La physique interpellée : la démonstration de l’erreur d’Einstein par Philippe de Bellescize gagne du terrain

Une nouvelle vision de l’espace-temps

Optique, électromagnétisme, relativité, métrologie, astronomie… La connaissance de la vitesse de la lumière est fondamentale dans de nombreux domaines.

Jusqu’à présent, on considérait qu’il n’y avait que deux solutions possibles :

  • Celle d’Einstein, qui stipule l’invariance de la vitesse de la lumière par rapport aux différents référentiels inertiels ;
  • Celle d’un référentiel privilégié de Lorentz, qui considère notamment que les référentiels inertiels ne sont pas physiquement équivalents.

Après plus de dix ans de travail, Philippe de Bellescize a dégagé une troisième hypothèse qui n’a pourtant pas été considérée par la physique depuis la naissance de la relativité restreinte : celle de référentiels localement privilégiés.

La vitesse de la lumière serait ainsi localement invariante par rapport à certains observateurs inertiels, du fait d’une adaptation constante de la vitesse de la lumière à la configuration spatiale.

Cette théorie, que Philippe de Bellescize a exposée à travers deux de ses livres qui sont actuellement réédités, pourrait d’ores et déjà être confirmée:

Il est difficile pour la physique de reconnaître une erreur d’appréciation qui dure depuis plus de cent ans ! Néanmoins, l’auteur a très vite constaté une augmentation significative du trafic sur son site internet, et les retours qu’il reçoit prouvent que ses idées se diffusent déjà.

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Les scientifiques, depuis la naissance de la relativité restreinte, ont mis en lumière certains paradoxes, par exemple « le paradoxe d’Andromède », mais ils n’en ont pas tiré toutes les conséquences : à savoir la nécessité d’un nouveau cadre conceptuel pour la physique.

L’erreur d’Einstein révélée par l’objection “de la navette et du missile”

Einstein, dans son expérience de pensée du train, a commis une erreur d’appréciation détaillée dans le livre “Et il survolait les eaux”. Ce chapitre est d’ailleurs consultable en accès libre sur Amazon.

Pour simplifier, disons qu’Einstein est parti sur une fausse piste en s’appuyant sur l’expérience de Michelson et Morley : celle-ci était censée confirmer que la vitesse de la lumière était invariante vis-à-vis de l’éther, et que, de ce fait, elle ne pouvait pas l’être vis-à-vis de la Terre.

Pourtant, cette expérience va au contraire sembler indiquer que la vitesse de la lu­mière est invariante par rapport à la Terre. À par­tir de là, pour Albert Einstein, si la vitesse de la lumière est invariante par rapport à la Terre, alors que cette dernière est un corps en mouvement, alors elle l’est par rapport à n’importe quel corps en état d’inertie. C’est ce que ce génial scientifique a expliqué à travers son expérience de pensée du train.

Selon Einstein, si la vitesse de la lumière est invariante vis-à-vis de la gare, alors elle l’est également par rapport au train en mouvement constant par rapport à la gare.

L’objection de la navette et du missile

Diagramme d'espace-temps de l'objection de la navette et du missile.

Diagramme d’espace-temps de l’objection de la navette et du missile.

Mais ce raisonnement est en partie inexact. Philippe de Bellescize démontre, à travers son objection “de la navette et du missile”, qu’il y a une adaptation constante de la vitesse de la lumière à la configu­ration spatiale.

Son approche est d’autant plus imparable qu’elle s’appuie sur les diagrammes d’espace-temps déjà reconnus par la science actuelle.

“Depuis la naissance de la relativité restreinte, les scientifiques n’ont pas été jusqu’au bout de leur interprétation des choses ! En effet, si l’on prend en compte l’existence des corps, dans certains de ces diagrammes, on aboutit inévitablement à des contradictions impliquant la remise en cause du postulat de l’invariance de la vitesse de la lumière. La nécessité d’un nouveau cadre conceptuel pour la physique est alors mise en perspective.”

Les deux livres qui ont tout changé

Paradoxe sur l’invariance de la vitesse de la lumière

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Ce livre revisite le postulat d’Einstein de l’invariance de la vitesse de la lumière, en se concentrant sur l’expérience de pensée du train correspondante. Il montre comment une analyse approfondie de la relativité de la simultanéité supposée des émissions des rayons lumineux nous amène au principe de la relativité de la simultanéité au niveau physique. Cependant, dans l’objection d’un vaisseau spatial et d’un missile présentée ici, ce principe se révèle contradictoire.

Ces implications logiques et mathématiques sont susceptibles de remettre en cause la validité du second postulat de la relativité restreinte. La reconnaissance des résultats de cette analyse pourrait révolutionner notre conception de l’espace-temps.

Prix : 16 €

Et il survolait les eaux – Vers une nouvelle vision du monde physique ?

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Cet ouvrage fait suite au précédent, « Et si Einstein s’était trompé sur un point capital dans son analyse aboutissant à la relativité restreinte ? »

La remise en cause de la conception du temps, issue de la relativité restreinte, n’est que la partie émergée de l’iceberg et l’amorce d’un grand bouleversement. En effet, une fois ce positionnement accepté, va se poser la question de savoir sur quel postulat conceptuel une théorie générale de l’Univers peut reposer. Et, sur ce sujet, la philosophie et la physique devraient pouvoir converger.

Cela peut même engendrer des répercussions sur l’analyse théologique. Mais l’auteur n’aborde ce dernier sujet ici que sous l’angle de la philosophie, sans entrer dans un discours lié à une foi particulière.

Prix : 15 €

Bientôt une réaction d’Étienne Klein ?

Après avoir rencontré récemment Henri Vidersan, réalisé une interview avec Alain Pelosato pour Science-Fiction Magazine et adressé son dernier livre à Richard Taillet, Philippe de Bellescize est en attente d’une réaction d’Étienne Klein, puisqu’il mesure parfaitement le rôle des expériences de pensée dans le progrès de la connaissance scientifique.

En tant que spécialiste de la question du temps, avec des compétences en philosophie et en physique qui lui permettent de cerner les tenants et les aboutissants de la théorie de l’auteur, il ne peut éviter d’approfondir cette notion de causalité.

Philippe de Bellescize considère que cela pourrait d’ailleurs être l’occasion d’un ouvrage, écrit de façon collégiale par des scientifiques et des philosophes. “Mon point de vue étant de dire que, tant que cette problématique n’aura pas été complètement résolue, la physique ne pourra pas parvenir à une théorie générale de l’Univers”, souligne-t-il.

D’ailleurs, lorsque dans une conférence Etienne Klein mentionne que “toutes les définitions du temps sont circulaires”, Philippe de Bellescize répond qu’en utilisant la définition du temps d’Aristote, il est possible de contourner cela. “On peut tout à fait, même si l’on remet en cause la conception d’un temps absolu, défendre l’idée d’un instant présent pour l’Univers.” (voir le chapitre “Un retour à la conception du temps d’Aristote pourrait s’opérer” du livre “Et il survolait les eaux – Vers une nouvelle vision du monde physique ?”).

À propos de Philippe de Bellescize

Après ses études en philosophie et en théologie à l’école St Jean (baccalauréat de philosophie), Philippe de Bellescize suit une formation en informatique et en intelligence artificielle.

Philippe de Bellescize navigue entre ses deux passions, la philosophie et les sciences. Il prononce ses vœux temporaires et s’engage en religion durant 5 années avant de reprendre le chemin de la société civile où il travaille en informatique… sans pour autant renoncer aux questions métaphysiques.

À partir des années 1990, Philippe de Bellescize entame une recherche philosophique sur l’univers qui le conduira à publier plusieurs livres autour de ce sujet passionnant.

Il a en effet découvert le mode d’action du Principe Moteur du monde physique, «une action immanente et par interrelation, selon la détermination des éléments », ce qui n’a été que peu explicité, à sa connaissance, par la philosophie.  Il s’est aussi aperçu que cela nous conduisait, presque immanquablement, à une conception complètement relationnelle de l’espace-temps.

Philippe de Bellescize a alors réalisé, depuis un peu plus de dix ans, que cela n’était pas entièrement conciliable avec l’approche de la relativité. À partir de là, il a cherché des objections, jusqu’à ce qu’il en trouve une incontournable : « l’objection de la navette et du missile ».

En savoir plus

Site web : https://www.leprincipemoteurdelunivers.com

Paradoxe sur l’invariance de la vitesse de la lumière

Et il survolait les eaux – Vers une nouvelle vision du monde physique ?

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