Aujourd’hui, de plus en plus de femmes se lancent dans l’entrepreneuriat, et parmi elles, des mamans : les mumpreneuses. Qu’est-ce qui les pousse à se lancer ? A quelles difficultés doivent-elles faire face ? Quelles sont les clés d’un mumpreneuriat épanoui ?
A travers son livre “Je suis mumpreneuse et je suis en vie !”, Stéphanie Araujo Loyer répond à toutes ces questions et bien plus encore, tout en donnant des éléments de sa propre expérience comme exemples.
Cet ouvrage est une véritable boîte à outils du mumpreneuriat. On y découvre tous les éléments que l’on doit prendre en compte, avant de se lancer, mais aussi pendant son activité ; tous les conseils pour vivre au mieux cette aventure ; tous les pièges à éviter.
C’est un véritable appel à la connaissance et au dépassement de soi.
A paraître le 17 novembre aux éditions Terre en Ciel.
Un choix de vie à faire en conscience
Exit les discours sans reliefs de la psychologie positive ou de la présentation lissée et édulcorée d’une réalité pas toujours rose bonbon.
La force de Stéphanie Araujo Loyer est son parler vrai : elle ne minimise pas les succès, elle ne nie pas les difficultés. C’est pour cela qu’elle se positionne plutôt du côté de la psychologie “intuitive”, qui passe par le ressenti de ce qui est juste pour chacun.
Elle embrasse ainsi totalement l’intensité du moment, sans hésiter à se confronter à tous ses propres paradoxes qui lui permettent de se sentir vivante chaque jour.
Stéphanie souligne :
Le mumpreneuriat ne doit pas être vu comme une obligation, un Eldorado ou une option par défaut. C’est un chemin avec des hauts parfois très hauts, et des bas qui peuvent aussi aller très bas… Pourtant, ce choix de vie est POSSIBLE et à la portée de toutes.
Vivre un mumpreneuriat épanoui en osant l’adapter à ses propres valeurs
“Je suis mumpreneuse et je suis en vie !” est une véritable bouffée d’oxygène et la preuve que, dans l’entrepreneuriat aussi, la sororité peut être de mise.
Car, pour Stéphanie, c’est une évidence : les femmes doivent se soutenir entre elles, être solidaires et se serrer les coudes pour sortir de la solitude face à leurs interrogations et leurs doutes.
Avec ce livre, elle témoigne avec authenticité de son propre parcours et donne des clés à toutes celles qui, comme elles, veulent se réaliser sur la voie du mumpreneuriat.
Sans oublier d’où elle vient, ni où elle veut aller, l’autrice lève le voile sur cette réalité qui peut être une formidable source d’accomplissement, à condition d’y inclure ses valeurs personnelles.
Le mumpreneuriat demande de montrer du courage, de la résilience, de la persévérance et parfois de la vélocité dans les décisions, ou “d’audacité”, comme j’aime à le dire. Mais il faut aussi accepter que cela puisse être facile ! Pendant des années, on nous a dit qu’il fallait que ce soit dur pour être mérité… ce qui est faux !
Sommaire
Avant-Propos
Lancement
- Une histoire de famille ?
- Le « bon moment »
- Mettre mon travail au service de ma vie
Les difficultés à surmonter
- La création de société
- Prospection
- Le regard des autres
- La solitude
- La double culpabilité de maman et d’entrepreneuse
- Les personnes toxiques
- Le syndrome de l’imposteur
- L’instabilité financière
- Le manque de réseau professionnel
- Le manque de visibilité
- Les modes de garde des enfants ou le casse-tête géant
- L’environnement
- Les remises en question, les peurs de l’échec, de la réussite
- La charge mentale, syndrome de Wonder Woman, risque de burn-out
Mes indispensables
- Cadre et liberté
- L’organisation
- Un moment pour faire et un moment pour être : de l’importance de bien se connaître
- Confiance
- Audace et zone de confort
Conclusion : les grands kiffs
Remerciements
Extrait
“On est souvent amené à se demander si c’est le « bon moment ». Quand est-ce que ce sera le bon moment de changer de job, de partir en vacances, de faire des enfants — surtout pour nous, les femmes, à qui cela crée un vrai questionnement sur la gestion du congé maternité —, le bon moment d’acheter un appartement, une maison, de faire une formation…?
Et s’il est relativement facile de noter sur papier quel serait le meilleur moment dans l’idéal pour nous, la vie nous rappelle que nous ne pouvons pas tout maîtriser ; que le « bon moment » ne s’inscrit pas dans un monde idéal, mais bien dans la vraie vie, qui met sur notre chemin des choses que l’on ne peut pas prévoir à l’avance : un licenciement, le sien ou celui de son (ou sa) partenaire de vie ; un bébé arrivé plus tôt que prévu ou qui, au contraire, tarde à venir ; une séparation ; un déménagement de l’entreprise ; une maladie…
Bref, tous ces éléments qui font que la vie suit son cours, et que c’est à nous de nous y adapter. C’est plus ou moins facile, et nous parlerons plus tard des outils qui nous permettent de mieux accueillir ces moments inattendus. Mais finalement, je crois que le bon moment est simplement celui où l’on se sent prêt, où on le ressent au plus profond de soi. Encore faut-il savoir s’écouter… Mais il n’y a pas de meilleur moment que celui-là pour moi. Et si on ne le ressent pas mais que la vie nous le propose, alors il convient toujours de se poser la question : « Qu’est-ce qui est le mieux pour moi à cet instant précis? »
Personnellement, pour la création de mon entreprise, ça s’est passé comme ça : une fois que j’ai trouvé ce qui me motivait depuis toujours, je me suis demandé comment je pouvais y accéder. Et c’est justement à ce moment-là que l’Univers (ou appelez-le comme vous voulez) m’a envoyé les informations dont j’avais besoin pour choisir ma formation, faire les rencontres nécessaires pour avancer. Il m’a, dans le même temps, confortée dans mes choix en me fermant les portes du salariat.
Dans mon projet initial et, je dois bien l’avouer, dans ma peur d’échouer, j’envisageais de lancer mon projet à mi-temps, pour le laisser prendre lentement et pouvoir petit à petit basculer à cent pour cent. Mais les choses se sont déroulées autrement. Les entretiens d’embauche n’aboutissaient pas, soit parce que je ne correspondais pas au profil recherché, soit parce que, de mon côté, quelque chose m’empêchait de valider les propositions.
J’ai finalement décidé de me lancer dans mon projet à cent pour cent, et j’avoue que le fait d’avoir un accompagnement financier à ce moment-là m’a aidée à prendre ma décision. J’ai senti que c’était le bon moment pour moi et je me suis renseignée sur les différents statuts possibles. Quand j’ai compris que cela dépendait vraiment de mon projet personnel et qu’il n’y avait pas de réponse type, j’ai fait mon choix en fonction de ma situation familiale : mariée, un enfant, avec l’envie d’en avoir un autre, mon besoin de sécurité, mon marché, mes clients préférés et le statut avec lequel il valait mieux les aborder, etc.”
Portrait de Stéphanie Araujo Loyer, l’autrice
Passionnée par la Vie, le développement personnel et professionnel, ainsi que par la psychologie intuitive, Stéphanie est entrepreneuse, cheffe d’entreprise et maman de trois enfants de huit, et deux fois trois ans et demi (des “jumixtes…” jumeaux fille et garçon).
Elle a grandi en banlieue parisienne, fait ses études en ZEP, puis intégré une prépa et une école de commerce. Un parcours atypique qui a nourri le regard qu’elle porte sur le monde :
Ce brassage de cultures, de public, a fait grandir en moi cette envie de diversité tout en honorant les singularités.
Responsable, puis directrice marketing International dans des grands groupes américains pendant plus de treize ans, elle a pu intégrer dans son parcours professionnel son amour pour les voyages.
Durant ses deux dernières années en tant que salariée, elle a été nommée leader d’un réseau de plus de 480 femmes en interne (le Women Network).
Une formidable expérience qui m’a fait prendre conscience de mon implication dans ce domaine et de mon envie de contribuer à une mixité plus juste, plus équitable dans le monde.
Stéphanie s’est alors formée au coaching, à l’hypnose, à la PNL, à l’énergétique, et à différents outils de connaissance de soi tels que le MBTI et l’Human Design.
Devenue indépendante, elle commence par faire du coaching en entreprise pour favoriser l’inclusion de la diversité. Mais, très vite, elle réalise que dans ce domaine, les entreprises n’ont pas de moyens à la hauteur de leurs grandes ambitions.
Elle décide alors d’aller plus loin en contribuant à la source : aujourd’hui, elle accompagne les personnes multi-potentielles et hypersensibles à libérer et activer leur puissance pour vibrer leur vie. Et parfois… elles l’emmènent dans leurs entreprises, ou elles la choisissent pour les créer elles-mêmes, en alignement avec leurs valeurs.
Je suis profondément émue de l’unicité de chacun et je suis convaincue que plus on honorera ces unicités, au lieu de les atténuer, plus le monde sera riche.
La genèse du livre
Stéphanie porte depuis longtemps en elle plusieurs projets de livres. Il y a deux ans, en tombant sur un concours d’écriture pour un magazine féminin, elle se décide à passer à l’action en se fixant une date. Puis, en relisant le règlement, elle réalise que le public ne convient pas à son projet initial.
Rapidement, elle a deux autres idées, commence à poser les mots… jusqu’à ce que le thème du mumpreneuriat prenne vraiment toute la place.
Elle va alors écrire son premier livre d’une traite pendant le premier confinement. A cette époque, alors qu’elle est enfermée avec mari et enfants 24h/24, elle se sent seule et incomprise dans sa position de maman, entrepreneuse, épouse et cheffe d’entreprise. Ses amies ne sont que rarement dans sa situation : certaines sont des mamans salariées, d’autres sont entrepreneuses, mais sans enfants ou alors avec de grands enfants.
Ecrire sur le sujet lui a alors permis de prendre du recul sur la façon dont elle pouvait choisir de vivre ce moment, mais aussi et surtout son mumpreneuriat avec toutes les étapes qu’elle avait déjà parcourues.
A propos des éditions Terre en Ciel
Terre en Ciel est une maison d’édition fondée et dirigée par Félix Guillemot, connu sous le nom d’auteur Daniel Tahl.
Tournée vers le développement personnel, la spiritualité et l’ésotérisme, elle publie des parcours de vie insolites, des guides de développement et d’épanouissement personnels, ainsi que des ouvrages allant à la rencontre de l’irréel. Son ambition est de publier de « beaux livres », à la fois en surface et en profondeur.
La maison d’édition tire son nom d’un rêve, dans lequel le fondateur tomba amoureux d’une déesse nommée « Teyrrencielle ». Dix ans plus tard, en 2017, en contemplant un rocher majestueux en Provence, l’auteur comprit soudainement la signification de son rêve : « Terre en Ciel ».
Actuellement composée d’une petite équipe de trois personnes, Terre En Ciel Éditions est également en lien étroit avec sa filiale, Terre En Ciel Productions, où sont réalisées des masterclasses sur les sujets publiés, permettant ainsi de donner une offre multiple au public, mais aussi de diversifier les activités des auteurs.
Informations Pratiques
“Je suis mumpreneuse et je suis en vie !” de Stéphanie Araujo Loyer
- Sortie : 17 novembre
- Editeur : Terre en Ciel
- ISBN : 978-2-492382-13-0
- Format : 13 × 18 cm
- 192 pages
- Prix : 12,90 € broché
Pour en savoir plus
Site web : https://terre-en-ciel.com/
Facebook : https://www.facebook.com/terreencieleditions/
LinkedIn : https://fr.linkedin.com/in/terre-en-ciel-editions
Site web HighCoaches : https://highcoaches.com/