’ai compris que les regards étaient là et me fixaient, mais qu’ils ne devaient pas impacter la personne que j’étais ni m’empêcher d’avancer.
On m’a aussi confondue avec un garçon lorsque j’avais le crâne rasé et 15 kg de plus ! Du coup, j’ai toujours cette retenue quand je sors dans la rue en jogging, parce que j’ai l’impression de faire mec ! Mais c’est pareil : petit à petit ; j’évolue ; et je fais des progrès !
Comme quoi toutes les expériences de notre vie construisent l’adulte que l’on devient.”
L’avis des lecteurs.trices
Voici un aperçu des premiers avis laissés par les lecteurs et les lectrices :
“Un témoignage poignant et émouvant sur un combat, porté par l’amour des proches et la joie de vivre, et surtout vaincu dans la plus grande humilité. Une véritable leçon de vie et d’espoir. Merci pour ce magnifique partage.”
“Un récit riche en émotions et poignant du début à la fin. Cette histoire hors du commun mais racontée avec une telle simplicité est une vraie démonstration de force. Quelles que soient les épreuves de la vie, Alice nous montre que rien n’est insurmontable. Un vrai regain de positivité !”
“Il me faut normalement beaucoup de temps pour lire un livre, celui ci je l’ai dévoré en une après-midi tellement il m’a accroché. Un parcours de vie inspirant qui nous rappelle à quel point la vie mérite qu’on se batte pour elle. Merci à Alice de nous transmettre son amour et sa positivité.”
“Une famille, où chacun a su se protéger et s’adapter. Ce que je retiens de toi Alice, femme forte et courageuse au cœur immense. Cherchant en toi, l’instinct de survie, et l’amour qui nous maintiens en vie. Merci.”
“Une histoire bouleversante empreinte des souvenirs de l’enfance et portée par l’amour de toute une famille. Une vraie leçon de vie, d’amour et d’optimiste ! Merci de partager avec nous ta philosophie et ta soif de vivre.”
“Un témoignage hors du commun et d’une sincérité bouleversante. Merci pour ce partage d’expérience qui aide à relativiser et surtout à prendre la vie du bon côté malgré les épreuves.”
A propos d’Alice Gros, la tête et les muscles
J’aime rencontrer du monde et partager ma fougue, il paraît que le bonheur est contagieux non ?
Alice Gros
Alice, 31 ans, vit à Paris depuis sa naissance.
Ingénieure dans le domaine médical, et passionnée de nutrition et de musculation, elle concilie ses deux activités au quotidien en plus de son métier. Elle s’est toujours intéressée à ces deux sujets, et elle y consacre beaucoup de temps suite à sa maladie.
Dès son plus jeune âge, Alice Gros a été atteinte d’un cancer, une leucémie qu’on lui a diagnostiqué à l’âge de 13 ans. Aujourd’hui, elle va bien. Guérie, en pleine forme et heureuse, elle est ressortie plus forte de ce long combat qui lui a aussi donné le goût de l’écriture.
Depuis qu’elle est tombée malade, Alice a en effet éprouvé le besoin d’écrire, surtout au début, tout ce qu’elle ressentait pour exprimer ses émotions. Après ces 15 années de suivi, cette envie viscérale a ressurgi, mais cette fois pour faire le bilan de ce parcours, tirer les enseignements de cette épreuve et parler de l’adulte qu’elle est devenue avec ses cicatrices d’enfant.
Alice a d’abord commencé à écrire sur Word. Elle a ensuite partagé son manuscrit avec sa famille pour ouvrir le dialogue sur le ressenti propre à chacun.e. Pour aller plus loin, elle a alors lancé une campagne de crowdfunding et travaillé avec un imprimeur pour éditer 200 exemplaires à distribuer à ses donateurs.
Suite à leurs très bons retours, elle a alors publié son livre “Ma Résilience – Mes combats contre la maladie”, qui est désormais disponible à la vente sur internet et en librairies.
Aujourd’hui, Alice souhaite faire connaître son livre et animer des conférences pour témoigner et présenter son chemin de résilience. En parallèle, elle s’engage auprès de plusieurs associations, dont celle créée par Stéphanie Fugain.
Solaire, Alice est convaincue que rien ne pourra jamais l’arrêter.
Elle souligne :
J’ai appris à vivre au jour le jour, de manière « légère », et à savoir faire face aux imprévus de l’existence. Il est rare que les petits tracas du quotidien me déstabilisent. J’aime pouvoir me lever le matin, c’est une chance et je profite de chaque journée avec le sourire, de l’enthousiasme et beaucoup d’optimisme.
Informations Pratiques
“Ma Résilience – Mes combats contre la maladie” d’Alice Gros
- Editeur : Librinova
- Pages : 97
- ISBN broché : 9791026244622 – ISBN numérique : 9791026244615
- Prix : 11,90€ (format broché) ou 2,99€ (format ebook)
- En vente dans toutes les librairies
Pour en savoir plus
Découvrir le livre : https://www.librinova.com/librairie/alice-gros/ma-resilience
L’interview d’Alice sur WeArePatients : https://wearepatients.com/cancer/cancer-alice-raconte-son-combat-au-travers-de-son-livre-ma-resilience/
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