La France n’est pas épargnée par le phénomène de Grande Démission qui a suivi la fin de la crise sanitaire. À titre d’exemple, au 1er trimestre 2022, ils ont été près d’un demi-million à quitter leur poste en CDI (source).
En parallèle, 6 Français sur 10 déclarent être concernés par la reconversion professionnelle, et 2 sur 10 ont déjà franchi le cap au 1er trimestre 2023 (source).
Avec des exigences : exercer un métier-passion, riche de sens, qui leur permettent aussi de trouver rapidement un emploi, surtout dans le contexte inflationniste actuel.
Un temps oublié, le savoir-faire joaillier est ainsi à nouveau plébiscité. Aujourd’hui, il est synonyme de technicité, de précision, de grand raffinement… et d’emploi : le secteur recherche activement des artisans atteignant l’excellence.
Dans ce contexte, Jérémy Boueilh lance l’École Française de Sertissage pour transmettre en 3 mois un savoir-faire adapté aux ateliers professionnels de luxe.
Formateur dans les grandes Maisons de Haute Joaillerie telles que Cartier et Van Cleef & Arpels, Jérémy Boueilh (prononcé ‘Boueille’) propose d’apprendre et perfectionner le métier de sertisseur de joaillerie spécialisé en système GRS GraverMax®.
Avec, à la clé, de belles opportunités d’embauche !
Un savoir-faire qui répond à une forte demande des bijoutiers
Travaillant en tant que formateur de sertissage depuis plusieurs années, Jérémy Boueilh constate que de plus en plus d’ateliers de luxe s’équipent avec le système GRS GraverMax®, reconnu comme le meilleur outil gravure et de sertissage de bijoux.
Sa technologie de frappe pneumatique permet de graver des motifs et des dessins précis sur les métaux, mais aussi de sertir des pierres précieuses.
Il est donc très prisé des bijoutiers professionnels tels que Cartier, Tiffany & Co., Bulgari, Van Cleef & Arpels, Graff Diamonds, Buccellati, Boucheron, ou Mikimoto.
Pourtant, il y a actuellement un réel manque de main-d’œuvre qualifiée.
Pour pallier ce manque, l’École Française de Sertissage forme des professionnels de qualité et préserve un savoir-faire traditionnel dans l’industrie de la joaillerie.
Nous permettons à nos élèves de développer des compétences très prisées dans les ateliers de haute et fine joaillerie.
Une formation pratique et intensive de 3 mois réservée à 10 élèves maximum
L’École Française de Sertissage propose d’apprendre et perfectionner le métier de sertisseur avec un cursus intensif en journée totalisant 455 heures de cours.
En seulement 3 mois, les élèves sont qualifiés pour être embauchés dans des ateliers professionnels. En apprenant des techniques avancées (outils GRS), ils deviennent mieux équipés qu’une grande partie des artisans travaillant déjà dans cette industrie.
Une approche inédite en France
Actuellement, les seules formations (ex. CAP) proposées dans notre pays sont loin d’être suffisantes :
- Le sertissage n’est enseigné qu’en option ;
- Les cursus durent deux ans ;
- L’enseignement est dispensé sans utiliser les dernières technologies ;
- Et il faut souvent faire des études préalables de bijouterie pour y accéder.
L’École Française de Sertissage est donc unique en son genre en France. Elle est ouverte à tous les particuliers et professionnels qui souhaitent entrer dans le métier ou approfondir leurs connaissances. Que les élèves travaillent déjà dans l’industrie ou que la joaillerie soit quelque chose dont ils ont toujours rêvé, cette formation couvre toutes les bases jusqu’aux techniques les plus complexes.
Le sertissage est quelque chose de magnifique, c’est de la créativité. Nous recherchons des élèves qui veulent ajouter de la valeur à leur travail.
Un tremplin pour travailler rapidement dans la Haute-Joaillerie
Avec le marché du luxe en pleine croissance, le recrutement est en hausse pour sertisseurs qualifiés dans l’utilisation de machines GRS GraverMax®. Ces systèmes, dont la plupart des ateliers de haute joaillerie sont équipés, sont les leaders mondiaux en techniques de gravure et sertissage.
L’École Française de Sertissage a déjà mis en place des partenariats avec des ateliers à Paris, Toulouse, Lyon et en Suisse pour des opportunités d’embauche attractives et rapides. Ces ateliers prévoient de doubler ou tripler leurs équipes de sertisseurs dans l’année à venir.
Un sertisseur en début de carrière peut espérer gagner 1,800 € net en France et 4,000 € net en Suisse.
À propos de Jérémy Boueilh, le fondateur
Jérémy Boueilh est professeur de sertissage hautement qualifié et créateur de joaillerie.
Avec plus de 10 ans d’expérience, en tant que chef d’équipe et formateur chez Van Cleef & Arpels et Cartier, il a développé une compréhension approfondie des compétences techniques et des éléments artistiques nécessaires pour un serti réussi.
Passionné par l’enseignement, son expertise lui permet de transmettre efficacement à ses étudiants les subtilités du sertissage et de leur fournir une formation pratique et des conseils pour devenir des professionnels compétents. Il fournit une attention individualisée et une aide qui assure un suivi compréhensif du cursus.
En raison de sa vaste expertise technique et de son engagement envers ses étudiants, l’artisan Franco-Martiniquais est reconnu parmi les grandes Maisons de Joaillerie et des ateliers de production Européenne.
Ses élèves ont toujours été satisfaits de ses cours et Jérémy a toujours su créer de l’enthousiasme auprès de ceux-ci. De ce fait je n’hésiterai pas à faire appel à ses services, et ne peux que le recommander en tant que formateur.
Alexandre Auberson – Directeur de l’Institut Joaillerie de Cartier
La genèse de l’École Française de Sertissage
Une école qui a pour mission de faciliter l’accès au monde de la joaillerie. Jérémy Boueilh a 14 ans lorsqu’il se met à rêver de devenir bijoutier. Mais les portes se ferment, car il est en difficulté scolaire suite à des problèmes de famille.
Comme je n’avais pas le brevet des collèges ni le BAC, je n’étais pas admissible aux Hautes Écoles de joaillerie.
Refusant de baisser les bras, il fait un CAP de bijouterie à Saumur puis obtient un crédit de 15 000 euros en 2008 pour suivre une formation de sertissage sur deux ans en Belgique. Une expérience difficile et décevante : après une première école de piètre qualité, il se retrouve dans un deuxième établissement beaucoup trop cher, ce qui l’empêche de continuer jusqu’au diplôme.
À la fin des deux ans, Jérémy Boueilh rentre en France. Il rejoint l’Armée de Terre et travaille en tant que bijoutier chez Van Cleef & Arpels pour financer une nouvelle formation de sertissage.
Plus tard, il réussit à retourner en Belgique pour enfin obtenir un diplôme de sertissage très réputé.
Quand j’étais jeune, j’ai perdu beaucoup de temps et d’argent à trouver la bonne école, dans des pays, villes et langues que je ne connaissais pas. J’aurais tellement aimé avoir accès à une formation, ici en France, dans ma langue, à un prix relativement accessible !
C’est pour offrir cette opportunité aux autres que Jérémy Boueilh lance l’École Française de Sertissage à Agen. En partageant ce magnifique savoir, il veut permettre à chacun.e d’intégrer rapidement l’univers passionnant de la Haute Joaillerie.
Et bientôt…
L’École Française de Sertissage prévoit d’ouvrir une seconde filiale à Annemasse, près de la frontière Suisse.
Informations pratiques
- Offre de lancement : 15,300 €
- Financement : Étudiant, CPF, Entreprise, Personnel
- Durée : Formation continue, 455 heures
- Atelier : 88 rue Lafayette, 47000 Agen
- Prochaine session : septembre 2023
- Classe : 10 élèves max.
Pour en savoir plus
Découvrir la formation : https://www.ecolesertissage.com/pages/formation-sertissage-3mois
Site web : https://www.ecolesertissage.com/
Facebook : https://www.facebook.com/ecolesertissage
LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/ecolesertissage/
LinkedIn Jérémy Boueilh : https://www.linkedin.com/in/j%C3%A9r%C3%A9my-boueilh-b391201a8/