Kab’inn : des mini-maisons pour voir plus grand et réduire son empreinte écologique

Après plus d’une année de pandémie, de nombreux Français ont envie de se recentrer sur l’essentiel, de passer du temps avec leurs proches et d’être plus libres. Les tiny houses, ou mini-maisons, répondent à leurs attentes : ces habitations modernes, minimalistes et écologiques, permettent d’avoir un pied-à-terre dans la nature, ou d’aménager un lieu de télétravail.

La start-up Kab’inn propose des mini-maisons en adéquation avec les envies de simplicité et d’évasion. Minimaliste, écologique et ouverte sur l’extérieur, sa tiny house Kab’inn Joy offre tout le confort nécessaire pour échapper à la frénésie du quotidien, profiter pleinement, se détendre, méditer et vivre.

Et pour ceux qui n’osent pas encore sauter le pas eux-mêmes, la tiny house constitue un excellent investissement locatif, pour permettre à d’autres de la découvrir.

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Kab’inn Joy : la mini-maison phare de Kab’inn

Kab’inn Joy est le premier modèle de Kab’inn. La mini-maison a pour particularité d’avoir un véritable design « d’architecte », moderne, original et innovant. Il est construit de plain-pied, alors que la plupart des tiny houses sont dotées de mezzanines peu fonctionnelles.

Mobile, la tiny house est dotée de nombreux rangements. Elle est chauffée par un poêle à bois et dispose d’une isolation thermique avec parois respirantes et membranes d’étanchéité. La salle de bain est équipée d’une grande douche et de toilettes sèches. Des zones de détentes ont été aménagées, avec un bar, des bancs intérieur et extérieur, et un brasero en option.

En fonction des envies et des besoins de chacun, d’autres options sont disponibles pour personnaliser la tiny pour en faire un cocon unique.

La mini-maison possède de nombreuses ouvertures lumineuses, sur tous les angles, pour donner l’impression que l’on est « à l’extérieur ». « Les modèles traditionnels privilégient l’aspect fonctionnel au détriment du design, du confort ou de la luminosité. Nous avons ainsi travaillé longtemps pour améliorer ces points sans négliger l’aspect fonctionnel », explique Jonathan Guennoc, le fondateur de Kab’inn. Le design a d’ailleurs séduit les spécialistes des tiny houses et a remporté les prix d’architecture BIG SEE et German Dream House.

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Des maisons pour s’évader, pour habiter, pour voyager

Les tiny houses de Kab’inn peuvent avoir plusieurs usages. Elles peuvent faire office de pied-à-terre pour les citadins qui souhaitent passer leurs week-ends dans la nature. Installées dans un jardin, elles deviennent une dépendance ou un bureau.

Elles peuvent également évidemment constituer une habitation principale pour des personnes seules ou en couple sans enfant. Enfin, elles s’adressent aux professionnels du tourisme à la recherche d’hébergements plus innovants et écologiques.

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Un investissement locatif original, rentable et plein d’avenir

Pour ceux qui n’oseraient pas encore sauter le pas de vivre dans une tiny house, cette dernière possède un atout particulièrement intéressant : elle peut être un investissement locatif vite rentabiliser !

“Nous avons de plus en plus de demandes de particuliers qui souhaitent investir dans un bien en gestion locative, qui cherchent un investissement original, écologique, avec un besoin en fonds limité par rapport à un appartement ou une maison, et dont le rendement est intéressant.”

Concrètement, la tiny house convient à la fois à la location de courte durée pour des clients qui souhaitent prendre l’air quelques jours, avec des nuitées aux environs de 150-200 euros en fonction de l’endroit où elle se trouve ; elle convient également à la location longue durée, pour les étudiants par exemple, dans un contexte de pénuries de logements dans les villes moyennes (prenez par exemple l’initiative du Ty Village à Saint-Brieuc qui connaît un succès depuis plusieurs années). Nombreux sont également les jeunes couples qui cherchent une location atypique, abordable, hors des centre-villes. Comptez un loyer entre 400 et 700 euros en fonction de la ville, faisant de la tiny house un bien rapidement rentabilisé.

Pour illustrer l’engouement et le potentiel de l’investissement locatif : “une intéressée a posté une annonce de location de tiny house en banlieue d’une ville moyenne dans le Sud de la France. En 24 heures elle a reçu près de 300 demandes !”

Vers un mode de vie plus responsable

Kab’inn n’est pas seulement un constructeur de mini-maisons : à travers ses tiny houses, la start-up souhaite promouvoir un mode de vie minimaliste qui s’applique dans tous les aspects du quotidien. On estime ainsi que vivre dans une tiny house permet de réduire l’empreinte écologique d’un ménage jusqu’à 45 %.

« Vivre dans une mini-maison est un moyen de vivre de manière plus sobre et plus responsable », souligne le cofondateur de Kab’inn.

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Des tarifs abordables

Le fondateur de Kab’inn est un citoyen européen dans l’âme, et expatrié depuis 10 ans en Bulgarie. Il a donc décidé d’aménager les ateliers de la start-up à Sofia. Kab’inn concilie ainsi l’exigence de la qualité française et un coût de main-d’œuvre moins élevé, ce qui lui permet de proposer des prix abordables.

Il faut ainsi compter 50 000 euros pour une Kab’inn livrée clés en main sur les lieux d’installation, contre de 65 à 70 000 euros pour un modèle équivalent chez ses concurrents.

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Plus que des maisons, un service précieux : l’accompagnement dans les démarches d’installation

Kab’inn accompagne gratuitement ses clients dans leurs démarches de demande d’autorisation d’aménagement auprès des services d’urbanisme.

« Beaucoup de constructeurs n’apportent aucune aide ni expertise, mais pour nous, accompagner les clients est une évidence : l’installation n’est pas toujours  facile et demande de bien connaître les règles d’urbanisme », explique Jonathan Guennoc.

« Pour l’anecdote, une de nos premières clientes a choisi Kab’inn car tous les autres constructeurs lui ont dit qu’il serait impossible d’installer une mini-maison sur le terrain qu’elle avait acheté pour ce projet, qui avait le statut « zone naturelle ». Ensemble, nous avons préparé et présenté un dossier qui a débouché sur une autorisation de la mairie », poursuit-il.

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La petite histoire de Kab’inn

À 23 ans, après des études en école de commerce, Jonathan Guennoc quitte la Bretagne et la France pour une opportunité de carrière en Bulgarie, où il travaille dans une grande banque française. Ambitieux, il veut monter les échelons rapidement, et l’expatriation lui offre de belles opportunités.

On lui confie de plus en plus de responsabilités et, à  25 ans, il gère une équipe de près de 30 personnes. Jonathan met toute son énergie dans sa carrière, jusqu’à ce que, à l’âge de 30 ans, il se retrouve soudainement dans une perte de sens totale.

Fatigué et en « burn-out », il fait une pause d’un mois pour s’isoler dans un village du sud de l’Italie. Là-bas, il n’a rien à faire, juste se reposer, passer du temps avec lui-même, se reconnecter à l’essentiel, et faire du sport. « Des choses simples que l’on oublie vite quand on vit à mille à l’heure ! », souligne-t-il.

Le cliché du trentenaire qui change de vie s’applique parfaitement à Jonathan : il rentre à Sofia avec la décision de prendre davantage de recul, et avec l’envie de se construire une « cabine » en dehors de la ville pour retrouver ces sensations italiennes le week-end, après une semaine chargée.

Jonathan se lance alors dans la conception d’une tiny house innovante, moderne et ouverte au maximum sur la nature, avec Hristina Hristova, une architecte bulgare spécialisée dans l’aménagement de petits espaces.

Mais, au fur et à mesure que le projet progresse, il perd la motivation de se rendre chaque jour au bureau, et a de plus en plus soif de se lancer dans un projet entrepreneurial.

Jonathan rencontre alors Stéphanie Pretlot, une autre trentenaire qui a abandonné 15 ans de carrière dans des call centers en France pour faire un tour du monde en famille, avec son mari et leurs trois enfants.

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Jonathan fait part de son projet à Stéphanie, ainsi que de ses craintes : il a peur de prendre des risques et de renoncer à son confort, à son salaire et à sa carrière. Convaincue par le potentiel des tiny houses en Europe, Stéphanie l’encourage et le motive, et tous deux décident de s’associer pour créer Kab’inn en 2019.

Impactée par la crise du Covid-19, la start-up reprend désormais son développement avec des demandes de plus en plus nombreuses et plusieurs projets en cours de construction.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.kab-inn.com

Facebookhttps://www.facebook.com/kabinn.tiny.houses

Instagramhttps://www.instagram.com/kabinn_tiny_houses/

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