Seize : c’est le nombre de cosmétiques que les Françaises utilisent chaque jour en moyenne, selon une étude réalisée par l’UBO en 2018. Et pourtant, la majorité d’entre elles ne savent pas vraiment ce qu’elles appliquent sur leur peau ou leurs cheveux…
La transparence est d’ailleurs l’une de leur préoccupation principale. En effet, 66% des consommateurs seraient prêts à payer plus cher pour des marques transparentes, selon le rapport Global Corporate Sustainibility de 2015 partagé par Nielsen.
Assurer la traçabilité des cosmétiques : un enjeu de taille
Dans un contexte où le greenwashing est monnaie courante en cosmétique, un grand besoin de transparence se fait sentir. Dans cet esprit, la question de traçabilité est devenue essentielle afin de rassurer le consommateur et garantir des modes de production sains et éthiques.
En 2021, après deux ans de recherche et de développement, Lisa Schino lance LAO, une marque de cosmétiques capillaires qui aide les Français et Françaises à révéler leurs cheveux au naturel.
Quelques mois plus tard, la jeune marque devient précurseur en termes de transparence, en décidant de tout dévoiler sur ses produits, depuis la récolte des matières premières jusqu’à la réception du flacon, grâce au système inviolable de la Blockchain, en partenariat avec SORGA.
Scannez simplement le QR code sur le flacon, afin de retracer toute sa vie et ses ingrédients !
La blockchain, comment ça fonctionne ?
Les produits cosmétiques sont souvent très complexes et composés de nombreux ingrédients qu’il est difficile de tracer en termes de pays de fabrication et sourcing, mais aussi d’éthique de fabrication. Un même ingrédient (ex : glycérine), peut contenir lui-même plusieurs matières premières, venant de plusieurs pays différents. Il s’agit d’être honnête avec le consommateur sur ces origines, pour aller plus loin que le simple Made in France.
La technologie blockchain intervient alors pour aider les marques de cosmétiques à communiquer en direct à leurs clients et futurs clients en point de vente et en ligne, l’origine et la fabrication de ces ingrédients.
Le système de blockchain développé par SORGA est une technologie inviolable et ineffaçable, qui garantit la véracité des informations. La blockchain permet ainsi d’apporter davantage de transparence, de limiter le greenwashing et de permettre aux consommateurs de mieux prendre conscience de l’impact de leurs produits cosmétiques.
Ainsi, pour prouver l’authenticité de sa démarche de transparence, LAO intègre le système français de blockchain basse consommation SORGA technologie à l’aide d’un QR code à scanner sur chaque flacon, ce qui affiche la totalité des informations sur la provenance des ingrédients, et sur les acteurs impliqués.
La promesse du Made In France ou du naturel n’est plus non plus suffisante, et n’a plus réellement de sens lorsque tous les ingrédients proviennent des 4 coins du monde. Il faut donc oser demander plus, aller plus loin et se montrer transparent pour recréer une relation de confiance avec le consommateur.
A propos de la fondatrice, Lisa Schino
Lisa Schino est une passionnée de plongée sous-marine, engagée dans la protection de l’environnement grâce à l’association Octop’Us qu’elle a co-fondée.
En 2019, alors étudiante, elle se lance le défi d’apporter transparence et efficacité en créant une marque au service du cheveu et du cuir chevelu.
Forte de ses expériences auprès d’acteurs majeurs de la cosmétique, Lisa décide de consacrer son travail à un des produits les plus complexes à développer et à formuler : le shampoing.
Après 2 années de recherche et de développement, avec l’aide de sa formulatrice Nathalie, elle développe enfin des soins lavants capillaires qui ne font aucun compromis entre naturalité, sensorialité et efficacité.
Son travail a d’ailleurs été validé par le dépôt d’un premier brevet et récompensé par nombreux prix et concours d’entrepreneuriat, comme le Prix Jeune Entrepreneure de l’année 2021 par Petit Poucet.
Depuis le début, Lisa partage son aventure sur Linkedin avec près de 12 000 personnes. Sa communauté grandissante est d’ailleurs impliquée et s’inscrit dans un processus de co-création des produits LAO.
Dévoiler toutes les informations produit, c’est aider le consommateur à faire ses choix en fonction de son éthique et de ses besoins.
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