Mêler modernité et mode rétro, un concept qui cartonne
Si le vintage se hisse aujourd’hui en tête des ventes de plusieurs catégories d’objet, c’est particulièrement le cas pour les articles de mode.
Pourquoi un tel engouement, une telle nostalgie ?
D’aucuns y voient une image valorisante et apaisante du passé, loin du tumulte qui caractérise l’époque actuelle, où l’incertitude règne en maître. Le vintage semble donc renvoyer, inconsciemment ou pas, vers un temps où l’enthousiasme en l’avenir était réel, ainsi qu’à l’apogée de l’art de vivre à la française… dont l’élégance vestimentaire est partie prenante.
Aujourd’hui plus que jamais, un accessoire synonyme de classe et d’authenticité, assurant un look distingué et recherché fait son retour dans les garde-robes : les bretelles.
Des bretelles ? Oui Monsieur, mais des bretelles françaises
Pour l’intégralité de sa production, Les Bretelles de Léon mise sur le Made In France.
Au-delà des bretelles, une gamme complète d’accessoires est conçue et produite en France : ceintures, nœuds papillon et chaussettes.
Concernant les bretelles, le choix d’une production française permet de bénéficier :
- D’une qualité irréprochable ;
- De pinces qui tiennent fermement ;
- De bandes qui ne se déforment pas.
Pratiquant la tolérance zéro pour les défauts de fabrication, Les Bretelles de Léon porte une attention toute particulière aux détails et au style, afin de proposer à ses clients des modèles classiques, fantaisistes ou plus élégants : à chaque évènement sa paire de bretelles !
Côté renouvellement, ce ne sont pas moins de 20 nouveaux modèles qui sortent chaque année, venant ainsi étoffer les collections existantes.
Les Bretelles de Léon, c’est aussi une gamme complète d’accessoires
« Je n’ai aucune confiance en quelqu’un qui porte à la fois une ceinture et des bretelles… en quelqu’un qui doute de son pantalon ». Il était une fois dans l’ouest, Sergio Léone.
Si, au Far West, douter autant de son pantalon pouvait paraître suspect… aujourd’hui, tout est question de style. Et pour offrir au plus grand nombre les moyens de l’élégance, Léon commercialise désormais des ceintures, nœuds papillon et des… chaussettes.
Des chaussettes qui mettent tout le monde d’accord
Grande nouveauté, Les Bretelles de Léon s’attaque aux chaussettes.
Ici, pas de fioriture, ces dernières sont blanches, ou noires, comme on les aime.
Pour pallier la problématique existentielle des familles, consistant à retrouver quel membre est propriétaire de telle ou telle chaussette, Léon innove et permet d’éviter la foire d’empoigne : un carré de couleur prend place sous la voute plantaire et facilite le repérage.
Chaussettes qui semblent simplement blanches ou noires…
Blanches ou noires, les chaussettes de Léon se reconnaitront parmi les autres grâce au marquage sous la voute plantaire, ainsi qu’au liseré de couleur ornant leur intérieur. Savamment pliées ou en vrac, elles sont toujours reconnaissables.
Bretelles larges à pinces
La qualité au service des hommes et… femmes d’exception, car, après tout, rien n’interdit aux femmes de porter des bretelles ! Fantaisiste à souhait, ces bretelles larges de 3,5cm sont dotées d’un système d’attache à pinces en acier inoxydable et d’un renfort en gomme pour ne pas marquer les vêtements.
Ceintures élégantes ou fantaisie
Tressées ou en cuir, les ceintures de Léon combleront ceux qui ne veulent pas entendre parler de bretelles. Il y en a pour tous les goûts.
Nœuds papillon fantaisie ou classique
Original et élégant, comble du chic, le nœud papillon se décline ici en version fantaisie ou, pour les plus sérieux, dans sa version classique noire ou ivoire.
Le plus ? Il est possible de les customiser grâce aux packs vendus par Léon.
Qualité éprouvée et élégance à la française comme fondements
Entre Paris et Roanne, 4 amis constatent que l’offre en matière de bretelles est quasi inexistante dans la distribution traditionnelle.
Il n’en faut pas plus pour que l’aventure démarre.
Dès 2012, une première collection de bretelles est imaginée avec deux objectifs :
- Une fabrication 100% française ;
- Des modèles de qualité, à l’élégance certaine.
Le succès est au rendez-vous et, en 2017, les 4 fondateurs vendent la marque et le concept à Anne-Laure Mattera, l’actuelle dirigeante.
Des bretelles ? Réellement ?
L’annonce de ce rachat par Anne-Laure est l’occasion d’un dialogue épique entre elle est ses parents, dont elle se souvient encore :
Maman, 70 ans : « Des bretelles ? » ;
Papa, 70 ans : « Tu veux dire… comme… des bretelles ? ».
C’est ainsi que ses parents ont réagi, sous-entendant, avec un regard dubitatif : des bretelles comme celles de ton grand-père ?
Oui, comme papy Léon – ça ne s’invente pas –, leur répondra Anne-Laure, non sans préciser qu’il s’agit de bretelles 100% fabriquées en France !
Une ambition au service du Made in France et de l’efficacité
Fière de travailler avec des ateliers de confection français, respectant scrupuleusement le cahier des charges de la marque, Léon apprécie le sérieux de ses partenaires, et notamment Christophe, Christine ou encore Florence, qui se reconnaîtront.
Dans le but de gagner en souplesse, la marque table en ce moment même sur l’internalisation de sa production, dans la droite ligne de la stratégie adoptée depuis son rachat en 2017.
Parallèlement, janvier 2023 devrait accueillir une nouvelle version de son site web.
Le juste prix
Le modèle économique adopté par la marque ne repose pas sur la maximisation du profit, mais bel et bien sur l’équité. À ceux qui prétendent que les tarifs sont trop élevés, Anne-Laure répond : « Une paire de bretelles large coûte par exemple 42 €. Ça peut paraitre élevé. Mais cela permet à tous les acteurs qui croisent notre chemin de vivre correctement (nos revendeurs, mais aussi nos salariés par exemple…) ».
À propos d’Anne-Laure Mattera, dirigeante de la marque Les Bretelles de Léon
Férue de mode, de design et de lettres, geek dans l’âme et assoiffée de connaissances, rien, dans son parcours, ne prédestinait Anne-Laure au monde des bretelles ou au digital.
Étudiante en lettres anglaises à Lyon II, son expérience professionnelle débute chez Sonepar, leader français de la distribution de matériels électriques, où elle passera 6 années ponctuées d’évolution, jusqu’au poste de responsable d’une marque de distribution.
Non contente de sa situation, elle prépare, en parallèle, un DESS Marketing en cours du soir au sein du CNAM – Conservatoire National des Arts et Métiers – d’où elle ressort major de promotion.
Forte de son expérience et de son bagage, elle crée, en 2004, l’agence de communication « Lepsis » et se lance, dès 2012, dans une nouvelle aventure axée sur le web cette fois, avec 3 créations ex-nihilo et 4 croissances externes, comptant notamment le rachat de la marque Les Bretelles de Léon en 2017.
Pour en savoir plus
Site web : https://www.lesbretellesdeleon.com/fr/
Facebook : https://www.facebook.com/lesbretellesdeleon/
Instagram : https://www.instagram.com/lesbretellesdeleon/