Deux ans après sa première campagne de crowdfunding, MEEKO capitalise sur des sneakers au design très juste, un univers de marque original et des engagements concrets pour la protection du vivant. La marque prend le temps de faire les choses bien et progresse doucement mais surement. Compte tenu du contexte dans laquelle elle s’est lancée (Covid-19 et guerre en Ukraine), c’est très encourageant pour la suite !
L’histoire
Maxime et Guillaume, les co-fondateurs de la marque, ont grandi au contact de la nature, respectivement dans le Jura et les Alpes-Maritimes. Ils y développent un lien profond avec la faune et la flore. Lien qu’ils garderont bien longtemps après avoir quitté le cocon familial pour leurs études.
Lors de leur rencontre à Paris en 2017, ils se rendent compte du paradoxe qui les unit : ils sont tous les deux très attachés à la vie sauvage, pourtant ils portent au quotidien des produits lifestyle qui contribuent fortement à sa destruction : vêtements, accessoires, matériel de sport, baskets…
Ils s’intéressent particulièrement à ces dernières, qui symbolisent les dérives de la mode et de la mondialisation en général. Le constat est affligeant. Sur les 20 milliards de paires fabriquées par an, 95% sont fabriquées en Asie dans des conditions douteuses, à partir de matières à fort impact sur le vivant (cuir, caoutchouc, coton, etc.). Le cuir low-cost d’Amérique du Sud est par exemple l’un des principaux facteurs de destruction de la forêt primaire Amazonienne. Une paire de baskets standard émet entre 15 et 20kg de CO2.
Après un an et demi de travail, les deux amis décident de lancer MEEKO. Une marque de sneakers pour celles et ceux qui, comme eux, sont des amoureux de la vie sauvage… mais ne sont pas prêt(e)s à marcher pieds nus pour autant !
Maxime et Guillaume, les co-fondateurs de MEEKO au Who’s Next.
Pourquoi meeko ?
La marque propose des sneakers mixtes conçues via une approche innovante, qui s’intéresse aux 4 principaux enjeux de l’industrie dans son rapport avec le vivant. MEEKO propose des réponses à chaque étape de fabrication :
- L’exploitation animale : aucune matière animale n’est utilisée.
- La surexploitation des ressources naturelles (forêts, eau) : matières vegan, biosourcées (déchets de pommes, maïs) et recyclées (minimum 30% de recyclé dans chaque matière).
- La pollution (déchets, transport) : fabrication en circuit court (Portugal / Italie), programme de recyclage des baskets en fin de vie.
- Le recours exclusif aux énergies fossiles : sites de production alimentés par panneaux solaires à +80%.
Le label s’appuie surtout sur des designs très justes et une gamme de prix cohérente (149 à 169€), qui lui permettent de toucher un public large. En particulier des personnes qui ne s’intéressent habituellement pas aux baskets responsables. MEEKO travaille avec plusieurs designers spécialisés dans la sneaker urbaine. On retient l’étiquette illustrée qui diffère d’un modèle à l’autre, symbole des écosystèmes que la marque contribue humblement à protéger (voir plus bas).
MEEKO a également travaillé un univers de marque original au service de sa mission : reconnecter nos générations à la vie sauvage. à travers chaque produit créé, chaque expérience et histoire partagées, la jeune marque espère nous inspirer à se rapprocher du monde animal et contribuer à sa préservation.
Enfin, la marque a créé le programme #STEPCLOSER, qui soutient des initiatives locales de protection de la faune menacée. MEEKO y investit 30% de ses bénéfices nets. Deux ONG font à ce jour partie du programme : le Sumatra Rainforest Institute (pour les orang-outans de Sumatra) et la Pams Foundation (pour les éléphants de Tanzanie).
Une actualité bien remplie pour la rentrée !
La marque démarre la saison sur les chapeaux de roues avec une nouvelle collection (la Coco Pongo) dévoilée sur le salon IMPACT (Who’s Next) auquel MEEKO participe pour la 3ème fois.
Les deux co-fondateurs croient dur comme fer à une approche multicanale pour distribuer la marque. Ils ont patiemment travaillé leur marque et leur modèle économique afin de séduire des boutiques un peu partout en France.
Depuis la rentrée, vous pouvez donc retrouver les sneakers «wildlife-friendly» dans de nombreux points de vente, dont le réseau PRINTEMPS (présence à Haussmann, Lille, Lyon, Deauville et Velizy-2). Un grand coup pour la jeune marque qui compte bien confirmer toutes ses promesses cette année.
Pour accélérer, MEEKO s’est d’ores-et-déjà entourée de trois showrooms professionnels pour les régions Île-de-France, Ouest et Sud-Est. Objectif ? Vendre 10 000 paires sur l’année 2023. Cela signifierait plus de 30 000 € pour les deux ONG soutenues par la marque via son programme d’impact positif. C’est tout le mal qu’on leur souhaite !
Liens utiles :
Site internet : https://meeko.store
Instagram: https://www.instagram.com/meeko_shoes/
