Comprendre et optimiser son cycle menstruel pour performer dans sa pratique sportive : Le 12 ème Sommet de Kiffe ton Cycle

À l’approche des Jeux Olympiques, où chaque détail compte pour atteindre l’excellence, la question de l’impact du cycle menstruel sur les performances sportives féminines devient cruciale.

Une étude récente révèle que 27% des athlètes ressentent une gêne dans leurs performances, principalement due à la fatigue prémenstruelle, et que 17% manquent l’entraînement à cause du syndrome prémenstruel. Parmi les filles pratiquant l’athlétisme, 72% souffrent de dysménorrhée, dont 15% avec des douleurs intenses, et 6% sont touchées par l’aménorrhée (source) ; des chiffres qui mettent en lumière les défis spécifiques auxquels sont confrontées les sportives de haut niveau.

Dans ce contexte, Kiffe ton Cycle organise son 12ème Sommet en ligne sur le thème “Sport au féminin – ton cycle, l’allié de ta pratique”, du 7 au 14 juillet 2024. Cet événement rassemble des experts de renommée internationale pour explorer comment le cycle menstruel peut être utilisé comme un levier d’amélioration des performances sportives.

Avec 15 conférences enrichissantes, ce sommet gratuit promet de redéfinir entièrement la perception et l’exploitation du cycle menstruel par les sportives. En abordant des sujets tels que la gestion des symptômes et l’optimisation des différentes phases du cycle, ces sessions offrent des perspectives nouvelles et des conseils pratiques.

Un sujet sociétal d’importance majeure : Le cycle menstruel et le sport féminin

Les femmes représentent 43% des pratiquants sportifs dans le monde, mais l’entraînement et les compétitions sont souvent conçus en ignorant les variations hormonales qui les affectent (source). Le 12ème Sommet Kiffe ton Cycle, qui se tiendra du 7 au 12 juillet prochain, s’inscrit dans une démarche innovante et essentielle en soulignant l’importance d’une approche spécifique pour les femmes dans le domaine sportif.

Gaëlle Baldassari, créatrice de Kiffe ton Cycle, confirme : “Le sport féminin mérite une approche spécifique et éclairée, qui prend en compte les variations hormonales et physiologiques uniques de chaque femme.”

Plus qu’un simple événement, le 12ème sommet de Kiffe ton Cycle est une petite révolution dans la manière dont les femmes peuvent comprendre et utiliser leur cycle menstruel pour exceller dans le sport. Avec une participation massive attendue et un contenu riche et varié, ce sommet promet de changer les paradigmes et de placer le cycle menstruel au cœur de la performance sportive féminine.

Le 12 ème Sommet de Kiffe ton Cycle pour des sportives informées et éclairées

Le Sommet Kiffe ton Cycle propose 15 conférences en ligne, accessibles gratuitement pendant l’événement. Ces sessions couvrent une variété de sujets, depuis les impacts physiologiques du cycle menstruel sur la performance sportive jusqu’aux stratégies pour optimiser l’entraînement et la récupération.

L’ambition de Gaëlle Baldassari ? Rassembler plus de 20 000 sportives, coaches, staffs et dirigeants de fédérations sportives. “Nous sommes à l’aube des Jeux Olympiques, et il est crucial de faire passer des messages pour la santé et la prise en compte des spécificités des femmes dans le sport”, souligne-t-elle.

Le sommet vise à sensibiliser et à éduquer un public varié, de l’amatrice à la sportive de haut niveau.

Une exploration à 360° du cycle menstruel et ses effets sur la pratique sportive

Éducation périnéale et prévention : Bernadette de Gasquet, médecin et spécialiste en santé périnéale, souligne l’importance d’une éducation précoce sur la santé périnéale pour prévenir des problèmes futurs. “Une éducation périnéale dès l’enfance est cruciale pour éviter des problèmes de santé à long terme,” affirme-t-elle, insistant également sur la rééducation périnéale pour les athlètes ;

Comprendre et adapter l’entraînement au cycle menstruel : Charline Hubert, naturopathe spécialisée en physiologie du cycle menstruel, et Emilie Rimbert, sportive de haut niveau et formatrice en symptothermie mettent en lumière la nécessité pour les sportives de connaître leur cycle menstruel pour optimiser leurs performances. “Un cycle en santé, ce n’est pas un cycle douloureux. Si les douleurs sont invalidantes, il faut consulter un professionnel de santé,” explique Charline. Emilie ajoute : “Suivre son cycle est une boussole qui nous guide pour maintenir une bonne santé et ajuster nos entraînements.”;

Santé reproductive et bien-être : Florence Gillet, spécialiste en santé féminine, aborde les implications de la procréation médicalement assistée et de l’aménorrhée, soulignant l’importance d’une approche bienveillante et compréhensive des signaux du corps. “L’aménorrhée hypothalamique peut avoir des effets néfastes à long terme,” prévient-elle ;

Innovations en suivi du cycle : Juliana Antero, chercheuse à l’INSEP, présente Ciclomi, un outil innovant pour aider les femmes à adapter leur entraînement à leur cycle menstruel. “L’idée, c’est un outil d’auto-connaissance permettant aux femmes d’être autonomes et indépendantes,” explique-t-elle ;

Gestion des symptômes et performances : Manon Dauvergne, kinésithérapeute spécialisée en sport et en pélvipérinologie, et Marion Delespierre, médecin du sport, soulignent l’importance de surveiller les flux et symptômes menstruels pour maintenir un cycle sain. “Un cycle menstruel régulier est un signe de bonne santé hormonale,” note Marion ;

Recherche et applications pratiques : Pierre-Hugues Igonin, préparateur physique et chercheur, démontre l’impact des phases du cycle menstruel sur les performances des joueuses de football, encourageant une gestion personnalisée des entraînements. “Le plus grand nombre de sprints au cours d’un match est effectué au cours de la phase folliculaire,” observe-t-il.

Un panel d’expert.e.s de renom

Rassembler un panel d’expert.e.s de cette envergure n’a pas été une tâche facile.

Chaque conférence, durant en moyenne une heure, offre une immersion profonde dans les recherches et les expériences des spécialistes. Parmi les intervenants figurent des personnalités influentes comme Nathalie Boisseau, professeure en physiologie du sport ou encore Bernadette de Gasquet, médecin et professeur de yoga.

Ces expert.e.s partagent une vision commune : il n’y a pas de recette magique, mais une compréhension subtile et mesurée du cycle menstruel peut significativement améliorer la performance sportive.

La liste complète des intervenant.e.s est à retrouver ici : https://by.kiffetoncycle.fr/sport-au-feminin-kiffe-ton-cycle/

Info Pratiques

Du 7 au 14 juillet 2024 ;
15 expert.e.s – 100% en ligne – 100% gratuit ;
Les conférences sont accessibles gratuitement pendant 24 heures. Un Pack Intégral est disponible à prix préférentiel pour un accès illimité ;
Possibilité d’acheter le Pack des replays pour conserver les accès à vie ;
Chaque jour, les participant.e.s reçoivent par email les liens pour accéder aux conférences. Il est recommandé de vérifier les spams et d’ajouter l’adresse email de Gaëlle (gaelle@kiffetoncycle.fr) à la liste des contacts ;
Pour s’inscrire et participer au Sommet : https://by.kiffetoncycle.fr/sport-au-feminin-kiffe-ton-cycle/

À propos de Gaëlle Baldassari, figure de proue de l’éducation menstruelle

Ma mission ? Faire du bien-être menstruel une évidence dans notre société.

Gaëlle Baldassari est la fondatrice de Kiffe ton Cycle, une plateforme qui guide les femmes vers une meilleure compréhension et appréciation de leur cycle.

Certifiée en Approche Neurocognitive et Comportementale, elle est également l’autrice de deux ouvrages majeurs sur le sujet : “Kiffe ton Cycle” et “Kiffe tes Règles”, publiés aux éditions Larousse.

À travers ses programmes innovants et ses Sommets, Gaëlle guide les femmes vers une meilleure connexion avec leur corps. Ses ressources, disponibles sur les réseaux sociaux et son blog, offrent des éclairages sur le cycle menstruel.

De plus, le réseau des Ambassadrices Kiffe ton Cycle, actif dans toute la francophonie, propose des ateliers permettant à chaque femme de transformer son cycle en un véritable allié au quotidien. “Je suis convaincue que si nos cycles étaient compris, ils seraient moins combattus !” explique-t-elle.