Quatre jeunes fervents catholiques vont faire main basse sur la relique ultime : la Sainte Face. Leur but est d’apporter la preuve irréfutable de l’existence du Christ et ainsi ramener les croyants dans les églises. Cette aventure pleine de rebondissements va questionner leurs convictions les plus profondes et mettre en lumière leurs contradictions.
Le roman “Ne perds pas la face” est un voyage au cœur des mouvements religieux radicaux et nationalistes qui traversent notre époque.
Simon Descotes, un auteur mystérieux qui a choisi un pseudonyme pour aborder ce sujet brûlant, montre comment les religions sont souvent instrumentalisées pour conquérir ou entretenir le pouvoir de quelques-uns. Elles ont pourtant façonné notre histoire en utilisant des symboles ou des allégories, parfois simplistes, derrière lesquels des légions entières de fanatiques continuent de s’affronter.
Un livre à mettre entre toutes les mains.
Les plus du livre
- Un style accessible à tous ;
- Une histoire à rebondissements qui tient en haleine de la première à la dernière page ;
- Un roman qui aborde une thématique d’actualité, et donne donc un autre éclairage sur le monde qui nous entoure.
Extrait
“Une semaine plus tard, le précieux linge était de retour à Compiègne. Gérard s’empressa de lui assigner la salle la plus tempérée de l’immense demeure. Il donna la consigne de le laisser dans le noir jusqu’à nouvel ordre. Quelques jours plus tard, le centre de datation rendit son verdict : le linge était vieux de 2 000 ans environ. Gérard exulta en apprenant la nouvelle. C’était une « bénédiction » pour le château, la ville et lui-même. Il s’attribuait une partie du mérite de la découverte car c’est lui qui avait ordonné la recherche initiale. Cerise sur le gâteau, l’équipe de Lucien avait pu confirmer la présence d’une source active dans le puits et l’avait remis en eau sur-le-champ, en dégageant tous les éboulis.
Avec l’autorisation du ministère et en présence du conservateur régional, Gérard donna une conférence de presse pour annoncer la nouvelle. Aucun média national ne reprit la nouvelle, ils demeuraient tous trop attachés à couvrir les premiers jours de la présidence d’Emmanuel Macron. Seuls trois journaux locaux et régionaux se firent écho de l’information.
Le diocèse de l’Oise tenta de récupérer le linge sacré, arguant le fait qu’il appartenait initialement à l’abbaye. Son placement dans la salle secrète du puits n’avait pour but que de le mettre à l’abri des révolutionnaires déchaînés. Le diocèse avait même saisi le juge en référé, mais il n’avait pas obtenu gain de cause.
Suivant les prescriptions des experts, il commanda une vitrine climatisée affichant le contrôle d’hygrométrie. En attendant sa livraison prévue fin septembre, il décida de le conserver sous clef, dans la salle qu’il lui avait octroyée, au deuxième étage du château dans l’aile droite, place Général De Gaulle. Il fit fermer les volets intérieurs par précaution, même si le linge se trouvait déjà à l’abri de la lumière dans sa valise.
Il fit équiper la pièce d’une caméra wifi, reliée au système central de surveillance du château. Il ne fallait prendre aucun risque.”
A propos de Simon Descotes
Qui se cache derrière le pseudonyme Simon Descotes ?
Tout ce que l’on peut dire est que cet auteur est né dans une famille modeste, fidèle aux traditions chrétiennes. Jeune homme, il se passionne pour le fait religieux, mais choisit finalement le monde séculier : celui des affaires.
Hermann Hesse et Jean-Jacques Rousseau sont ses références littéraires majeures.
« Ne perds pas la face » démontre la fragilité des convictions des combattants de Dieu. Cette aventure pleine de rebondissements nous emmène au cœur des mouvements religieux radicaux et nationalistes qui traversent notre époque.
Avec ce livre, je veux montrer comment le politique peut instrumentaliser la foi pour servir ses intérêts. Comment certains politiciens sont prêts à tout pour se maintenir au pouvoir.
Une passion pour l’écriture
Simon considère qu’écrire est comme partir en voyage.
C’est d’abord un vagabondage, une rêverie qui apporte le thème, le fil directeur du texte à venir ; c’est le projet de voyage. Puis, il faut préparer ses valises : entreprendre des recherches, lire, se documenter. Vient le moment du départ : écrire les premiers mots. Ils ont du mal à sortir, comme un train qui quitte le quai et prend doucement de la vitesse.
Ensuite les idées, les mots affluent comme autant de paysages qui défilent et s’enchainent, selon une logique qui se découvre à lui.
Souvent, je deviens lecteur de mes propres écrits ; des aventures inattendues qui donnent tout leur relief à ma pérégrination. Ma destination finale est rarement celle que j’avais imaginée au départ. J’adore voyager.
Informations Pratiques
“Ne perds pas la face” de Simon Descostes
- Editions Sydney Laurent
- ISBN : 979-10-326-4261-0
- Nombre de pages : 262
- Prix Broché : 18,90 € – Prix Ebook : 9,99 €
Pour en savoir plus
Dossier de presse : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20210601065003-p3-document-hmzf.pdf
Découvrir le livre : https://editions-sydney-laurent.fr/livre/ne-perds-pas-la-face/
Instagram : https://www.instagram.com/simon.descotes/
LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/simon-descotes-6284ba214/
Youtube : https://youtu.be/vSw5H6f6fhw