“La Neuvième Évasion – L’Odyssée d’un Hors-la-Loi” : De la prison de haute sécurité à la plus grande école de gendarmerie nationale | Relations-Publiques.Pro : Agence RP & Attachée de presse

Le témoignage inédit d’un ex-criminel devenu conférencier officiel, soutenu par le Général commandant la plus grande école de gendarmerie.

Alors que la France fait face à une recrudescence de cambriolages visant commerces, sites industriels et établissements financiers, les faits divers révèlent une violence toujours plus spectaculaire — à l’image de l’attaque récente d’un buraliste dans la Drôme.

Derrière ces images chocs, une question essentielle se pose : qu’est-ce qui mène à la criminalité ? Comment bascule-t-on dans l’illégalité ? Et surtout, comment combattre cette hyper-violence, la criminalité issue du monde virtuel… et la banalisation de l’agression ?

Pour y répondre, La Neuvième Évasion nous plonge au cœur de l’histoire criminelle française, à travers le parcours réel d’un homme qui a défié le temps, les murs… et l’autorité.

À travers Chandra, son pseudonyme littéraire, Louis-Philippe Roubat retrace un parcours hors du commun, fait de marginalité, d’épreuves, mais aussi de résilience et de quête de sens.

Loin de toute glorification du crime, L’Odyssée d’un hors-la-loi est une saga en huit tomes, dont le premier, Racines, vient de paraître. Elle raconte l’histoire vraie d’un homme tombé, relevé, transformé — avec, au cœur de chaque page, une conviction forte : vivre en société est un métier à part entière que beaucoup n’ont, hélas, pas ou mal appris.

51rE6Io5-ZL

Ce récit n’est pas l’apologie du crime. C’est une ode à la vie, à l’apprentissage, et à la capacité de se relever, même après les pires chutes.

Qu’on ait dérapé en marge ou dans les limites de la légalité, La Neuvième Évasion – L’Odyssée d’un hors-la-loi est un message d’espoir universel : une invitation à croire en la seconde chance, à ne jamais renoncer à la possibilité d’apprendre – ou de réapprendre – ce merveilleux métier qu’est le vivre-ensemble.

Louis-Philippe Roubat

Le monde du grand banditisme et de l’évasion, vu de l’intérieur

Refusant toute langue de bois, Louis-Philippe Roubat livre un récit sans fard. Huit années passées dans les Quartiers de Haute Sécurité, trois ans en cachot, et une conviction profonde forgée par l’expérience : un détenu qui n’aura pas eu le loisir d’apprendre le métier de vivre en société est condamné à la marginalité. On ne peut pas vivre dans un cadre si l’on en ignore les dimensions. Ce constat renverse la perspective habituelle : plutôt que de parler de “réinsertion”, il faut d’abord reconnaître que vivre en société est un métier à part entière, qui s’apprend dès l’enfance – dans la famille, à l’école, puis dans le monde professionnel. Trop d’individus, livrés à eux-mêmes, n’ont jamais eu cette chance.

La Neuvième Évasion est une histoire pensée comme un miroir du passé, et une clé pour l’avenir.

Ce livre s’adresse à un large public : institutions, citoyens, monde de l’entreprise, acteurs de la prévention, de la justice ou de la réinsertion. Sa richesse ? Offrir plusieurs niveaux de lecture, tous traversés par une même vérité : La Neuvième Évasion n’est pas une fiction, mais le témoignage d’une vie réelle, marquée par la chute, la révolte, la réflexion… et la reconstruction.

Une histoire vraie, une expérience unique.
Louis-Philippe Roubat ne raconte pas “un personnage”, mais son propre parcours. Ancien criminel, faussaire et évadé à huit reprises, il est aussi aujourd’hui diplômé, conférencier, et consultant en criminologie. Son regard est celui d’un homme qui a connu l’enfermement, la marginalité, mais aussi l’apprentissage du vivre-ensemble et la volonté farouche de transmettre.

Une plongée au cœur de l’histoire criminelle française.
Loin des analyses théoriques ou journalistiques, ce récit propose une vision de l’intérieur, façonnée par des décennies de bouleversements. Des années 50 marquées par la reconstruction, jusqu’aux mutations sociales, culturelles et numériques du XXIe siècle, La Neuvième Évasion suit l’évolution parallèle du banditisme et des méthodes des forces de l’ordre. “Notre pays a été le théâtre de toutes les mouvances terroristes, et les méthodes du grand banditisme ont évolué en parallèle avec celles des forces de l’ordre”, précise-t-il.

Des thématiques brûlantes et universelles.
Ce premier tome aborde avec force : la maltraitance infantile, le harcèlement, la construction de la délinquance, l’expérience des QHS, les évasions, et cette question cruciale : peut-on devenir chef d’entreprise avec un passé criminel ?

Une saga littéraire à portée internationale.
Racines est le premier tome d’une saga en huit volumes, inspirée de faits réels, bientôt traduite en plusieurs langues. Une adaptation audiovisuelle est en cours de réflexion, sous forme de documentaire et de série, pour transmettre cette histoire hors du commun au plus grand nombre.

Et une reconnaissance institutionnelle forte.
La préface de l’ouvrage est signée par le Général Di Meo, commandant de la plus grande École de gendarmerie nationale. Il voit dans le parcours et l’expérience de Louis-Philippe des clés essentielles pour accompagner et éclairer ceux qu’il appelle les “soldats de la liberté” : ces gendarmes qui se battent chaque jour pour nous permettre de traverser la vie librement, dans les meilleures conditions possibles.

“Ce sont eux les véritables soldats de la liberté. Moi, je n’ai fait que sortir du tunnel. Eux, ils éclairent le chemin.”

Dans une démarche de reconnaissance et comme modeste idée de réparation face à sa période de marginalité, l’auteur a décidé de reverser un euro pour chaque livre vendu à l’œuvre des pupilles de la gendarmerie nationale. Un geste symbolique pour honorer ceux qui, jour après jour, protègent la société et ses valeurs. Et une manière de fédérer autour d’un message clair : on peut toujours se relever, à condition de ne jamais renoncer à l’apprentissage de ce merveilleux métier qu’est le vivre-ensemble.

Une expertise reconnue — soutenue par le Général de Gendarmerie nationale

Michel Di Meo, Général de Gendarmerie nationale, a choisi de préfacer le premier tome de cette saga hors normes. Voici un extrait de ses mots, à la fois puissants et révélateurs :

“Les témoignages offerts à travers ses ouvrages et ses conférences sont riches d’enseignements. En s’appropriant le cheminement intellectuel du délinquant, policiers et gendarmes sont ainsi mieux éclairés sur leurs propres comportements ou actions susceptibles de motiver le passage à l’acte criminel. (…) Qui pouvait mieux parler de crimes que celui qui a autant pratiqué, qui a su à maintes reprises échapper à la surveillance de ses geôliers ou de ses escortes, qui s’est introduit jusque dans les commissariats et les casernes pour se procurer les armes et munitions indispensables à la poursuite de son périple criminel ?”

Criminel hier, allié des forces de l’ordre aujourd’hui

Louis-Philippe Roubat est aujourd’hui conférencier en criminologie active. Les 18 et 19 mars derniers, il a donné deux conférences exceptionnelles à l’École de gendarmerie de Montluçon : plus de 600 personnes ont assisté à son témoignage.

Parmi les participants figuraient les gendarmes, les représentants du parquet, les magistrats, les juges d’instruction, les officiers de police nationale, les membres de l’administration pénitentiaire, ainsi que plusieurs états-majors institutionnels.

Face à eux, Louis-Philippe a partagé son expérience du grand banditisme : stratégies, psychologie, mécanismes du passage à l’acte… Un éclairage rare, venu de l’intérieur, qui aide les professionnels de la chaîne pénale à mieux comprendre les parcours de délinquance, à affiner leurs approches et à renforcer leurs capacités de prévention.

“Un détenu qui n’a pas appris le métier de vivre en société est condamné à la marginalité. On ne peut pas vivre dans un cadre si l’on en ignore les dimensions.”

Transmettre au-delà du monde judiciaire

Son expertise ne se limite pas aux institutions. Louis-Philippe intervient également en entreprise, auprès de forces de vente, pour transmettre des clés issues de son vécu : motivation, adaptabilité, gestion de la pression, mental de gagnant face à l’adversité. Le hors-la-loi d’hier est devenu un formateur d’aujourd’hui.

“On peut toujours se relever, à condition de ne jamais renoncer à l’apprentissage de ce merveilleux métier qu’est le vivre-ensemble.”

Du livre à l’action : le projet Phönix

Avec le projet Phönix, Louis-Philippe Roubat propose une réinsertion concrète, pensée en amont de la libération. Les détenus y bénéficient d’une formation, recherchent un emploi, et valident leur futur poste grâce à des stages réalisés lors de permissions de sortie.

Ils ne quittent plus la prison comme chômeurs assistés, mais avec un emploi en main : une passerelle directe entre l’enfermement et la vie active, pour poursuivre l’apprentissage de ce merveilleux métier qu’est le vivre-ensemble.

À propos de Louis-Philippe Roubat

Ancien hors-la-loi, faussaire redouté et évadé à huit reprises des prisons françaises, Louis-Philippe Roubat a connu une existence marquée par la cavale, le grand banditisme et l’incarcération. Il a également contribué à plusieurs évasions spectaculaires, aux côtés de ses anciens associés.

Après plus de huit années passées en Quartiers de Haute Sécurité (QHS) et trois années en cachot, il fait un choix radical : transformer la prison en levier de reconstruction. Il décroche plusieurs diplômes, devenant le détenu le plus diplômé des annales judiciaires françaises, et crée des écoles en milieu carcéral pour transmettre à d’autres ce qu’il n’avait pas reçu : l’accès à l’éducation.

Pour lui, la délinquance n’est pas une fatalité, mais souvent le signe d’un échec d’apprentissage. Vivre en société est un métier à part entière, que beaucoup n’ont hélas pas ou mal appris. La marginalisation n’est donc pas un défaut moral, mais une incompétence sociale acquise par manque d’outils, qu’il est encore temps de réparer.

Une fois libre, il entame une seconde vie : directeur commercial, puis auteur, éditeur et conférencier en criminologie active.
Il intervient aujourd’hui auprès des forces de l’ordre, qu’il appelle avec respect “les soldats de la liberté”, car ils se battent pour permettre à chacun de traverser la vie librement et dans les meilleures conditions possibles.
Ses conférences, notamment à l’École de gendarmerie de Montluçon, ont rassemblé plus de 600 professionnels : gendarmes, magistrats, policiers, juges d’instruction et membres de l’administration pénitentiaire.

Il intervient également en entreprise, auprès de forces de vente, pour partager ses clés de motivation, d’adaptation et de résilience, issues d’un parcours unique.