Un jeu de dialogues mordants : jouissif et addictif !
Qui, aujourd’hui, n’a pas vécu le harcèlement, la pression du boulot, les absurdités du management ?
Et s’il y a des chanceux qui réussissent à passer entre les gouttes, ils n’auront certainement pas échappé aux complaintes d’amis ou de famille frôlant le burn-out, sinon déjà passés par la case thérapie ou antidépresseurs…
Parce que l’univers de l’entreprise est trop souvent impitoyable et source de stress majeur, Yves Hirschfeld et Fabien Bleuze ont décidé d’intervenir !
Les deux auteurs à succès des best-sellers “Taggle”(+300 000 ex.) et “Comment j’ai adopté un gnou” (+100 000 ex.) reviennent avec un nouveau jeu d’ambiance qui fait un bien fou : “Taggle Patron !”.
Édité par Le Droit de Perdre, Taggle Patron apporte un décalage et de l’humour dans un système qui broie les âmes et la planète avec.
De la bonne déconnade impertinente comme source de résilience, en quelque sorte…
Sortie prévue le 9 septembre.
Nous avons toujours quelqu’un au-dessus de nous : un N+1, un big boss, un associé, un chef de service, un partenaire, un proche… qui nous fait comprendre «c’est moi qui gère, mais c’est toi qui bosses » et à qui nous rêvons de dire « Taggle Patron » !
Yves Hirschfeld et Fabien Bleuze, les auteurs
Une parodie truculente du milieu de l’entreprise
À mettre entre toutes les mains à partir de 16 ans, Taggle Patron s’adresse à un large public, car il propose une satire rafraîchissante de notre société.
Ces dialogues déjantés et hilarants sont parfaits pour retrouver le smile et se défouler dans la bonne humeur.
Le déroulement d’une partie
Le jeu est d’emblée proposé avec un contenu très riche : les 480 cartes contiennent 336 réflexions et 480 répliques… afin de réaliser plus de 160 000 dialogues loufoques.
À chaque tour :
- Le boss adresse des réflexions foutraques à ses employés.
- Ceux-ci répliquent immédiatement pour le renvoyer dans ses cordes… ou pas !
- À la fin du tour de jeu, le Patron dit “Taggle” au joueur qui a sorti la moins bonne réplique.
Notre but est de faire rire, de permettre à tout le monde de prendre du plaisir en jouant, tout en proposant une catharsis intelligente, une libération joyeuse du monde du travail.
Un univers rarement abordé dans l’univers du jeu d’ambiance : l’entreprise
Forts du succès durable du jeu Taggle, le duo Yves Hirschfeld et Fabien Bleuze a déjà réalisé plusieurs suites pour répondre à une forte demande d’extensions. Ainsi sont nés les jeux « Taggle d’amour », « Paf dans Taggle » et « Ta Bouche ».
Mais Taggle Patron dépasse largement ce genre de déclinaisons. Il s’agit d’une toute nouvelle version, en réflexion depuis plusieurs années déjà.
Récemment, en regardant le monde autour d’eux, les auteurs ont estimé que ce jeu était une nécessité ludique indispensable, salutaire et d’utilité publique !
Une approche délicieusement régressive… qui stimule aussi l’intellect
Taggle Patron offre un exutoire formidablement libérateur. Chacun peut lâcher des petites vannes, souvent dignes de la cour de récré, juste pour le fun… Et cela fait un bien fou !
Le message est simple et clair : “On en chie tous dans ce monde de fous, mais il y a encore des moyens de rigoler !”
Une démarche infantile qui est moins innocente qu’il n’y paraît de prime abord.
Car derrière une apparente simplicité se cache un jeu mûrement élaboré et architecturé. Taggle Patron dévoile une structure humoristique souvent proche du non-sens, mâtinée de second degré et de références qui permettent différents niveaux de lecture.
Derrière son aspect jeu facile pour l’apéro, où les répliques des employés fusent face aux réflexions du boss, « Taggle Patron » évoque une diversité foisonnante de situations et s’adresse ainsi à un public très large qui pourra s’y reconnaître.
Plus de neuf mois ont été nécessaires pour écrire et étudier environ 2 000 punchlines, avant d’aboutir aux textes définitifs de cette création ludique qui s’avère, au final, être une sorte de pièce de théâtre… en pièces détachées !
Portraits des auteurs
Yves Hirschfeld
Né en 1953, Yves Hirschfeld suit une scolarité absolument désastreuse, traînant sa langueur dans toutes les pensions de France.
Après des études beaucoup plus captivantes au conservatoire de Versailles et cours Perimony, il devient acteur au théâtre, à la télé et monte de nombreux spectacles en tant que metteur en scène.
Parallèlement, il se met à l’haltérophilie, mais abandonne le jour même, incapable d’arracher 22 kilos à l’épaulé-jeté…
Yves Hirschfeld mène depuis de nombreuses années une carrière protéiforme : auteur et metteur en scène pour le théâtre, acteur, auteur et réalisateur à la télévision, auteur de jeux de société, de livres, de chansons et illustrateur. Il écrit et réalise des émissions d’humour pour la TV, des chansons pour des groupes de rock et des livres pour adultes ou pour enfants, donne des cours de théâtre et fait des voix pour le doublage.
Depuis qu’il vit à La Rochelle, c’est vraiment le jeu de société qui prend le pas sur l’ensemble de ses autres activités. Chaque année, il signe de nouveaux jeux chez de nombreux éditeurs.
Dans cet univers ludique, je retrouve la notion de « jouer », d’amusement, de théâtre, d’expression et d’imaginaire débridé.
Une sorte de cocktail festif de toutes mes passions !
Fabien Bleuze
Tour à tour auteur, journaliste, chef de pub, monteur/cadreur vidéo, réalisateur, compensateur de chèques au Crédit Mutuel, mais aussi numériseur de films dans un Établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) qui flirte avec le Secret défense, Fabien Bleuze se retrouve à être manager de tout et surtout n’importe quoi, le tout avec plein de collègues sympas et surtout beaucoup trop de cadres dirigeants perdus…
D’un naturel jovial et empathique, Fabien Bleuze a pu néanmoins être observateur privilégié en divers endroits des dégâts d’une culture d’entreprise à la dérive, empoisonnée par les acronymes, la novlangue et plein de trucs deux point zéro… #CadreAnnexe 1 #quefontlesRH…
Alors, à la première opportunité, Fabien Bleuze cherchera à vous faire marrer.
Marrez-vous. Lâchez prise. Criez avec joie et bonheur ce que vous souhaiteriez dire, en secret, à vos supérieurs. Et si « Taggle Patron » peut vous aider à réagir et changer de vie pour un monde meilleur, je vous accompagne à 200 pour cent !
Le Droit de Perdre, éditeur de jeux décalés
Les Éditions Le Droit de Perdre ont été fondées par François Lang, l’actuel responsable éditorial, en 2009.
Après des études en sciences politiques et relations internationales, conclues à Paris en 2006, François décide de s’épanouir dans le domaine créatif. Il réalise des incursions dans le théâtre et l’événementiel, avant de trouver sa voie dans le jeu de société humoristique.
Une belle aventure qui débute avec l’édition de « Questions de merde, le jeu qui commence là où l’intelligence s’arrête ». Le succès de ce premier jeu, vendu à plus de 200 000 exemplaires et traduit en plusieurs langues, permet de lancer une quinzaine d’autres concepts parmi lesquels les best-sellers « Taggle » (+300 000 ex.) et « Comment j’ai adopté un gnou » (+100 000 ex.), tous deux signés du duo le plus barré du jeu de société : Yves Hirschfeld et Fabien Bleuze.
Aujourd’hui, François Lang considère que le développement du Droit de Perdre est “un rêve éveillé” qui permet de réaliser avec une dizaine d’auteurs des projets insolites, afin de faire vivre un humour irrévérencieux où se mêlent des inspirations diverses, allant du surréalisme à l’OuLiPo, en passant par Desproges, les Nuls et les Inconnus.
Le Droit de Perdre se présente ainsi comme une invitation à lâcher prise dans une société obsédée par la gagne. La ligne éditoriale originale consiste à explorer l’univers du jeu de société au second degré : et si la victoire n’était pas un objectif si sérieux ? Et si le plus important était surtout d’oser, de s’exprimer, de rire ensemble !
Pour en savoir plus
Le jeu Taggle Patron :
Site web : https://ledroitdeperdre.com/
Facebook : https://www.facebook.com/ledroitdeperdre
Instagram : https://www.instagram.com/ledroitdeperdre/